Autres articles
Mais celle-ci souffre d’après nous d’une certaine outrance et néglige certains faits. Par contre, l’analyse portée sur le projet d’arrêté royal par la Belgian Travel Association (BTO) nous semble plus raisonnée et donc plus porteuse.
Il est bon de rappeler que la BTO est en chiffre d’affaires la première union professionnelle belge. Ses membres emploient plus de 2000 personnes. En 2005, le chiffre d’ affaires cumulé était de 1.298. 000.000 euros et représentait deux tiers du volume d’ affaires IATA en Belgique. Importance financière logique lorsqu’on sait que la BTO regroupe surtout les AGV business travel et les AGV avec réseau d’agences.
Quant à l’UPAV, l’association des AGV francophones du Royaume, les hasards du calendrier font qu’elle va tenir son assemblée générale annuelle demain soir. Vendredi matin vous pourrez donc prendre connaissance de sa position officielle en la matière.
La BTO demande une rencontre avec le Premier ministre
La BTO, Belgian Travel Organisation, a pris connaissance des mesures et décisions, prises par le gouvernement fédéral ce vendredi 17 mars 2006.
La BTO s’ aligne depuis longtemps sur le choix prometteur et d’ avenir pour notre pays, d’ une économie de services de très haute qualité. A plusieurs reprises la BTO s’ est déjà exprimée en faveur d’ une grande transparence des prix des voyages.
Il ne faut surtout pas oublier que les agents de voyages sont incontestablement des fournisseurs de valeur ajoutée. La BTO demande une attention particulière pour les services. Le consommateur bénéficie chez nous, les agents de voyages, d’ une forte protection et sécurité juridique contrairement aux commandes faites directement auprès des fournisseurs.
Les compagnies ne rémunèrent plus les AGV
Mais il faut également prendre en considération que l’ agent de voyages offre des services personnalisés et neutres par rapport à l’ offre du marché. Depuis plus d’un an les compagnies aériennes ne rétribuent plus de commissions aux agents de voyages.
Ceci place l’ agent de voyages dans une position libre de tout engagement vis – à- vis des fournisseurs et lui donne la capacité d’ offrir des conseils neutres et professionnels. Cette tendance semble gagner les autres fournisseurs présents sur le marché et renforcera le rôle et le caractère neutre et impartial de l’agent de voyages. La valeur ajoutée de ses services fournis aux clients et aux consommateurs en sortira renforcée.
Pour ces raisons, la BTO est demandeur d’une plus grande clarté quant aux mesures gouvernementales de vendredi passé ( le 17 mars 2006). Une plus grande clarté nous semble opportune concernant les mesures relatives aux frais de dossier, c’ est à dire la rénumération équitable des services rendus par l’ agent de voyages.
L’existence du secteur mis en danger
Si le secteur n’a plus la possibilité de mettre en compte les frais de dossier l’existence même du secteur est mise en question. Et beaucoup d’emplois risquent de disparaître. Dans ce but la BTO demande un entretien avec le Premier Ministre.
Cet entretien permettra également de clarifier le point de vue de la BTO en ce qui concerne l’ auto –régulation du secteur économique comme prévu par le gouvernement. Il s’agit de la possibilité de conclure des accords entre les organisations professionnelles et les organisations des consommateurs.
Ces cinq dernières années de multiples tentatives d’avis commun ont été élabores au sein du Conseil de la Consommation, sans résultat. La raison principale de cet échec est la méconnaissance du terrain du côté des organisations des consommateurs. En réalité un nombre d’éléments devront mûrir avant que des accords équilibrés et judicieux puissent faire le jour.
Pour les non – initiés la réservation d’un voyage peut paraître simple. Mais en réalité, il s’agit d’une opération assez complexe pour laquelle la maîtrise du métier de l’agent de voyages s’avère indispensable
Il est bon de rappeler que la BTO est en chiffre d’affaires la première union professionnelle belge. Ses membres emploient plus de 2000 personnes. En 2005, le chiffre d’ affaires cumulé était de 1.298. 000.000 euros et représentait deux tiers du volume d’ affaires IATA en Belgique. Importance financière logique lorsqu’on sait que la BTO regroupe surtout les AGV business travel et les AGV avec réseau d’agences.
Quant à l’UPAV, l’association des AGV francophones du Royaume, les hasards du calendrier font qu’elle va tenir son assemblée générale annuelle demain soir. Vendredi matin vous pourrez donc prendre connaissance de sa position officielle en la matière.
La BTO demande une rencontre avec le Premier ministre
La BTO, Belgian Travel Organisation, a pris connaissance des mesures et décisions, prises par le gouvernement fédéral ce vendredi 17 mars 2006.
La BTO s’ aligne depuis longtemps sur le choix prometteur et d’ avenir pour notre pays, d’ une économie de services de très haute qualité. A plusieurs reprises la BTO s’ est déjà exprimée en faveur d’ une grande transparence des prix des voyages.
Il ne faut surtout pas oublier que les agents de voyages sont incontestablement des fournisseurs de valeur ajoutée. La BTO demande une attention particulière pour les services. Le consommateur bénéficie chez nous, les agents de voyages, d’ une forte protection et sécurité juridique contrairement aux commandes faites directement auprès des fournisseurs.
Les compagnies ne rémunèrent plus les AGV
Mais il faut également prendre en considération que l’ agent de voyages offre des services personnalisés et neutres par rapport à l’ offre du marché. Depuis plus d’un an les compagnies aériennes ne rétribuent plus de commissions aux agents de voyages.
Ceci place l’ agent de voyages dans une position libre de tout engagement vis – à- vis des fournisseurs et lui donne la capacité d’ offrir des conseils neutres et professionnels. Cette tendance semble gagner les autres fournisseurs présents sur le marché et renforcera le rôle et le caractère neutre et impartial de l’agent de voyages. La valeur ajoutée de ses services fournis aux clients et aux consommateurs en sortira renforcée.
Pour ces raisons, la BTO est demandeur d’une plus grande clarté quant aux mesures gouvernementales de vendredi passé ( le 17 mars 2006). Une plus grande clarté nous semble opportune concernant les mesures relatives aux frais de dossier, c’ est à dire la rénumération équitable des services rendus par l’ agent de voyages.
L’existence du secteur mis en danger
Si le secteur n’a plus la possibilité de mettre en compte les frais de dossier l’existence même du secteur est mise en question. Et beaucoup d’emplois risquent de disparaître. Dans ce but la BTO demande un entretien avec le Premier Ministre.
Cet entretien permettra également de clarifier le point de vue de la BTO en ce qui concerne l’ auto –régulation du secteur économique comme prévu par le gouvernement. Il s’agit de la possibilité de conclure des accords entre les organisations professionnelles et les organisations des consommateurs.
Ces cinq dernières années de multiples tentatives d’avis commun ont été élabores au sein du Conseil de la Consommation, sans résultat. La raison principale de cet échec est la méconnaissance du terrain du côté des organisations des consommateurs. En réalité un nombre d’éléments devront mûrir avant que des accords équilibrés et judicieux puissent faire le jour.
Pour les non – initiés la réservation d’un voyage peut paraître simple. Mais en réalité, il s’agit d’une opération assez complexe pour laquelle la maîtrise du métier de l’agent de voyages s’avère indispensable