Jean-MArc Eustache PDG : "Les craintes suscitées par le virus Zika, une menace de grève de nos pilotes, la faiblesse du dollar canadien et un ralentissement de la demande dans l’Ouest canadien ont empêché une amélioration de la profitabilité, masquant le fait que nos initiatives de transformation liées au plan stratégique, y compris le projet de vente de la France et de la Grèce, sont bien engagées. " - DR
Transat A.T. inc. a publié ses résultats pour le 2ème trimestre 2016. Le groupe affiche des revenus de 888,2 millions $ (613,6 M€) en hausse par rapport à la même période l'an dernier (875,2 millions $).
Cette progression de 13,1 millions $ (1,5 %) découle "principalement d’une augmentation globale de 2,5 % du nombre de voyageurs et d’une hausse des prix de vente moyens des forfaits sur le marché des destinations soleil, le principal marché de la Société pour cette période."
Malgré cette progression, Transat accuse une perte nette de 25M$ (17,7 M€) contre un bénéfice net positif à 24,7 M$ pour la même période l'année précédente. La perte nette ajusté s'établit à 11,8 M$ (8,1M€).
Les charges d’exploitation ont progressé de 25,0 millions $ sur les forfaits sud, en raison de la dépréciation du dollar canadien vis-à-vis du dollar américain.
« Pour ce qui est des destinations soleil, c’est un hiver à oublier. Les craintes suscitées par le virus Zika, une menace de grève de nos pilotes, la faiblesse du dollar canadien et un ralentissement de la demande dans l’Ouest canadien ont empêché une amélioration de la profitabilité, masquant le fait que nos initiatives de transformation liées au plan stratégique, y compris le projet de vente de la France et de la Grèce, sont bien engagées.
Quant à l’été, la hausse abrupte de 15 % de la capacité sur le marché transatlantique affecte les prix et les taux de remplissage.
Cette progression de 13,1 millions $ (1,5 %) découle "principalement d’une augmentation globale de 2,5 % du nombre de voyageurs et d’une hausse des prix de vente moyens des forfaits sur le marché des destinations soleil, le principal marché de la Société pour cette période."
Malgré cette progression, Transat accuse une perte nette de 25M$ (17,7 M€) contre un bénéfice net positif à 24,7 M$ pour la même période l'année précédente. La perte nette ajusté s'établit à 11,8 M$ (8,1M€).
Les charges d’exploitation ont progressé de 25,0 millions $ sur les forfaits sud, en raison de la dépréciation du dollar canadien vis-à-vis du dollar américain.
« Pour ce qui est des destinations soleil, c’est un hiver à oublier. Les craintes suscitées par le virus Zika, une menace de grève de nos pilotes, la faiblesse du dollar canadien et un ralentissement de la demande dans l’Ouest canadien ont empêché une amélioration de la profitabilité, masquant le fait que nos initiatives de transformation liées au plan stratégique, y compris le projet de vente de la France et de la Grèce, sont bien engagées.
Quant à l’été, la hausse abrupte de 15 % de la capacité sur le marché transatlantique affecte les prix et les taux de remplissage.
La demande est relativement ferme, mais elle n’augmente pas à ce rythme. Nous anticipons des résultats inférieurs à ceux des étés records que nous avons connus ces dernières années » a déclaré Jean-Marc Eustache, président et chef de la direction de Transat.
Concernant les perspectives été pour la France, le communiqué de presse souligne : "les réservations moyen-courriers sont supérieures de 6 % et les réservations long-courriers sont supérieures de 10 % par rapport à l’an passé à la même date. Les prix de vente moyens sont similaires".
Concernant les perspectives été pour la France, le communiqué de presse souligne : "les réservations moyen-courriers sont supérieures de 6 % et les réservations long-courriers sont supérieures de 10 % par rapport à l’an passé à la même date. Les prix de vente moyens sont similaires".