La Commission "tourisme durable" du SNAV en réunion le lundi 18 juin 2012. - Photo DR
Créée voici quatre ans, présidée par Christian Orofino, la Commission « Tourisme durable » du SNAV se réunit une fois par mois.
Cette commission particulièrement motivée fait toujours le plein et se démarque en travaillant sur des thèmes et des objectifs qui restent encore secondaires par les temps qui courent pour un bon nombre de professionnels du tourisme.
De ECPAT France (qui lutte contre l'exploitation sexuelle des enfants) aux Hôtels Lucien Barrière, de Voyages SNCF à American Express en passant par des agences traditionnelles et des groupistes, les organisations et entreprises représentées dans cette commission sont des plus variées.
Toutes se retrouvent sur ces objectifs : développer à travers le monde un tourisme responsable, un commerce équitable dans le respect des hommes, des enfants et de leur 'environnement.
« La quasi totalité des secteurs économiques de notre pays, l'industrie automobile, l'agro-alimentaire, le bâtiment et bien d'autres ont des actions qui tendent vers le développement durable.
Il ne faudrait pas que le tourisme soit le dernier secteur à ne pas prendre des initiatives sur un tel sujet.
Nos clients ne le comprendraient pas. Le tourisme c'est la matière première du développement durable. A nous de démontrer le respect que nous avons sur les hommes et leur environnement » déclare Christian Orofino.
Cette commission particulièrement motivée fait toujours le plein et se démarque en travaillant sur des thèmes et des objectifs qui restent encore secondaires par les temps qui courent pour un bon nombre de professionnels du tourisme.
De ECPAT France (qui lutte contre l'exploitation sexuelle des enfants) aux Hôtels Lucien Barrière, de Voyages SNCF à American Express en passant par des agences traditionnelles et des groupistes, les organisations et entreprises représentées dans cette commission sont des plus variées.
Toutes se retrouvent sur ces objectifs : développer à travers le monde un tourisme responsable, un commerce équitable dans le respect des hommes, des enfants et de leur 'environnement.
« La quasi totalité des secteurs économiques de notre pays, l'industrie automobile, l'agro-alimentaire, le bâtiment et bien d'autres ont des actions qui tendent vers le développement durable.
Il ne faudrait pas que le tourisme soit le dernier secteur à ne pas prendre des initiatives sur un tel sujet.
Nos clients ne le comprendraient pas. Le tourisme c'est la matière première du développement durable. A nous de démontrer le respect que nous avons sur les hommes et leur environnement » déclare Christian Orofino.
Le respect de toutes les différences
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Le travail porte aujourd'hui sur un label « produit TO » qui inclut le transport, l'hébergement, les excursions et les transferts.
« Il s'attribuera sur du déclaratif, aux TO de prendre leurs responsabilités après avoir arrêté leurs choix en matière de réceptifs et d'hôteliers.
Le tourisme responsable c'est le respect de toutes les différences y compris celles du handicap ».
Pour le tourisme réceptif, ce label semble à portée de main. En France, les acteurs du secteur, hôteliers, restaurateurs, musées, et autres parcs d'attractions sont aujourd'hui tenus de répondre à une batterie de critères.
Le challenge s'avère plus ardu pour le tourisme à l'export, notamment en matière de circuits adaptés aux handicapés. Le label aura ses limites.
Pour revendiquer le label « tourisme durable », les producteurs, distributeurs et transporteurs devront s'engager sur de nombreux axes. Et cela va de la surproduction de papiers au financement de projets de réduction d'émissions de carbone à effet de serre.
A destination, les hôteliers, réceptifs, restaurateurs devront notamment privilégier les emplois locaux et justifier de leurs justes rémunérations.
« Il s'attribuera sur du déclaratif, aux TO de prendre leurs responsabilités après avoir arrêté leurs choix en matière de réceptifs et d'hôteliers.
Le tourisme responsable c'est le respect de toutes les différences y compris celles du handicap ».
Pour le tourisme réceptif, ce label semble à portée de main. En France, les acteurs du secteur, hôteliers, restaurateurs, musées, et autres parcs d'attractions sont aujourd'hui tenus de répondre à une batterie de critères.
Le challenge s'avère plus ardu pour le tourisme à l'export, notamment en matière de circuits adaptés aux handicapés. Le label aura ses limites.
Pour revendiquer le label « tourisme durable », les producteurs, distributeurs et transporteurs devront s'engager sur de nombreux axes. Et cela va de la surproduction de papiers au financement de projets de réduction d'émissions de carbone à effet de serre.
A destination, les hôteliers, réceptifs, restaurateurs devront notamment privilégier les emplois locaux et justifier de leurs justes rémunérations.