L’appel à la grève lancé par le SNPL-France Alpa auprès des pilotes d’avion du 3 au 30 mai 2014, pourrait être finalement levé, à la veille du début programmé du mouvement, selon Les Echos.
Le syndicat a obtenu des avancés de la part des autorités au cours de deux réunions auxquelles il a participé mardi 29 et mercredi 30 avril 2014 au Secrétariat d’État aux Transports. Ce qui l’a conduit à mettre en place un vote auprès de ses élus pour décider ou non de la fin du mot d’ordre de grève.
Un scrutin dont les résultats devraient être dévoilés ce vendredi 2 mai 2014. Le SNPL organise un point presse à 11 heures au cours duquel il devrait annoncer sa décision.
Mais dans un communiqué diffusé mercredi 30 avril 2014, l’organisation estime que les engagements pris par les ministères des Transports et du Travail répondent favorablement "aux revendications formulées depuis deux ans par les pilotes français." Ce qui plaide en faveur d'une annulation du mouvement.
Les pilotes réclamaient la création d’une convention collective spécifique pour leur branche, l’allègement des contrôles de sûreté pour les navigants dans les aéroports, la mise en place d’un groupe de travail pour réduire les taxes qui pèsent sur le secteur et l’abrogation de la loi Diard qui prévoit l’obligation pour les grévistes de se déclarer 48 heures à l’avance.
Le syndicat a obtenu des avancés de la part des autorités au cours de deux réunions auxquelles il a participé mardi 29 et mercredi 30 avril 2014 au Secrétariat d’État aux Transports. Ce qui l’a conduit à mettre en place un vote auprès de ses élus pour décider ou non de la fin du mot d’ordre de grève.
Un scrutin dont les résultats devraient être dévoilés ce vendredi 2 mai 2014. Le SNPL organise un point presse à 11 heures au cours duquel il devrait annoncer sa décision.
Mais dans un communiqué diffusé mercredi 30 avril 2014, l’organisation estime que les engagements pris par les ministères des Transports et du Travail répondent favorablement "aux revendications formulées depuis deux ans par les pilotes français." Ce qui plaide en faveur d'une annulation du mouvement.
Les pilotes réclamaient la création d’une convention collective spécifique pour leur branche, l’allègement des contrôles de sûreté pour les navigants dans les aéroports, la mise en place d’un groupe de travail pour réduire les taxes qui pèsent sur le secteur et l’abrogation de la loi Diard qui prévoit l’obligation pour les grévistes de se déclarer 48 heures à l’avance.