Plutôt que de se lancer sur Cuba, Exotismes a choisi Cancun et la Riviera Maya comme sa nouvelle destination 2017 © DR Exotismes
Tour-opérateur spécialisé sur les Caraïbes et l'Océan Indien, Exotismes continue de se développer, à son rythme.
Le voyagiste annonce une nouvelle année de hausse de son chiffre d'affaires (+2,71% à 115, 76 millions d'euros) mais aussi de son résultat net (+26%).
En 2016, Exotismes a ainsi permis à 86 759 personnes de voyager, principalement vers l'île Maurice, la Guadeloupe et la Martinique.
Des bons résultats que le TO explique par ses performances sur l'Océan Indien, "qui a bénéficié du report des ventes des Caraïbes, impactées par le Zika à l'hiver 2015/2016", d'après Gilbert Cisneros, P-DG.
Une croissance qui devrait se poursuivre en 2017, les dirigeants parlant déjà d'une hausse du chiffre d'affaires de l'ordre de 7% sur les 8 premiers mois de l'année, portée par la très forte progression des Antilles et de La Réunion (+30% sur les deux destinations).
"Nos nouveaux marchés, notamment le Sri Lanka, lancé il y a un an, connait aussi une belle progression. C'est désormais une destination balnéaire à part entière", estime le P-DG.
Le voyagiste annonce une nouvelle année de hausse de son chiffre d'affaires (+2,71% à 115, 76 millions d'euros) mais aussi de son résultat net (+26%).
En 2016, Exotismes a ainsi permis à 86 759 personnes de voyager, principalement vers l'île Maurice, la Guadeloupe et la Martinique.
Des bons résultats que le TO explique par ses performances sur l'Océan Indien, "qui a bénéficié du report des ventes des Caraïbes, impactées par le Zika à l'hiver 2015/2016", d'après Gilbert Cisneros, P-DG.
Une croissance qui devrait se poursuivre en 2017, les dirigeants parlant déjà d'une hausse du chiffre d'affaires de l'ordre de 7% sur les 8 premiers mois de l'année, portée par la très forte progression des Antilles et de La Réunion (+30% sur les deux destinations).
"Nos nouveaux marchés, notamment le Sri Lanka, lancé il y a un an, connait aussi une belle progression. C'est désormais une destination balnéaire à part entière", estime le P-DG.
Le Mexique plutôt que Cuba
Plutôt que de se précipiter sur les destinations à la mode, le voyagiste préfère prendre son temps pour proposer une offre réfléchie et qualitative.
Ainsi, Exotismes a choisi pour 2017 de ne pas se lancer sur Cuba, estimant que la destination n'était pas encore assez adaptée à l'exigence de sa clientèle. "On s'y lancera certainement plus tard, mais pas aujourd'hui", estime Gilbert Cisneros.
Le voyagiste préfère le Mexique et la Riviera Maya, qu'il lance cette année en grande pompe : 22 hôtels répartis entre Cancun, Playa del Carmen et Cozumel, 3 autotours complets et des packages excursions sur les principaux sites mayas que sont Chichen Itza, Tulum et Coba.
"C'est une destination qui a une vraie profondeur de catalogue et qui est complémentaire de notre offre sur les Caraïbes", justifie Didier Sylvestre, directeur général adjoint.
Ainsi, Exotismes a choisi pour 2017 de ne pas se lancer sur Cuba, estimant que la destination n'était pas encore assez adaptée à l'exigence de sa clientèle. "On s'y lancera certainement plus tard, mais pas aujourd'hui", estime Gilbert Cisneros.
Le voyagiste préfère le Mexique et la Riviera Maya, qu'il lance cette année en grande pompe : 22 hôtels répartis entre Cancun, Playa del Carmen et Cozumel, 3 autotours complets et des packages excursions sur les principaux sites mayas que sont Chichen Itza, Tulum et Coba.
"C'est une destination qui a une vraie profondeur de catalogue et qui est complémentaire de notre offre sur les Caraïbes", justifie Didier Sylvestre, directeur général adjoint.
Stratégie de croissance externe
Autre axe de développement du TO : la croissance externe.
Comme avec les rachats de Vo2maxvoyages, leader du tourisme sportif, en 2014, et de Greens du monde, petit TO spécialiste des voyages golfiques, il y a quelques semaines. "La reprise de petits TO B2C leaders de leur spécialité est une vraie stratégie", explique Didier Sylvestre.
"C'est un concept gagnant-gagnant", ajoute son P-DG. "On ne change rien chez eux et on leur apporte une force d'achat qu'ils n'ont pas. Et si demain, on a d'autres opportunités sur d'autres niches, on le fera sans hésiter".
Car, dans le même temps, un développement en B2C n'est toujours pas à l'ordre du jour. "On ne s'interdit pas de le faire, mais, aujourd'hui, on a un schéma de développement qui fonctionne bien comme il est. On ne voit juste pas d'intérêt pour l'instant de mettre des moyens dans un tel projet", résume Gilbert Cisneros.
Avant de sourire : "On veut continuer à ne pas suivre la mode. La mode, ça se démode !"
Comme avec les rachats de Vo2maxvoyages, leader du tourisme sportif, en 2014, et de Greens du monde, petit TO spécialiste des voyages golfiques, il y a quelques semaines. "La reprise de petits TO B2C leaders de leur spécialité est une vraie stratégie", explique Didier Sylvestre.
"C'est un concept gagnant-gagnant", ajoute son P-DG. "On ne change rien chez eux et on leur apporte une force d'achat qu'ils n'ont pas. Et si demain, on a d'autres opportunités sur d'autres niches, on le fera sans hésiter".
Car, dans le même temps, un développement en B2C n'est toujours pas à l'ordre du jour. "On ne s'interdit pas de le faire, mais, aujourd'hui, on a un schéma de développement qui fonctionne bien comme il est. On ne voit juste pas d'intérêt pour l'instant de mettre des moyens dans un tel projet", résume Gilbert Cisneros.
Avant de sourire : "On veut continuer à ne pas suivre la mode. La mode, ça se démode !"