Marmara avait donc jeté un pavé dans la mare en tentant de rendre accessible la destination pour à peine 700 euros. Mais les autorités touristiques ne semblent pas s'être laissées faire./photo dr
“Je vous confirme que Marmara souhaite arrêter de travailler avec nous”.
Jean-Luc Hélary, le directeur du groupe Apavou devrait rencontrer les dirigeants du TO cette semaine pour trouver un accord suite à l’arrêt des ventes de ses hôtels sur l'île Maurice.
L’affaire a commencé en novembre dernier lorsque le gouvernement demande au groupe Apavou d’effectuer les mises aux normes nécessaires sur son établissement le Mornéa.
Les clients de Marmara sont alors transférés sur l’autre établissement du groupe Apavou : l’Indian resort.
“Le taux de satisfaction de cet hôtel est de 85% et son taux de remplissage frisait les 100%” assure Jean-Luc Hélary.
Entre temps, Apavou dit avoir réalisé les travaux de mise en conformité nécessaires au Mornéa.
“Il est prêt à ouvrir. Je ne sais pas pourquoi le gouvernement ne nous donne pas l’autorisation mais j’espère l’obtenir très prochainement ” annonce Jean-Luc Hélary.
Jean-Luc Hélary, le directeur du groupe Apavou devrait rencontrer les dirigeants du TO cette semaine pour trouver un accord suite à l’arrêt des ventes de ses hôtels sur l'île Maurice.
L’affaire a commencé en novembre dernier lorsque le gouvernement demande au groupe Apavou d’effectuer les mises aux normes nécessaires sur son établissement le Mornéa.
Les clients de Marmara sont alors transférés sur l’autre établissement du groupe Apavou : l’Indian resort.
“Le taux de satisfaction de cet hôtel est de 85% et son taux de remplissage frisait les 100%” assure Jean-Luc Hélary.
Entre temps, Apavou dit avoir réalisé les travaux de mise en conformité nécessaires au Mornéa.
“Il est prêt à ouvrir. Je ne sais pas pourquoi le gouvernement ne nous donne pas l’autorisation mais j’espère l’obtenir très prochainement ” annonce Jean-Luc Hélary.
Un coup dur pour Corsair
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D’après lui, l’île Maurice n’a pas vu d’un très bon oeil l’arrivée de Marmara sur le marché. Les produits du TO n’étant pas en adéquation avec l'image plus luxueuse que souhaite se donner la destination.
Cette image est pourtant mise à mal depuis quelques années. Le nombre croissant de chambres d’hôtels et de vols a fait chuter les prix et attiré une nouvelle clientèle, moins haut de gamme.
Marmara avait donc jeté un pavé dans la mare en tentant de rendre accessible la destination pour à peine 700 euros. Mais les autorités touristiques ne semblent pas s'être laissées faire.
Ces évènements confirment la volonté d'Apavou de se recentrer sur son métier historique, l’immobilier et d’abandonner l’exploitation hôtelière.
Une stratégie engagée depuis déjà quelques mois, avec la location de son établissement l'Ambre à Sun resort et du Cocotiers (2*sup) et du Bougainville (3*) au groupe Attitude.
Du coté de chez Marmara, on ne sait pas encore si le TO compte abandonner la destination ou s’il cherche de nouveaux hôtels avec lesquels travailler.
Son départ définitif pourrait causer un grand tord à la desserte aérienne de l'île opérée par Corsair. En effet, les clients du groupe TUI représenteraient jusqu'à 50% des passagers des vols opérés par la compagnie.
Cette image est pourtant mise à mal depuis quelques années. Le nombre croissant de chambres d’hôtels et de vols a fait chuter les prix et attiré une nouvelle clientèle, moins haut de gamme.
Marmara avait donc jeté un pavé dans la mare en tentant de rendre accessible la destination pour à peine 700 euros. Mais les autorités touristiques ne semblent pas s'être laissées faire.
Ces évènements confirment la volonté d'Apavou de se recentrer sur son métier historique, l’immobilier et d’abandonner l’exploitation hôtelière.
Une stratégie engagée depuis déjà quelques mois, avec la location de son établissement l'Ambre à Sun resort et du Cocotiers (2*sup) et du Bougainville (3*) au groupe Attitude.
Du coté de chez Marmara, on ne sait pas encore si le TO compte abandonner la destination ou s’il cherche de nouveaux hôtels avec lesquels travailler.
Son départ définitif pourrait causer un grand tord à la desserte aérienne de l'île opérée par Corsair. En effet, les clients du groupe TUI représenteraient jusqu'à 50% des passagers des vols opérés par la compagnie.