Terre Autentik propose Cuba, le Cap Vert, le Sénégal, la Polynésie, Madagascar, le Costa Rica, le Panama et les Seychelles - DR : Terre Autentik
TourMaG.com - Pourriez-vous nous résumer en quelques phrases le concept de Terre Autentik ?
Georges Médina : Nous avons lancé, ma femme et moi-même, le tour-opérateur en 2005. Au départ, nous étions très spécialisés sur le Cap Vert, un pays que je connais très bien.
Puis, nous avons ouvert Cuba, le Sénégal - je suis né là-bas - et la Polynésie.
Aujourd'hui, nous proposons aussi Madagascar, le Costa Rica, le Panama et les Seychelles. L'équipe est composée de 8 personnes, dont 5 conseillers experts, capables de vendre plusieurs destinations.
Notre concept est de faire ressortir l'authenticité d'un pays à travers sa culture, son peuple, son histoire, sa faune et sa flore. De sortir du créneau traditionnel.
Par exemple, au Cap Vert, nous axons le programme sur la découverte inter-îles, avec une formule bed and breakfast, en transports collectifs. Chaque voyage est libre. Les clients ont bien sûr un mini-guide avec des suggestions de visites, de restaurants. Ils ont aussi les contacts de nos guides locaux sur chaque île, qui parlent français.
Georges Médina : Nous avons lancé, ma femme et moi-même, le tour-opérateur en 2005. Au départ, nous étions très spécialisés sur le Cap Vert, un pays que je connais très bien.
Puis, nous avons ouvert Cuba, le Sénégal - je suis né là-bas - et la Polynésie.
Aujourd'hui, nous proposons aussi Madagascar, le Costa Rica, le Panama et les Seychelles. L'équipe est composée de 8 personnes, dont 5 conseillers experts, capables de vendre plusieurs destinations.
Notre concept est de faire ressortir l'authenticité d'un pays à travers sa culture, son peuple, son histoire, sa faune et sa flore. De sortir du créneau traditionnel.
Par exemple, au Cap Vert, nous axons le programme sur la découverte inter-îles, avec une formule bed and breakfast, en transports collectifs. Chaque voyage est libre. Les clients ont bien sûr un mini-guide avec des suggestions de visites, de restaurants. Ils ont aussi les contacts de nos guides locaux sur chaque île, qui parlent français.
TourMaG.com - Travaillez-vous exclusivement en B2C ?
Georges Médina : Il peut nous arriver 2 à 3 fois par an d'être contactés par des agences de voyages - ce sont souvent les mêmes qui nous appellent - pour une demande spécifique. Mais notre production est trop pointue pour la commercialiser en B2B.
TourMaG.com - Est-ce complexe de recruter des conseillers pour vendre du sur-mesure ?
Georges Médina : Nous sommes très exigeants quant aux compétences de nos agents de voyages et ce n'est pas simple de recruter à l'heure actuelle.
Nous recevons beaucoup de candidatures d'étudiants à la recherche d'une première expérience. Les profils sont peu adaptés, nous recherchons plutôt des personnes qui ont travaillé pour des TO que dans des agences, car nous ne vendons pas de catalogues.
Actuellement, nous avons besoin de renforcer notre équipe sur Cuba, car nous ne parvenons à traiter que 20% des demandes.
TourMaG.com - Cuba est une destination en plein essor. Comment faire face à la concurrence grandissante ?
Georges Médina : Il y a de la concurrence sur chaque destination. Il faut savoir se démarquer. Quand on est très spécialisé sur une destination et qu'on travaille dur, il est difficile qu'on vienne nous embêter là-dessus.
Sur Cuba, nous frôlons les 100% de croissance. Mais nous avertissons bien nos clients avant leur départ sur l'état de l'hôtellerie, la lenteur cubaine dans certains services, etc. Nous avons ainsi réussi à faire baisser fortement le taux des litiges.
Georges Médina : Il peut nous arriver 2 à 3 fois par an d'être contactés par des agences de voyages - ce sont souvent les mêmes qui nous appellent - pour une demande spécifique. Mais notre production est trop pointue pour la commercialiser en B2B.
TourMaG.com - Est-ce complexe de recruter des conseillers pour vendre du sur-mesure ?
Georges Médina : Nous sommes très exigeants quant aux compétences de nos agents de voyages et ce n'est pas simple de recruter à l'heure actuelle.
Nous recevons beaucoup de candidatures d'étudiants à la recherche d'une première expérience. Les profils sont peu adaptés, nous recherchons plutôt des personnes qui ont travaillé pour des TO que dans des agences, car nous ne vendons pas de catalogues.
Actuellement, nous avons besoin de renforcer notre équipe sur Cuba, car nous ne parvenons à traiter que 20% des demandes.
TourMaG.com - Cuba est une destination en plein essor. Comment faire face à la concurrence grandissante ?
Georges Médina : Il y a de la concurrence sur chaque destination. Il faut savoir se démarquer. Quand on est très spécialisé sur une destination et qu'on travaille dur, il est difficile qu'on vienne nous embêter là-dessus.
Sur Cuba, nous frôlons les 100% de croissance. Mais nous avertissons bien nos clients avant leur départ sur l'état de l'hôtellerie, la lenteur cubaine dans certains services, etc. Nous avons ainsi réussi à faire baisser fortement le taux des litiges.
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TourMaG.com - Envisagez-vous d'ouvrir de nouvelles destinations ?
Georges Médina : Nous commençons à étudier l'Asie, notamment le Japon et le Vietnam. Nous avons déjà trouvé un réceptif pour le Japon.
Prochainement, je vais reprendre mes grands voyages, partir en repérage. J'ai une carte affichée dans mon bureau, avec des punaises sur les destinations que j'aimerais lancer. Il y a aussi le Pérou, le Chili et l'Argentine en ligne de mire.
D'autres me font rêver, mais j'ai trop de craintes. Il y a Oman, ou encore la Jordanie, et puis l'Afrique. J'ai de grands regrets de ne pouvoir les lancer, mais je redoute ce qui pourrait s'y passer. Quand vous regardez les Conseils aux Voyageurs du Quai d'Orsay, cela ne donne pas envie de voyager...
Pourtant, parfois, les avis sont hallucinants. Le tourisme est aussi très politique !
TourMaG.com - D'autres projets sont-ils en cours ?
Georges Médina : Nous venons de lancer une nouvelle version du site web, qui intègre le paiement en ligne. Nous devrions déménager d'ici 2018, car nous souhaitons nous agrandir.
Enfin, nous prévoyons de créer notre propre logiciel de gestion, avec l'aide d'un prestataire, car ceux proposés ne correspondent pas totalement à notre activité.
TourMaG.com - Vous parlez de vous agrandir. Envisagez-vous des partenariats ?
Georges Médina : Nous avons déjà été approchés, il y a toujours des gens intéressés. Mais nous préférons garder l'esprit maison et rester indépendants financièrement.
Georges Médina : Nous commençons à étudier l'Asie, notamment le Japon et le Vietnam. Nous avons déjà trouvé un réceptif pour le Japon.
Prochainement, je vais reprendre mes grands voyages, partir en repérage. J'ai une carte affichée dans mon bureau, avec des punaises sur les destinations que j'aimerais lancer. Il y a aussi le Pérou, le Chili et l'Argentine en ligne de mire.
D'autres me font rêver, mais j'ai trop de craintes. Il y a Oman, ou encore la Jordanie, et puis l'Afrique. J'ai de grands regrets de ne pouvoir les lancer, mais je redoute ce qui pourrait s'y passer. Quand vous regardez les Conseils aux Voyageurs du Quai d'Orsay, cela ne donne pas envie de voyager...
Pourtant, parfois, les avis sont hallucinants. Le tourisme est aussi très politique !
TourMaG.com - D'autres projets sont-ils en cours ?
Georges Médina : Nous venons de lancer une nouvelle version du site web, qui intègre le paiement en ligne. Nous devrions déménager d'ici 2018, car nous souhaitons nous agrandir.
Enfin, nous prévoyons de créer notre propre logiciel de gestion, avec l'aide d'un prestataire, car ceux proposés ne correspondent pas totalement à notre activité.
TourMaG.com - Vous parlez de vous agrandir. Envisagez-vous des partenariats ?
Georges Médina : Nous avons déjà été approchés, il y a toujours des gens intéressés. Mais nous préférons garder l'esprit maison et rester indépendants financièrement.