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Swiss a enregistré un résultat opérationnel (EBIT) avant les coûts de restructuration à - 14 millions de francs suisses. Les recettes consolidées se sont élevées à 3,732 milliards de francs (3,642 milliards en 2004). En raison de la forte concurrence, la hausse des coûts des carburants (+213 millions de francs) n'a été que partiellement compensée par les surtaxes, précise encore la compagnie.
Au 4e trimestre 2005, l’EBIT avant frais de restructuration se situait à – 38 MCHF (contre – 123 MCHF en 2004), et la perte nette à – 97 MCHF (contre – 123 MCHF en 2004). Au 31 décembre 2005, SWISS disposait de 558 MCHF de trésorerie (contre 481 MCHF fin 2004).Le résultat d’exploitation tient compte de dépréciations exceptionnelles résultant de la perte de valeur d’avions régionaux et du parc immobilier pour un montant de 115 MCHF.
Il a en revanche bénéficié (de même que l’EBIT) d’une recette non récurrente de 43 MCHF au 1er trimestre résultant de la cession de créneaux horaires à British Airways pour l’aéroport de Londres Heathrow.
La perte nette consolidée a atteint 178 MCHF
La perte nette consolidée a atteint 178 MCHF, contre 140 MCHF en 2004, en dépit d’une hausse sensible du résultat d’exploitation. Ceci s’explique par l’ajustement de valeurs lié à l’effet de change précité (différence de 125 MCHF par rapport à l’exercice précédent) et par le montant des frais de restructuration (différence de 41 MCHF par rapport à 2004). « SWISS a toutefois sensiblement accru son résultat opérationnel en 2005, en dépit de la facture pétrolière et d’une concurrence acerbe. Le programme de restructuration se révèle efficace » commente Christoph Franz, président de la direction générale de SWISS.
« Le fait que nous réalisions encore des pertes substantielles malgré la mise en oeuvre de vastes mesures d’économie et l’amélioration du résultat opérationnel prouve que nous devons poursuivre sans répit la restructuration entamée ainsi que les négociations en vue des CCT » ajoute-t-il avant d’évoquer les perspectives de SWISS à long terme.
« Une profitabilité durable suppose que nous atteignions une marge EBIT d’au moins cinq à huit pour cent. C’est la condition sine qua non pour que SWISS dispose d’un potentiel de revenu suffisant et puisse envisager une future croissance ».
Internet : www.swiss.fr
Au 4e trimestre 2005, l’EBIT avant frais de restructuration se situait à – 38 MCHF (contre – 123 MCHF en 2004), et la perte nette à – 97 MCHF (contre – 123 MCHF en 2004). Au 31 décembre 2005, SWISS disposait de 558 MCHF de trésorerie (contre 481 MCHF fin 2004).Le résultat d’exploitation tient compte de dépréciations exceptionnelles résultant de la perte de valeur d’avions régionaux et du parc immobilier pour un montant de 115 MCHF.
Il a en revanche bénéficié (de même que l’EBIT) d’une recette non récurrente de 43 MCHF au 1er trimestre résultant de la cession de créneaux horaires à British Airways pour l’aéroport de Londres Heathrow.
La perte nette consolidée a atteint 178 MCHF
La perte nette consolidée a atteint 178 MCHF, contre 140 MCHF en 2004, en dépit d’une hausse sensible du résultat d’exploitation. Ceci s’explique par l’ajustement de valeurs lié à l’effet de change précité (différence de 125 MCHF par rapport à l’exercice précédent) et par le montant des frais de restructuration (différence de 41 MCHF par rapport à 2004). « SWISS a toutefois sensiblement accru son résultat opérationnel en 2005, en dépit de la facture pétrolière et d’une concurrence acerbe. Le programme de restructuration se révèle efficace » commente Christoph Franz, président de la direction générale de SWISS.
« Le fait que nous réalisions encore des pertes substantielles malgré la mise en oeuvre de vastes mesures d’économie et l’amélioration du résultat opérationnel prouve que nous devons poursuivre sans répit la restructuration entamée ainsi que les négociations en vue des CCT » ajoute-t-il avant d’évoquer les perspectives de SWISS à long terme.
« Une profitabilité durable suppose que nous atteignions une marge EBIT d’au moins cinq à huit pour cent. C’est la condition sine qua non pour que SWISS dispose d’un potentiel de revenu suffisant et puisse envisager une future croissance ».
Internet : www.swiss.fr
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