Si Pascal de Izaguirre, le président de TUI France, n’a pas accompagné Isabelle Michalak la directrice des ressources humaines à Lyon ce mardi, contrairement à la demande des grévistes, il présidera néanmoins le prochain comité d’entreprise lyonnais du 17 février 2012. /photo dr
Chez Tourinter/Aventuria à Lyon, le personnel qui avait perçu dans les paroles du président de Nouvelles Frontières qu’ils ne seraient pas touchés par les suppressions d’emplois, puisque l’entreprise était bénéficiaire, se sont même mis en grève, pour la première fois de leur histoire, pendant deux jours pour défendre les 15 postes touchés par le PSE.
Si Pascal de Izaguirre, le président de TUI France, n’a pas accompagné Isabelle Michalak la directrice des ressources humaines à Lyon hier, contrairement à la demande des grévistes, il présidera néanmoins le prochain comité d’entreprise lyonnais du 17 février.
Le message de la directrice des ressources humaines sur les possibilités de négociations a, pour l’heure, calmé le jeu. Les collaborateurs lyonnais ont décidé de reprendre le travail dès ce mercredi matin.
Si Pascal de Izaguirre, le président de TUI France, n’a pas accompagné Isabelle Michalak la directrice des ressources humaines à Lyon hier, contrairement à la demande des grévistes, il présidera néanmoins le prochain comité d’entreprise lyonnais du 17 février.
Le message de la directrice des ressources humaines sur les possibilités de négociations a, pour l’heure, calmé le jeu. Les collaborateurs lyonnais ont décidé de reprendre le travail dès ce mercredi matin.
Le bras de fer se met donc en place
Côté parisien, la première assemblée générale qu’ont tenu les employés de TUI Travel France a abouti à un vote en faveur d‘un mouvement de grève reconductible.
Le bras de fer se met donc en place même si, un plan de sauvegarde de l’emploi, comme son nom l’indique, est le fruit d’une négociation longue et serrée.
Le rôle des représentants du personnel sera de défendre un maximum de postes et de gagner, pour les partants, les meilleures mesures d’accompagnement…
On sait également que, statistiquement, le déménagement d’une entreprise de la région parisienne implique le départ d’environ 10% du personnel. Or, le groupe se cherche de nouveaux locaux pour rassembler les équipes de NF et de Marmara.
Autant d’éléments qui pourraient jouer sur l’ampleur des licenciements, mais juste à la marge.
Le bras de fer se met donc en place même si, un plan de sauvegarde de l’emploi, comme son nom l’indique, est le fruit d’une négociation longue et serrée.
Le rôle des représentants du personnel sera de défendre un maximum de postes et de gagner, pour les partants, les meilleures mesures d’accompagnement…
On sait également que, statistiquement, le déménagement d’une entreprise de la région parisienne implique le départ d’environ 10% du personnel. Or, le groupe se cherche de nouveaux locaux pour rassembler les équipes de NF et de Marmara.
Autant d’éléments qui pourraient jouer sur l’ampleur des licenciements, mais juste à la marge.