Le voyagiste allemand côté à la bourse de Francfort a divulgué, mercredi 13 décembre 2017, ses comptes annuels au travers d'un rapport de 256 pages.
Et alors que l'année 2017 s'annonce pour le milieu du tourisme comme un bon cru, il en est de même pour le géant Allemand, à quelques exceptions près.
Fritz Joussen le P-DG de TUI félicite du bilan : "nous sommes sur une troisième année consécutive de croissance à deux chiffres du résultat opérationnel. Nous étendons toujours plus notre position en tant que leader du tourisme international".
Malgré cette intervention emprunte de triomphalisme, la bourse de Francfort a sanctionné leurs compatriotes. A 16h le titre perdait quasiment 1%, les raisons de cette baisse? Un bénéfice net en recul, passant de 1,152 milliard d'euros à 761 millions en l'espace d'un an, soit une baisse de 33%.
Une baisse à mettre en parallèle avec une hausse du chiffre d'affaires assez notable puisque celui-ci atteint des sommets en passant la barre des 19 milliards d'euros, contre 17 milliards l'année précédente. Un accroissement de 11,2%, qui devrait confirmer la stratégie du groupe appelé "TUI 22", dont les ambitions sont de gagner 1 million de nouveaux clients, et 1 milliard de chiffre d'affaires (CA) d'ici 5 ans.
Différents secteurs d'activité ont porté la croissance du chiffre d'affaires, avec notamment un bond plus que notable de la croisière gagnant 15,9% (CA de 815 millions d'euros), et de l'hôtellerie à +7,9% (CA de 1,366 milliard d'euros).
Et alors que l'année 2017 s'annonce pour le milieu du tourisme comme un bon cru, il en est de même pour le géant Allemand, à quelques exceptions près.
Fritz Joussen le P-DG de TUI félicite du bilan : "nous sommes sur une troisième année consécutive de croissance à deux chiffres du résultat opérationnel. Nous étendons toujours plus notre position en tant que leader du tourisme international".
Malgré cette intervention emprunte de triomphalisme, la bourse de Francfort a sanctionné leurs compatriotes. A 16h le titre perdait quasiment 1%, les raisons de cette baisse? Un bénéfice net en recul, passant de 1,152 milliard d'euros à 761 millions en l'espace d'un an, soit une baisse de 33%.
Une baisse à mettre en parallèle avec une hausse du chiffre d'affaires assez notable puisque celui-ci atteint des sommets en passant la barre des 19 milliards d'euros, contre 17 milliards l'année précédente. Un accroissement de 11,2%, qui devrait confirmer la stratégie du groupe appelé "TUI 22", dont les ambitions sont de gagner 1 million de nouveaux clients, et 1 milliard de chiffre d'affaires (CA) d'ici 5 ans.
Différents secteurs d'activité ont porté la croissance du chiffre d'affaires, avec notamment un bond plus que notable de la croisière gagnant 15,9% (CA de 815 millions d'euros), et de l'hôtellerie à +7,9% (CA de 1,366 milliard d'euros).
La France pointée du doigt
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Concernant les marchés, l'Europe du Nord (Scandinavie, UK, Irlande) pâti d'un ralentissement de son activité.
En effet avec un CA de 6,601 milliards la hausse est plus que légère (0,8%), pendant que l'Europe Centrale (Allemagne, Autriche, Pologne) repart à la hausse (+ 8,6%) avec un chiffre d'affaires s'établissant à 6,039 milliards d'euros, suite à une année où l'activité avait dévissée.
La satisfaction du voyagiste allemand est à chercher du côté de l'Ouest européen (France, Belgique et Hollande) avec une flambée du volume d'affaires de 22% (CA de 3,502 milliards d'euros).
Dans cette courbe ascendante, il subsiste un point noir, la France.
Le rapport annuel pointe du doigt l'Hexagone, pour avoir généré "des résultats jugés comme décevants, car il n'y a pas eu d'amélioration des chiffres de l'année précédente." Alors que la Belgique et la Hollande obtiennent de bons résultats, la France est le seul pays à ne pas participer à la forte croissance de l'Europe de l'Ouest.
Dans le même temps, si l'intégration du tour-opérateur français Transat est jugé comme satisfaisante, les synergies découlant de cette acquisition ne seront perceptibles que dans les cinq prochaines années.
Toutefois, un bon point ressort côté français, puisque la compagnie aérienne Corsair est mise en exergue dans les bons résultats du marché "autre tourisme", gagnant +1,2%.
Pour conclure, Fritz Joussen le P-DG de TUI de dévoiler les tendances pour l'année 2018 : "nous continuerons d'investir dans nos propres hôtels et compagnies de croisières pour générer une croissance supplémentaire."
En effet avec un CA de 6,601 milliards la hausse est plus que légère (0,8%), pendant que l'Europe Centrale (Allemagne, Autriche, Pologne) repart à la hausse (+ 8,6%) avec un chiffre d'affaires s'établissant à 6,039 milliards d'euros, suite à une année où l'activité avait dévissée.
La satisfaction du voyagiste allemand est à chercher du côté de l'Ouest européen (France, Belgique et Hollande) avec une flambée du volume d'affaires de 22% (CA de 3,502 milliards d'euros).
Dans cette courbe ascendante, il subsiste un point noir, la France.
Le rapport annuel pointe du doigt l'Hexagone, pour avoir généré "des résultats jugés comme décevants, car il n'y a pas eu d'amélioration des chiffres de l'année précédente." Alors que la Belgique et la Hollande obtiennent de bons résultats, la France est le seul pays à ne pas participer à la forte croissance de l'Europe de l'Ouest.
Dans le même temps, si l'intégration du tour-opérateur français Transat est jugé comme satisfaisante, les synergies découlant de cette acquisition ne seront perceptibles que dans les cinq prochaines années.
Toutefois, un bon point ressort côté français, puisque la compagnie aérienne Corsair est mise en exergue dans les bons résultats du marché "autre tourisme", gagnant +1,2%.
Pour conclure, Fritz Joussen le P-DG de TUI de dévoiler les tendances pour l'année 2018 : "nous continuerons d'investir dans nos propres hôtels et compagnies de croisières pour générer une croissance supplémentaire."