Cette sur-commission non prévue dans les contrats et jamais évoquée avec les intéressés est particulièrement inadmissible et encore plus dans son caractère rétroactif.
Cette décision qui contrevient à tout code élémentaire de bonne conduite dans les affaires, constitue une atteinte au métier du tour-operating.
De surcroît, les tour-opérateurs ont géré avec professionnalisme et une formidable réactivité une année exceptionnelle en évènements géopolitiques.
Ainsi, la qualité de la gestion de la relation clients pendant ces évènements, puis la recomposition d’une offre Eté 2011 pour contrebalancer la défection conjoncturelle des destinations touchées, auront sauvé une partie de la saison.
Au-delà de la décision, le CETO regrette donc d'autant plus que le réseau Thomas Cook ait pris une position qui tend à ignorer la mobilisation et l'effort exceptionnel de la profession du touroperating pendant cette période, qui s'est faite dans l'intérêt de tous les acteurs du secteur et des distributeurs en particulier.
En ce qui concerne les projets institutionnels en cours, le CETO prendra le temps de consulter une nouvelle fois ses membres, mais considère qu'il n'est pas à propos de les remettre en cause pour ce motif.
"En effet, notre profession a besoin à l'avenir de renforcer son influence, son attractivité, sa crédibilité et l'image de ses entreprises."
Le Président du CETO précise avoir par ailleurs longuement commenté cette position au Président de Thomas Cook France, dés la naissance du différend.
Cette décision qui contrevient à tout code élémentaire de bonne conduite dans les affaires, constitue une atteinte au métier du tour-operating.
De surcroît, les tour-opérateurs ont géré avec professionnalisme et une formidable réactivité une année exceptionnelle en évènements géopolitiques.
Ainsi, la qualité de la gestion de la relation clients pendant ces évènements, puis la recomposition d’une offre Eté 2011 pour contrebalancer la défection conjoncturelle des destinations touchées, auront sauvé une partie de la saison.
Au-delà de la décision, le CETO regrette donc d'autant plus que le réseau Thomas Cook ait pris une position qui tend à ignorer la mobilisation et l'effort exceptionnel de la profession du touroperating pendant cette période, qui s'est faite dans l'intérêt de tous les acteurs du secteur et des distributeurs en particulier.
En ce qui concerne les projets institutionnels en cours, le CETO prendra le temps de consulter une nouvelle fois ses membres, mais considère qu'il n'est pas à propos de les remettre en cause pour ce motif.
"En effet, notre profession a besoin à l'avenir de renforcer son influence, son attractivité, sa crédibilité et l'image de ses entreprises."
Le Président du CETO précise avoir par ailleurs longuement commenté cette position au Président de Thomas Cook France, dés la naissance du différend.