Développer une thalassothérapie de haut niveau, conforme aux meilleures normes internationales de qualité a été, dès l’origine, l’ambition de la Tunisie.
Dès 1992, un décret-loi définissait les critères d’implantation, de gestion ainsi que de prélèvement et de stockage de l’eau de mer. Il exigeait que les centres soient dirigés par un médecin.
Le premier centre ouvrait à Sousse en 1994. En 2007, un nouveau décret renforçait les contrôles et plaçait les centres de cures marines sous la tutelle du ministère de la Santé publique.
Aujourd’hui, de Tabarka au nord-ouest, à Zarzis au sud-est, répartis sur ses 1 300 kilomètres de côtes, la Tunisie compte près d’une soixantaine de centres de thalassothérapie, à quelques unités près autant qu’en France.
Toujours sous la tutelle de la Santé publique, ils dépendent de l’Office National du Thermalisme et de l’hydrothérapie.
Dès 1992, un décret-loi définissait les critères d’implantation, de gestion ainsi que de prélèvement et de stockage de l’eau de mer. Il exigeait que les centres soient dirigés par un médecin.
Le premier centre ouvrait à Sousse en 1994. En 2007, un nouveau décret renforçait les contrôles et plaçait les centres de cures marines sous la tutelle du ministère de la Santé publique.
Aujourd’hui, de Tabarka au nord-ouest, à Zarzis au sud-est, répartis sur ses 1 300 kilomètres de côtes, la Tunisie compte près d’une soixantaine de centres de thalassothérapie, à quelques unités près autant qu’en France.
Toujours sous la tutelle de la Santé publique, ils dépendent de l’Office National du Thermalisme et de l’hydrothérapie.
450 centres dédiés au bien-être et au tourisme de santé
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Année après année, le bien-être s’est donc affirmé comme une valeur sûre du tourisme tunisien.
Un air pur, un climat doux et ensoleillé une grande partie de l’année, une eau de mer riche en sels minéraux et en oligo-éléments et de nombreuses sources thermales lui donnaient de solides atouts pour engager un tel développement.
Dans ce pays, la reconnaissance des vertus du bain remontent à l’Antiquité et que dire de la renommée des Thermes de Carthage… Elle a traversé l’Histoire.
Aujourd’hui encore de nombreuses sources thermales sont exploitées dans les hammams traditionnels.
A cette longue tradition des hammams et des massages s’est ajoutée l’expertise des années 2000. Et si l’on ajoute les Spas et le thermalisme, le pays atteint les 450 centres dédiés au bien-être et/ou à la santé.
Sans se doter d’un centre de thalassothérapie, de nombreux hôtels ont en effet opté pour le Spa, en prodiguant des soins d’eau douce associés à une série de protocoles et de rituels sophistiqués.
Un air pur, un climat doux et ensoleillé une grande partie de l’année, une eau de mer riche en sels minéraux et en oligo-éléments et de nombreuses sources thermales lui donnaient de solides atouts pour engager un tel développement.
Dans ce pays, la reconnaissance des vertus du bain remontent à l’Antiquité et que dire de la renommée des Thermes de Carthage… Elle a traversé l’Histoire.
Aujourd’hui encore de nombreuses sources thermales sont exploitées dans les hammams traditionnels.
A cette longue tradition des hammams et des massages s’est ajoutée l’expertise des années 2000. Et si l’on ajoute les Spas et le thermalisme, le pays atteint les 450 centres dédiés au bien-être et/ou à la santé.
Sans se doter d’un centre de thalassothérapie, de nombreux hôtels ont en effet opté pour le Spa, en prodiguant des soins d’eau douce associés à une série de protocoles et de rituels sophistiqués.
« Garantir la présence de profils hautement qualifiés »
Qu’ils soient « thalasso » ou « Spa » les centres intégrés dans les hôtels se sont diversifiés.
Certains ont opté pour le luxe et l’espace, d’autres se révèlent plus intimistes et conviviaux. Tous doivent respecter les réglementations en vigueur. Tous sont régulièrement contrôlés.
« Les curistes d’aujourd’hui ne recherchent plus uniquement repos, confort et remise en forme. Très informés, plus minutieux, ils ont des exigences précises.
Les exploitants ont compris qu’il fallait optimiser leurs cures et leurs soins et offrir à cette nouvelle clientèle des résultats palpables et objectifs. L’objectif commun est de garantir la présence de profils hautement qualifiés ».
Sadok Gharbiche, docteur en médecine générale et président de la Chambre Syndicale des Centres d’Hydrothérapie de Tunisie est aujourd’hui l’homme de la situation.
A ces fonctions s’ajoute sa qualité d’expert international ISO en thalassothérapie et SPA. A ce titre il est le responsable de la nouvelle norme internationale ISO en tourisme de santé.
En 2014, la Tunisie compte une douzaine d’écoles de formation aux métiers du « bien-être » agréées par le ministère du ministère de l’éducation et de la formation professionnelle.
Outre les vertus de l’eau de mer, on y enseigne l’hydrothérapie, la massothérapie qui inclut les rituels venus de tous les continents, la climatothérapie, la maintenance, etc.
En dépit des turbulences politiques qui ont traversé leur pays, les professionnels tunisiens de la thalasso et du bien-être n’ont pas baissé les bras.
Ils se sont imposés un service standard en terme de matériaux techniques et de respect des normes internationales de sécurité et d’hygiène.
En 2014, ils poursuivent leur développement avec de nouveaux soins, de nouveaux équipements, de nouvelles cures et de nouveaux rituels.
Certains ont opté pour le luxe et l’espace, d’autres se révèlent plus intimistes et conviviaux. Tous doivent respecter les réglementations en vigueur. Tous sont régulièrement contrôlés.
« Les curistes d’aujourd’hui ne recherchent plus uniquement repos, confort et remise en forme. Très informés, plus minutieux, ils ont des exigences précises.
Les exploitants ont compris qu’il fallait optimiser leurs cures et leurs soins et offrir à cette nouvelle clientèle des résultats palpables et objectifs. L’objectif commun est de garantir la présence de profils hautement qualifiés ».
Sadok Gharbiche, docteur en médecine générale et président de la Chambre Syndicale des Centres d’Hydrothérapie de Tunisie est aujourd’hui l’homme de la situation.
A ces fonctions s’ajoute sa qualité d’expert international ISO en thalassothérapie et SPA. A ce titre il est le responsable de la nouvelle norme internationale ISO en tourisme de santé.
En 2014, la Tunisie compte une douzaine d’écoles de formation aux métiers du « bien-être » agréées par le ministère du ministère de l’éducation et de la formation professionnelle.
Outre les vertus de l’eau de mer, on y enseigne l’hydrothérapie, la massothérapie qui inclut les rituels venus de tous les continents, la climatothérapie, la maintenance, etc.
En dépit des turbulences politiques qui ont traversé leur pays, les professionnels tunisiens de la thalasso et du bien-être n’ont pas baissé les bras.
Ils se sont imposés un service standard en terme de matériaux techniques et de respect des normes internationales de sécurité et d’hygiène.
En 2014, ils poursuivent leur développement avec de nouveaux soins, de nouveaux équipements, de nouvelles cures et de nouveaux rituels.