La capitale Tunisienne est soumise à un couvre feu depuis mardi 12 juin, peu avant 20h.
Allégé de deux heures depuis mercredi soir, il est en vigueur de 22h locales à 04h du matin, alors qu'il couvrait mardi les plages horaires de 21d à 5h et couvre le "Grand Tunis" (qui comporte quatre gouvernorats) et les gouvernorats de Sousse (est), Monastir (est), Jendouba (nord-ouest), et Medenine (sud).
Des violences ont éclaté dans plusieurs régions du pays dans la nuit de lundi 11 à mardi 12 juin, ainsi que dans la nuit de mardi à mercredi. C'est une exposition à La Marsa qui s'est tenue du 2 au 10 juin qui seraient à l'origine de ces affrontements.
Les groupes d'islamistes radicaux n'auraient pas appréciés cette exposition de peinture qui avait lieu en clôture du Printemps des arts.
Des postes de police, des tribunaux, des sièges de partis politiques ou des locaux syndicaux, auraient été pris pour cible. Des affrontements ont eu lieu entre des groupes d'islamistes radicaux et de casseurs et les forces de l'ordre.
Les salafistes ont appelé à de nouvelles manifestations vendredi prochain. En réponse, le chef du parti islamiste Ennahda au pouvoir en Tunisie, Rached Ghannouchi, a appelé mercredi 13 juin, la population à descendre dans la rue et à protéger les bâtiments publics, selon Lemonde.fr
Allégé de deux heures depuis mercredi soir, il est en vigueur de 22h locales à 04h du matin, alors qu'il couvrait mardi les plages horaires de 21d à 5h et couvre le "Grand Tunis" (qui comporte quatre gouvernorats) et les gouvernorats de Sousse (est), Monastir (est), Jendouba (nord-ouest), et Medenine (sud).
Des violences ont éclaté dans plusieurs régions du pays dans la nuit de lundi 11 à mardi 12 juin, ainsi que dans la nuit de mardi à mercredi. C'est une exposition à La Marsa qui s'est tenue du 2 au 10 juin qui seraient à l'origine de ces affrontements.
Les groupes d'islamistes radicaux n'auraient pas appréciés cette exposition de peinture qui avait lieu en clôture du Printemps des arts.
Des postes de police, des tribunaux, des sièges de partis politiques ou des locaux syndicaux, auraient été pris pour cible. Des affrontements ont eu lieu entre des groupes d'islamistes radicaux et de casseurs et les forces de l'ordre.
Les salafistes ont appelé à de nouvelles manifestations vendredi prochain. En réponse, le chef du parti islamiste Ennahda au pouvoir en Tunisie, Rached Ghannouchi, a appelé mercredi 13 juin, la population à descendre dans la rue et à protéger les bâtiments publics, selon Lemonde.fr
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