Erhan Ipek (au centre) se félicite du succès du lancement de la laison entre Marseille et Istanbul - Photo P.C.
Depuis le lancement officiel de la ligne le 4 juin 2013, environ 30 000 passagers ont été transportés, dans les deux sens, sur les liaisons Marseille-Istanbul de Turkish Airlines.
Des chiffres enregistrés à fin octobre 2013 et révélés ce mercredi 27 novembre 2013 par Erhan Ipek, Directeur Général de la compagnie aérienne à Marseille.
Lors d'un déjeuner de presse organisé à l'InterContinental Marseille-Hôtel Dieu, il s'est félicité d'un taux de remplissage "compris entre 80 % et 90 %" sur les vols. Une fréquentation répartie environ à 50/50 entre les voyageurs d'affaires et les clients loisirs.
De bons résultats qui pourraient éventuellement inciter l'opérateur à passer à une fréquence quotidienne sur la ligne pour l'été 2014. Mais, à l'heure actuelle rien n'est décidé, précise Erhan Ipek.
Pour 2014, il compte sur un taux de remplissage d'"au moins" 90 % sur la ligne Marseille-Istanbul. Le transporteur veut par ailleurs développer la puissance de son hub à l'aéroport d'Istanbul-Ataturk afin, à terme, de concurrencer ses homologues des Emirats et le hub de Dubaï pour les routes à destination de l'Asie.
Des chiffres enregistrés à fin octobre 2013 et révélés ce mercredi 27 novembre 2013 par Erhan Ipek, Directeur Général de la compagnie aérienne à Marseille.
Lors d'un déjeuner de presse organisé à l'InterContinental Marseille-Hôtel Dieu, il s'est félicité d'un taux de remplissage "compris entre 80 % et 90 %" sur les vols. Une fréquentation répartie environ à 50/50 entre les voyageurs d'affaires et les clients loisirs.
De bons résultats qui pourraient éventuellement inciter l'opérateur à passer à une fréquence quotidienne sur la ligne pour l'été 2014. Mais, à l'heure actuelle rien n'est décidé, précise Erhan Ipek.
Pour 2014, il compte sur un taux de remplissage d'"au moins" 90 % sur la ligne Marseille-Istanbul. Le transporteur veut par ailleurs développer la puissance de son hub à l'aéroport d'Istanbul-Ataturk afin, à terme, de concurrencer ses homologues des Emirats et le hub de Dubaï pour les routes à destination de l'Asie.