
Xue Guifeng, la directrice de l'OT de Chine à Paris, lors d'une soirée à Alfortville, dans les salons de l’hôtel Huatian Chinagora - DR : Interface Tourism
Après un passage à Milan, l’Office du tourisme chinois a choisi la France pour faire la promotion de Shanghai et de ses 6 provinces du Sud-Ouest : Guizhou, Yunnan, Guangdong, Guangxi, Qinhai mais aussi le Tibet.
D’abord une étape à Bordeaux, une ville très appréciée par la délégation chinoise pour la beauté de son patrimoine et de ses environs.
Puis une grande soirée à Paris, à Alfortville plus précisément, dans les salons de l’hôtel Huatian Chinagora, au confluent de la Seine et de la Marne.
« Désormais, les Français vont bien au-delà de Pékin et de Hong Kong », expliquait Xue Guifeng, la directrice de l’Office en France.
« Ils cherchent de plus en plus à connaître la Chine profonde, d’où le choix de ces provinces, avec leur diversité ethnique et naturelle, qui sont vraiment à l’image de la Chine éternelle.»
D’abord une étape à Bordeaux, une ville très appréciée par la délégation chinoise pour la beauté de son patrimoine et de ses environs.
Puis une grande soirée à Paris, à Alfortville plus précisément, dans les salons de l’hôtel Huatian Chinagora, au confluent de la Seine et de la Marne.
« Désormais, les Français vont bien au-delà de Pékin et de Hong Kong », expliquait Xue Guifeng, la directrice de l’Office en France.
« Ils cherchent de plus en plus à connaître la Chine profonde, d’où le choix de ces provinces, avec leur diversité ethnique et naturelle, qui sont vraiment à l’image de la Chine éternelle.»
Plus de 50 minorités ethniques pour découvrir la Chine éternelle
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Comme partout en Chine, les mégalopoles comme Guangzhou, Kunming, Lhassa, Nanning ou l’île-cité de Guizhou, combinent l’architecture moderne la plus spectaculaire et les bâtiments les plus traditionnels.
Mais la vraie diversité de ces régions est ailleurs que dans ce contraste aujourd’hui relativement fréquent.
Elle est d’abord dans les paysages, tantôt montagneux et très accidentés, tantôt plus rupestres avec des forêts et des cascades gigantesques ou des cultures en terrasse à perte de vue.
De quoi imaginer un safari photo à couper le souffle.
Cette diversité est surtout dans la présence d’une cinquantaine de minorités, les Lahu, les Naxi, les Bai, les Thaï, les Miao, les Yao, les Yi et autres Bulang…, toutes plus attachées les unes que les autres à leurs traditions culturelles et certainement plus accueillantes que leurs compatriotes pékinois.
Mais la vraie diversité de ces régions est ailleurs que dans ce contraste aujourd’hui relativement fréquent.
Elle est d’abord dans les paysages, tantôt montagneux et très accidentés, tantôt plus rupestres avec des forêts et des cascades gigantesques ou des cultures en terrasse à perte de vue.
De quoi imaginer un safari photo à couper le souffle.
Cette diversité est surtout dans la présence d’une cinquantaine de minorités, les Lahu, les Naxi, les Bai, les Thaï, les Miao, les Yao, les Yi et autres Bulang…, toutes plus attachées les unes que les autres à leurs traditions culturelles et certainement plus accueillantes que leurs compatriotes pékinois.
La France, un marché émetteur toujours dynamique
Cette mosaïque populaire enrichit naturellement l’offre touristique de ces 6 régions du Sud-Ouest chinois.
Avec une architecture chaque fois différente, en pierre ou en bois, une gastronomie particulière et un artisanat spécifique, ces régions combinées entre elles ou visitées séparément ont sûrement de quoi inspirer largement les TO français.
D’autant plus que la France semble être un marché émetteur plutôt dynamique malgré le contexte actuel.
En 2012, en effet, nos compatriotes ont été plus de 520 000 à visiter l’Empire du Milieu, pour une fréquentation en hausse de 6,4% par rapport à 2011.
Une tendance qu’illustre parfaitement l’ouverture récente du 1er Club Méditerranée de Chine, et qui profite certainement du développement constant des échanges économiques franco-chinois.
« Nous sommes persuadés qu’il y a encore un gros potentiel de croissance sur le marché français » confirme d’ailleurs la directrice de l’Office à Paris.
Visiter la Chine vraiment « populaire » ! Quelle plus belle occasion de sortir des sentiers trop battus.
Avec une architecture chaque fois différente, en pierre ou en bois, une gastronomie particulière et un artisanat spécifique, ces régions combinées entre elles ou visitées séparément ont sûrement de quoi inspirer largement les TO français.
D’autant plus que la France semble être un marché émetteur plutôt dynamique malgré le contexte actuel.
En 2012, en effet, nos compatriotes ont été plus de 520 000 à visiter l’Empire du Milieu, pour une fréquentation en hausse de 6,4% par rapport à 2011.
Une tendance qu’illustre parfaitement l’ouverture récente du 1er Club Méditerranée de Chine, et qui profite certainement du développement constant des échanges économiques franco-chinois.
« Nous sommes persuadés qu’il y a encore un gros potentiel de croissance sur le marché français » confirme d’ailleurs la directrice de l’Office à Paris.
Visiter la Chine vraiment « populaire » ! Quelle plus belle occasion de sortir des sentiers trop battus.