Pourtant il existe au niveau européen des règles en matière de commerce électronique.
Et que dire du fait qu’il exerce aussi en France et qu’à ce jour, malgré les plaintes des clients, il poursuit impunément ses activités ?
Aucune immatriculation auprès d’Atout France, des procédures d’annulation manifestement abusives, des prélèvements fantaisistes et, malgré cela, la soi-disante agence de voyages parade sur les chaînes de télé, draînant de nouveaux clients et de futures victimes. Vol24.fr : malgré l'illégalité de ses activités "l'agence" en ligne persiste et signe
Ces agissements doivent cesser, parce qu’ils portent atteinte à l’honneur de la profession tout entière.
Quand on s’auto proclame “agence de voyages”, on fait mention à un statut qui comporte des devoirs et des obligations.
Or, à ce jour, rien ne laisse à penser, bien au contraire que Vol24.fr s’y conforme.
Alors qu’attendent les autorités pour exiger que cet organisme se plie strictement au Code du Tourisme ou cesse d’exercer ses activités sur le web français ?
Accessoirement, il ne serait pas inutile que le Snav s’émeuve de la situation qui, une fois de plus, porte atteinte à l’ensemble de la profession et décourage ceux qui essayent de l’exercer honnêtement et dans les règles de l'art.
Et que dire du fait qu’il exerce aussi en France et qu’à ce jour, malgré les plaintes des clients, il poursuit impunément ses activités ?
Aucune immatriculation auprès d’Atout France, des procédures d’annulation manifestement abusives, des prélèvements fantaisistes et, malgré cela, la soi-disante agence de voyages parade sur les chaînes de télé, draînant de nouveaux clients et de futures victimes. Vol24.fr : malgré l'illégalité de ses activités "l'agence" en ligne persiste et signe
Ces agissements doivent cesser, parce qu’ils portent atteinte à l’honneur de la profession tout entière.
Quand on s’auto proclame “agence de voyages”, on fait mention à un statut qui comporte des devoirs et des obligations.
Or, à ce jour, rien ne laisse à penser, bien au contraire que Vol24.fr s’y conforme.
Alors qu’attendent les autorités pour exiger que cet organisme se plie strictement au Code du Tourisme ou cesse d’exercer ses activités sur le web français ?
Accessoirement, il ne serait pas inutile que le Snav s’émeuve de la situation qui, une fois de plus, porte atteinte à l’ensemble de la profession et décourage ceux qui essayent de l’exercer honnêtement et dans les règles de l'art.