Ce dernier est par ailleurs très remonté contre la déclaration sur l’honneur que Thomas Cook exige de voir signée par tous les clients du réseau souhaitant se rendre à La Réunion : «Pourquoi prendre cette mesure à l’encontre de la seule Réunion alors que tout l’océan Indien est touché par le chikungunya ?, s’interroge-t-il.
Dans notre entreprise, poursuit Gérard Ethève, 20 personnes ont été touchées par le virus… sur les 600 employés travaillant dans l’île. Non, la Réunion n’est pas devenue un grand hôpital ! »
L’évolution de l’épidémie dépend des conditions climatiques
Le dernier point hebdomadaire de l’Institut nationale de Veille Sanitaire (INVS), effectué le 13 avril dernier, montre que l’épidémie de chikungunya reste toujours active, avec 3.100 cas estimés pour la semaine du 3 au 9 avril dernier, ce qui traduit tout de même un maintien de l’épidémie à un niveau élevé.
Si l’on est loin des quelque 20.000 cas hebdomadaires enregistrés début février, la courbe épidémique montre que la diminution du nombre de cas observée à partir de la mi-février s’est poursuivie à un rythme plus lent depuis début mars. L’évolution de l’épidémie dépend désormais en partie des conditions climatiques qui prévaudront à la suite de l’été austral.
Dans notre entreprise, poursuit Gérard Ethève, 20 personnes ont été touchées par le virus… sur les 600 employés travaillant dans l’île. Non, la Réunion n’est pas devenue un grand hôpital ! »
L’évolution de l’épidémie dépend des conditions climatiques
Le dernier point hebdomadaire de l’Institut nationale de Veille Sanitaire (INVS), effectué le 13 avril dernier, montre que l’épidémie de chikungunya reste toujours active, avec 3.100 cas estimés pour la semaine du 3 au 9 avril dernier, ce qui traduit tout de même un maintien de l’épidémie à un niveau élevé.
Si l’on est loin des quelque 20.000 cas hebdomadaires enregistrés début février, la courbe épidémique montre que la diminution du nombre de cas observée à partir de la mi-février s’est poursuivie à un rythme plus lent depuis début mars. L’évolution de l’épidémie dépend désormais en partie des conditions climatiques qui prévaudront à la suite de l’été austral.