Alors que l'on évoque un dépôt de bilan de Chase International, la centrale de réservation hôtelière, François-Xavier Bioul, DG France de Chase, "ne confirme pas tout à fait cette information".
Contacté par nos soins, il précise que la maison mère basée à Dublin a bel et bien cessé ses activités le 1er novembre.
"C'est une décision de la direction pour protéger la marque et les clients afin de trouver des opérateurs financiers qui puissent relancer la machine..
Conséquence en France, l'activité est aussi au point mort. Pour autant la filiale française n'aurait pas effectué, à ce jour "de demande de cessation de paiement au Tribunal de commerce de Paris".
Contacté par nos soins, il précise que la maison mère basée à Dublin a bel et bien cessé ses activités le 1er novembre.
"C'est une décision de la direction pour protéger la marque et les clients afin de trouver des opérateurs financiers qui puissent relancer la machine..
Conséquence en France, l'activité est aussi au point mort. Pour autant la filiale française n'aurait pas effectué, à ce jour "de demande de cessation de paiement au Tribunal de commerce de Paris".
"Chase International travaille dans l'Hexagone avec 500 agences de voyages."
Pour autant, François-Xavier Bioul précise que l'impact financier pour les distributeurs devrait "avoir peu d'incidence."
"Les prestations sont en moyenne payées 20 jours après la date de départ du client. Les réservations pour novembre, décembre et l'année prochaine peuvent donc être annulées. Les agences pourront re-protéger leurs clients, chez d'autres prestataires."
François-Xavier Bioul reste prudent, et espère qu'un maximum d'emplois pourra être sauvé.
En France, Chase International emploie 6 personnes.
Pour autant, François-Xavier Bioul précise que l'impact financier pour les distributeurs devrait "avoir peu d'incidence."
"Les prestations sont en moyenne payées 20 jours après la date de départ du client. Les réservations pour novembre, décembre et l'année prochaine peuvent donc être annulées. Les agences pourront re-protéger leurs clients, chez d'autres prestataires."
François-Xavier Bioul reste prudent, et espère qu'un maximum d'emplois pourra être sauvé.
En France, Chase International emploie 6 personnes.