Le prochain objectif de la CLIA est la saison hivernale aux Antilles. Un défi tant économique que sanitaire - DR : DepositPhotos.com, ml12nan
L’association internationale des compagnies de croisière (CLIA) dresse un bilan positif de la reprise des croisières en France, depuis le 30 juin dernier et ce, après quinze mois d’arrêt.
"Malgré la réduction de l’offre globale des croisiéristes, les chiffres de l’été 2021 se rapprochent des taux observés en 2019", commente la CLIA dans un communiqué.
Au cours de l’été, près de 97 000 passagers sont passés par le port de Marseille, dont 38 000 en embarquement direct.
LIRE A CE SUJET :
- Reprise des croisières : J’ai testé pour vous le "Costa Smeralda" en Méditerranée
- MSC Croisières : j'ai testé pour vous une croisière à bord du MSC Seaside au départ de Marseille
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Au cours de l’été, près de 97 000 passagers sont passés par le port de Marseille, dont 38 000 en embarquement direct.
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Une reprise qui bénéficie aux sites touristiques locaux
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"Cette reprise bénéficie également à de nombreux sites touristiques locaux, en premier lieu Marseille et ses environs, qui après plusieurs mois d’apathie touristique, ont pu profiter à fond des 58 000 passagers en transit qui généralement consomment et se restaurent sur place, poursuit la CLIA.
Les bons résultats de l’été 2021 s’expliquent à la fois par une solide adhésion de la clientèle aux voyages de croisière, mais également par la capacité des croisiéristes à s’adapter au contexte en proposant des protocoles sanitaires à la fois stricts et respectueux des activités de loisir. "
Pour exemple, au niveau du port de Marseille-Fos, CLIA a été rapidement soutenue par la préfecture, l’ARS et le bataillon des marins-pompiers.
"Une concertation continue avec l’ensemble des services de l’Etat a permis de renforcer les protocoles sanitaires standards auxquels se conformaient déjà les croisiéristes (vérification du passe sanitaire et remise d’un questionnaire de santé, présence d’équipes et d’équipements médicaux, inspection et nettoyage des navires, etc.), permettant ainsi aux clients d’embarquer en toute sécurité".
Les bons résultats de l’été 2021 s’expliquent à la fois par une solide adhésion de la clientèle aux voyages de croisière, mais également par la capacité des croisiéristes à s’adapter au contexte en proposant des protocoles sanitaires à la fois stricts et respectueux des activités de loisir. "
Pour exemple, au niveau du port de Marseille-Fos, CLIA a été rapidement soutenue par la préfecture, l’ARS et le bataillon des marins-pompiers.
"Une concertation continue avec l’ensemble des services de l’Etat a permis de renforcer les protocoles sanitaires standards auxquels se conformaient déjà les croisiéristes (vérification du passe sanitaire et remise d’un questionnaire de santé, présence d’équipes et d’équipements médicaux, inspection et nettoyage des navires, etc.), permettant ainsi aux clients d’embarquer en toute sécurité".
Guadeloupe et Martinique, dépendantes de l’économie bleue
Désormais, le prochain objectif est la saison hivernale aux Antilles. Un défi tant économique que sanitaire que devront relever en étroite collaboration croisiéristes et pouvoirs publics.
L’attention de CLIA se porte donc sur la Guadeloupe et la Martinique. "Avec respectivement 7,1% et 6,4% d’emplois maritimes, la Guadeloupe et la Martinique sont les deux départements français qui dépendent le plus de l’économie bleue.
A l’enjeu économique s’ajoute un enjeu plus humain : la moitié des passagers de ces croisières est une clientèle permanente désireuse de retrouver ses proches à l’approche des fêtes, explique la CLIA.
L’industrie des croisières travaille donc en étroite collaboration avec le Gouvernement et les autorités locales afin d’assurer la pérennité de cette saison cruciale.
Elle s’assurera de répondre présente auprès de l’ensemble des voyageurs tout en maintenant l’excellence des protocoles sanitaires qui ont fait la force de ses partenariats métropolitains."
L’attention de CLIA se porte donc sur la Guadeloupe et la Martinique. "Avec respectivement 7,1% et 6,4% d’emplois maritimes, la Guadeloupe et la Martinique sont les deux départements français qui dépendent le plus de l’économie bleue.
A l’enjeu économique s’ajoute un enjeu plus humain : la moitié des passagers de ces croisières est une clientèle permanente désireuse de retrouver ses proches à l’approche des fêtes, explique la CLIA.
L’industrie des croisières travaille donc en étroite collaboration avec le Gouvernement et les autorités locales afin d’assurer la pérennité de cette saison cruciale.
Elle s’assurera de répondre présente auprès de l’ensemble des voyageurs tout en maintenant l’excellence des protocoles sanitaires qui ont fait la force de ses partenariats métropolitains."