Le nouveau site Internet d'Intermèdes va servir de modèle au fonctionnement du futur portail en ligne de Terre Entière - Capture d'écran
TourMaG.com – Comment s'est passé le début de l'exercice 2016/2017 pour Intermèdes ?
Michel Olivier : Comme pour l'ensemble de la profession, l'année 2017 est plutôt bonne pour Intermèdes. La croissance est correcte.
Notre volume d'affaires (VA) devrait être en hausse de 5 à 7 % sur 2016/2017, exercice qui s'achève fin septembre 2017. Cela fera suite à une progression de 15 %, dont 10 % apportés par Terre Entière, en 2015/2016.
Sur l'activité de croisières, notre activité est en recul en raison de l'absence d'un produit qui concentre généralement 25 % de notre chiffre d'affaires sur le secteur. Il s'agit d'une croisière « événement » avec des conférences et des concerts.
Nous ne la proposons pas cette année pour des raisons d'ordre technique avec l'armateur. Faute de garanties suffisantes, nous avons préféré annuler plutôt que nous engager sans visibilité. Mais la croisière sera de retour en 2018, sous forme fluviale.
Cette perte sur la croisière est, en revanche, compensée par une augmentation de 8 à 10 % de nos revenus sur toute la partie terrestre.
TourMaG.com – Comment se présente la suite ?
M.O. : L'automne 2017 se profile plutôt bien. Les tendances sont solides. Mais c'est le cas de l'ensemble des tour-opérateurs français, j'ai l'impression.
Pour le reste de l'exercice, nous n'avons pas encore la visibilité suffisante pour donner des prévisions.
Michel Olivier : Comme pour l'ensemble de la profession, l'année 2017 est plutôt bonne pour Intermèdes. La croissance est correcte.
Notre volume d'affaires (VA) devrait être en hausse de 5 à 7 % sur 2016/2017, exercice qui s'achève fin septembre 2017. Cela fera suite à une progression de 15 %, dont 10 % apportés par Terre Entière, en 2015/2016.
Sur l'activité de croisières, notre activité est en recul en raison de l'absence d'un produit qui concentre généralement 25 % de notre chiffre d'affaires sur le secteur. Il s'agit d'une croisière « événement » avec des conférences et des concerts.
Nous ne la proposons pas cette année pour des raisons d'ordre technique avec l'armateur. Faute de garanties suffisantes, nous avons préféré annuler plutôt que nous engager sans visibilité. Mais la croisière sera de retour en 2018, sous forme fluviale.
Cette perte sur la croisière est, en revanche, compensée par une augmentation de 8 à 10 % de nos revenus sur toute la partie terrestre.
TourMaG.com – Comment se présente la suite ?
M.O. : L'automne 2017 se profile plutôt bien. Les tendances sont solides. Mais c'est le cas de l'ensemble des tour-opérateurs français, j'ai l'impression.
Pour le reste de l'exercice, nous n'avons pas encore la visibilité suffisante pour donner des prévisions.
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TourMaG.com – Deux ans après la reprise de Terre Entière, où en est l'intégration ?
M.O. : Elle se passe assez bien. La reprise était compliquée car les activités de Terre Entière étaient stoppées depuis plusieurs mois.
Ensuite, après la reprise, les remboursements ont aussi pris du temps : 18 mois en moyenne. C'est une période pendant laquelle les clients étaient un peu nerveux. Maintenant qu'elle est terminée, ça va mieux.
La ligne de produits « pèlerinages » de Terre Entière a été conservée en l'état. La ligne « voyages culturels » a, quant à elle été intégrée à Intermèdes et élargie.
Nous sommes encore en phase de reconquête de la clientèle. L'année dernière, nous avions réussi à conserver la moitié des clients de Terre Entière et nous en comptons près de 75 % en 2017.
Notre objectif est de retrouver les volumes de ventes d'avant la défaillance de Terre Entière d'ici 2019.
LIRE : Intermèdes fait son miel de la reprise de Terre Entière en 2016
TourMaG.com – Quels sont vos projets pour l'avenir de Terre Entière ?
M.O. : Nous passons en phase de développement. Notamment celui du site Internet dont le fonctionnement va être calqué sur celui du nouveau portail en ligne d'Intermèdes.
Cela va nous apporter de la simplicité dans les opérations de maintenance. Pour le client, le fonctionnement et le processus de vente en ligne seront beaucoup plus rapides et sécurisés.
M.O. : Elle se passe assez bien. La reprise était compliquée car les activités de Terre Entière étaient stoppées depuis plusieurs mois.
Ensuite, après la reprise, les remboursements ont aussi pris du temps : 18 mois en moyenne. C'est une période pendant laquelle les clients étaient un peu nerveux. Maintenant qu'elle est terminée, ça va mieux.
La ligne de produits « pèlerinages » de Terre Entière a été conservée en l'état. La ligne « voyages culturels » a, quant à elle été intégrée à Intermèdes et élargie.
Nous sommes encore en phase de reconquête de la clientèle. L'année dernière, nous avions réussi à conserver la moitié des clients de Terre Entière et nous en comptons près de 75 % en 2017.
Notre objectif est de retrouver les volumes de ventes d'avant la défaillance de Terre Entière d'ici 2019.
LIRE : Intermèdes fait son miel de la reprise de Terre Entière en 2016
TourMaG.com – Quels sont vos projets pour l'avenir de Terre Entière ?
M.O. : Nous passons en phase de développement. Notamment celui du site Internet dont le fonctionnement va être calqué sur celui du nouveau portail en ligne d'Intermèdes.
Cela va nous apporter de la simplicité dans les opérations de maintenance. Pour le client, le fonctionnement et le processus de vente en ligne seront beaucoup plus rapides et sécurisés.
TourMaG.com – Début 2017, vous expliquiez vouloir trouver une agence avec une thématique et une clientèle en lien avec le cœur de métier d'Intermèdes. Où en êtes-vous de ce projet ?
M.O. : Il s'agit moins d'un projet que d'une attitude.
La caractéristique d'Intermèdes est d'être un opérateur en vente directe avec des thématiques fortes et précises plus ou moins proches de la culture.
A ce titre, nous restons ouverts et attentifs à l'ensemble des opportunités de croissance externe qui se présentent. Nous nous positionnons parfois mais, pour le moment, rien n'a encore abouti.
TourMaG.com – Niveau production, Intermèdes va-t-il présenter des nouveautés prochainement ?
M.O. : Rien de particulier. Nous restons dans une logique globale et permanente d'élargissement de notre offre.
En 2018, Intermèdes proposera ainsi une centaine de nouveaux produits. Mais, parmi eux, il n'y en a aucun que nous souhaitons mettre particulièrement en avant.
TourMaG.com – Vous ne travailliez qu'en vente directe ?
M.O. : Oui en très grande partie.
Mais quand une agence de voyages a des clients qui sont à la recherche d'un produit touristique culturel, nous pouvons travailler ensemble de manière ponctuelle.
Nous n'avons pas développé de compétences dans la gestion BtoB de la distribution de nos produits et n'avons pas pour projet de le faire dans un futur proche.
M.O. : Il s'agit moins d'un projet que d'une attitude.
La caractéristique d'Intermèdes est d'être un opérateur en vente directe avec des thématiques fortes et précises plus ou moins proches de la culture.
A ce titre, nous restons ouverts et attentifs à l'ensemble des opportunités de croissance externe qui se présentent. Nous nous positionnons parfois mais, pour le moment, rien n'a encore abouti.
TourMaG.com – Niveau production, Intermèdes va-t-il présenter des nouveautés prochainement ?
M.O. : Rien de particulier. Nous restons dans une logique globale et permanente d'élargissement de notre offre.
En 2018, Intermèdes proposera ainsi une centaine de nouveaux produits. Mais, parmi eux, il n'y en a aucun que nous souhaitons mettre particulièrement en avant.
TourMaG.com – Vous ne travailliez qu'en vente directe ?
M.O. : Oui en très grande partie.
Mais quand une agence de voyages a des clients qui sont à la recherche d'un produit touristique culturel, nous pouvons travailler ensemble de manière ponctuelle.
Nous n'avons pas développé de compétences dans la gestion BtoB de la distribution de nos produits et n'avons pas pour projet de le faire dans un futur proche.