1 - Lituanie : Vilnius, pour commencer
2 - Une plongée dans la Lituanie médiévale
3 - S’immerger dans une campagne authentique
4 - La Lituanie version sports de plein air
5 - La colline des croix, symbole de la liberté retrouvée
6 - Une gastronomie savoureuse
7 - Lituanie : quelles conditions d'entrée
2 - Une plongée dans la Lituanie médiévale
3 - S’immerger dans une campagne authentique
4 - La Lituanie version sports de plein air
5 - La colline des croix, symbole de la liberté retrouvée
6 - Une gastronomie savoureuse
7 - Lituanie : quelles conditions d'entrée
1 - Lituanie : Vilnius, pour commencer
Ville verdoyante, Vilnius, la capitale de la Lituanie est aussi, selon l'UNESCO, une "ville multiculturelle exceptionnelle, dans laquelle les influences de l'Ouest et de l'Est ont été fusionnées" (Photo PB)
Autres articles
Nichée à la confluence du Néris et de la Vilnia, Vilnius, l’actuelle capitale de la Lituanie est verdoyante, très agréable à vivre, quatre fois plus étendue que Paris mais peuplée de seulement 550 000 habitants. A trois heures d’avion de Paris, elle bénéficie d’une bonne desserte, en particulier par Air Baltic, la compagnie de la Lettonie voisine (vols les lundi, mercredi et vendredi).
Classée au Patrimoine mondial par l’Unesco depuis 1994, la vieille ville de Vilnius regorge d’édifices de style baroque, en particulier dans le quartier des ambassades aux nombreuses façades colorées et ornées de sculptures.
A lire aussi : La Lituanie veut accélérer la relance de son tourisme
Cependant, elle compte aussi de superbes édifices gothiques comme Sainte-Anne et le monastère des Bernardins, des bâtiments Renaissance, un palais présidentiel classique, une cathédrale néo-classique...
Comme souvent au Moyen-Age, cette vieille ville a été construite autour de l’hôtel de ville qui est relié au palais des ducs (il a été reconstruit) par l’artère principale, Pilies g.
Les petites rues étroites, sinueuses et pavées permettent, elles, d’apercevoir de jolies cours intérieures et d’admirer les vitrines des boutiques et des ateliers.
Du haut du clocher de l’université fondée par les Jésuites en 1579, la vue à 360 degrés sur la ville et ses alentours est bluffante. Elle l’est également depuis la colline où subsiste une des tours du château de Gediminas, le Grand-Duc qui a fait de Vilnius sa capitale, au début du XIVe siècle. A l’époque, le pays pratiquait encore le paganisme, mais Gediminas a décrété la liberté de religions et attiré marchands, artisans, moines et savants.
Ainsi, dès l’origine, Vilnius a été une ville ouverte, multi-ethnique et multiculturelle. Les juifs ont pu s’y installer, nombreux, contribuant à la prospérité et à l’aura de cette ville souvent surnommée « Jérusalem de Lituanie » et même « Jérusalem du Nord » par Napoléon 1er.
Pendant l’occupation par l’Allemagne nazie qui a débuté dès 1939, la communauté juive a été presque totalement exterminée. Aujourd’hui Vilnius honore cette mémoire douloureuse dans ses rues notamment avec des panneaux qui situent l’emplacement des deux ghettos où avaient été enfermés les 40 000 juifs tandis que des fresques murales évoquent leur vie avant la Shoah.
Parce que située à un emplacement stratégique ouvert sur la mer baltique, la Lituanie a toujours suscité des convoitises. Après les conflits du XIIIe siècle entre les peuples baltes et leurs envahisseurs teutoniques, le XVe siècle a vu la Lituanie réunie avec la Pologne dans un même vaste royaume.
En 1793, elle a été annexée par la Russie. Occupée par l’Allemagne de 1915 à 1918 puis de nouveau de 1939 à 1945, elle a ensuite été annexée par l’URSS. Une fois débarrassée du joug soviétique et revenue à l’économie de marché, Vilnius, pimpante, s’est enrichie de nouveaux quartiers peuplés d’immeubles de verre et d'acier dont la modernité contraste avec les sinistres barres d'habitation de l'époque soviétique.
Ceux qui n’ont pas peur de se donner des frissons visiteront le musée installé dans les anciens locaux du KGB : il retrace l’enfer vécu par les Lituaniens pendant la dictature soviétique. Pour se remettre, une incursion dans le plus ancien faubourg de Vilnius, Užupis, sera ensuite bienvenue.
L’ambiance bohème reflète l’ouverture, la tolérance et l’esprit de liberté de ce quartier d’artistes organisé en petite « République autonome », sur le modèle de celle de Montmartre, à Paris. Sur un mur de la rue Paupio, les 41 articles de la constitution de cette République sont gravés au laser dans 25 langues, dont le français.
Classée au Patrimoine mondial par l’Unesco depuis 1994, la vieille ville de Vilnius regorge d’édifices de style baroque, en particulier dans le quartier des ambassades aux nombreuses façades colorées et ornées de sculptures.
A lire aussi : La Lituanie veut accélérer la relance de son tourisme
Cependant, elle compte aussi de superbes édifices gothiques comme Sainte-Anne et le monastère des Bernardins, des bâtiments Renaissance, un palais présidentiel classique, une cathédrale néo-classique...
Comme souvent au Moyen-Age, cette vieille ville a été construite autour de l’hôtel de ville qui est relié au palais des ducs (il a été reconstruit) par l’artère principale, Pilies g.
Les petites rues étroites, sinueuses et pavées permettent, elles, d’apercevoir de jolies cours intérieures et d’admirer les vitrines des boutiques et des ateliers.
Du haut du clocher de l’université fondée par les Jésuites en 1579, la vue à 360 degrés sur la ville et ses alentours est bluffante. Elle l’est également depuis la colline où subsiste une des tours du château de Gediminas, le Grand-Duc qui a fait de Vilnius sa capitale, au début du XIVe siècle. A l’époque, le pays pratiquait encore le paganisme, mais Gediminas a décrété la liberté de religions et attiré marchands, artisans, moines et savants.
Ainsi, dès l’origine, Vilnius a été une ville ouverte, multi-ethnique et multiculturelle. Les juifs ont pu s’y installer, nombreux, contribuant à la prospérité et à l’aura de cette ville souvent surnommée « Jérusalem de Lituanie » et même « Jérusalem du Nord » par Napoléon 1er.
Pendant l’occupation par l’Allemagne nazie qui a débuté dès 1939, la communauté juive a été presque totalement exterminée. Aujourd’hui Vilnius honore cette mémoire douloureuse dans ses rues notamment avec des panneaux qui situent l’emplacement des deux ghettos où avaient été enfermés les 40 000 juifs tandis que des fresques murales évoquent leur vie avant la Shoah.
Parce que située à un emplacement stratégique ouvert sur la mer baltique, la Lituanie a toujours suscité des convoitises. Après les conflits du XIIIe siècle entre les peuples baltes et leurs envahisseurs teutoniques, le XVe siècle a vu la Lituanie réunie avec la Pologne dans un même vaste royaume.
En 1793, elle a été annexée par la Russie. Occupée par l’Allemagne de 1915 à 1918 puis de nouveau de 1939 à 1945, elle a ensuite été annexée par l’URSS. Une fois débarrassée du joug soviétique et revenue à l’économie de marché, Vilnius, pimpante, s’est enrichie de nouveaux quartiers peuplés d’immeubles de verre et d'acier dont la modernité contraste avec les sinistres barres d'habitation de l'époque soviétique.
Ceux qui n’ont pas peur de se donner des frissons visiteront le musée installé dans les anciens locaux du KGB : il retrace l’enfer vécu par les Lituaniens pendant la dictature soviétique. Pour se remettre, une incursion dans le plus ancien faubourg de Vilnius, Užupis, sera ensuite bienvenue.
L’ambiance bohème reflète l’ouverture, la tolérance et l’esprit de liberté de ce quartier d’artistes organisé en petite « République autonome », sur le modèle de celle de Montmartre, à Paris. Sur un mur de la rue Paupio, les 41 articles de la constitution de cette République sont gravés au laser dans 25 langues, dont le français.
2 - Une plongée dans la Lituanie médiévale
Au cours de son histoire, la Lituanie a eu d’autres capitales : La plus ancienne, Kernavé, était celle de Mindaugas, l’homme qui a unifié les tribus baltes. Sur les cinq collines hautement stratégiques qui surplombent la plaine du Néris, il avait bâti une forteresse qui sera attaquée par l’ordre des chevaliers teutoniques. Des fouilles archéologiques y sont menées régulièrement.
Très proche de Vilnius, Kernavé est aisément accessible, comme Trakaï (6000 habitants). Capitale du pays du XIVe siècle, cette dernière est devenu un lieu de promenade prisé des habitants de Vilnius. C’est le Grand-Duc Gediminas qui a fait construire l’imposante forteresse gothique en brique rouge, largement reconstruite, qui y domine une île au milieu du lac Galvé.
Tout près, le restaurant Kybynlar propose de se délecter d’aubergines et de feuilles de vignes farcies et de confectionner de délicieux chaussons à la viande avec le maître de céans. Ce dernier appartient à une ethnie d’origine turque ultra-minoritaire en Lituanie, les Karaïtes.
C’est le Grand-Duc Vytautas, soucieux de se constituer une garnison fidèle, qui a fait venir 400 familles des bords de la mer noire à la fin au XIVe siècle. Depuis, leurs descendants s’efforcent de préserver leurs coutumes, leur langue et leur religion rattachée à une branche du judaïsme qui reconnaît la Torah mais pas le Talmud.
Après déjeuner, le restaurant propose des balades en bateau électrique. Elles permettent de mieux d’admirer la forteresse de Vytautas depuis le lac Galvé. et de s’immerger dans les paysages d’eau et de forêt caractéristiques de la Lituanie.
Très proche de Vilnius, Kernavé est aisément accessible, comme Trakaï (6000 habitants). Capitale du pays du XIVe siècle, cette dernière est devenu un lieu de promenade prisé des habitants de Vilnius. C’est le Grand-Duc Gediminas qui a fait construire l’imposante forteresse gothique en brique rouge, largement reconstruite, qui y domine une île au milieu du lac Galvé.
Tout près, le restaurant Kybynlar propose de se délecter d’aubergines et de feuilles de vignes farcies et de confectionner de délicieux chaussons à la viande avec le maître de céans. Ce dernier appartient à une ethnie d’origine turque ultra-minoritaire en Lituanie, les Karaïtes.
C’est le Grand-Duc Vytautas, soucieux de se constituer une garnison fidèle, qui a fait venir 400 familles des bords de la mer noire à la fin au XIVe siècle. Depuis, leurs descendants s’efforcent de préserver leurs coutumes, leur langue et leur religion rattachée à une branche du judaïsme qui reconnaît la Torah mais pas le Talmud.
Après déjeuner, le restaurant propose des balades en bateau électrique. Elles permettent de mieux d’admirer la forteresse de Vytautas depuis le lac Galvé. et de s’immerger dans les paysages d’eau et de forêt caractéristiques de la Lituanie.
3 - S’immerger dans une campagne authentique
Les lacs (ici, celui de Zarasas) occupent 20 % du territoire de la Lituanie (Photo PB)
Parfois, les Lituaniens se disputent à propos du nombre exact de lacs dans leur région. Il est vrai que le pays en compte plus de 5000 !
Les rivières sont également nombreuses. Et plus du tiers du territoire est couvert de forêt. Les reliefs verdoyants et peu accidentés se prêtent à de belles randonnées –à pied ou à vélo- sur les innombrables sentiers aménagés et balisés, notamment dans les cinq parcs nationaux.
Le plus ancien de tous, celui d’Aukštaitija abrite-une Réserve naturelle où se trouve l’unique musée de l’apiculture du pays. Même ceux qui ne s’intéressent pas aux abeilles seront passionnés par l’exposition interactive La visite s’achève, évidemment, par une dégustation de miel.
Pour se faire une idée de la géographie particulière de la Lituanie et de ses lacs, l’idéal est aussi de grimper sur une plate-forme d’observation. Celle qui a été installée au bord du lac Zarasas, forme un impressionnant cercle. Dans la région de Biržai, capitale de la bière, la tour Kirkilai à l’allure de canoë dressé est haute de 30 mètres !
Les rivières sont également nombreuses. Et plus du tiers du territoire est couvert de forêt. Les reliefs verdoyants et peu accidentés se prêtent à de belles randonnées –à pied ou à vélo- sur les innombrables sentiers aménagés et balisés, notamment dans les cinq parcs nationaux.
Le plus ancien de tous, celui d’Aukštaitija abrite-une Réserve naturelle où se trouve l’unique musée de l’apiculture du pays. Même ceux qui ne s’intéressent pas aux abeilles seront passionnés par l’exposition interactive La visite s’achève, évidemment, par une dégustation de miel.
Pour se faire une idée de la géographie particulière de la Lituanie et de ses lacs, l’idéal est aussi de grimper sur une plate-forme d’observation. Celle qui a été installée au bord du lac Zarasas, forme un impressionnant cercle. Dans la région de Biržai, capitale de la bière, la tour Kirkilai à l’allure de canoë dressé est haute de 30 mètres !
4 - La Lituanie version sports de plein air
La Lituanie est un paradis pour les amateurs de sports de plein air et notamment de canoë-Kayak (Photo PB).
Rivières et lacs de Lituanie se prêtent, évidemment, à des sorties en canoë-kayak. Par exemple dans le parc national d’ Aukštaitija, en partant de Palūšė. Même ceux qui ne sont pas très sportifs, se régaleront. Pour se requinquer, une séance de sauna traditionnel à l’auberge Labanoras sera ensuite bienvenue.
Dans la région de Biržai, le manoir Mantagailiškis propose, lui, de se frotter à un sport assez peu connu : le Monteball, qui se joue avec un ballon de football. Le but est d’envoyer-avec le pied- la balle dans un trou de type golf, avec le moins de coups possibles et sans toucher la balle des autres joueurs sous peine de perdre des points. Même si on ne comprend pas toutes les règles, même si l’on perd, on est assuré de s’amuser beaucoup !
Dans la région de Biržai, le manoir Mantagailiškis propose, lui, de se frotter à un sport assez peu connu : le Monteball, qui se joue avec un ballon de football. Le but est d’envoyer-avec le pied- la balle dans un trou de type golf, avec le moins de coups possibles et sans toucher la balle des autres joueurs sous peine de perdre des points. Même si on ne comprend pas toutes les règles, même si l’on perd, on est assuré de s’amuser beaucoup !
5 - La colline des croix, symbole de la liberté retrouvée
Sur la "colline des croix", près de Šiauliai, les Lituaniens viennent en pèlerinage manifester leur foi mais aussi leur attachement à la liberté et la démocratie (Photo PB).
Dans ce pays majoritairement catholique, les habitants ont, depuis le XVe siècle, coutume d’ériger des croix partout. Leur création est même devenue une branche de l’art populaire traditionnel. Près de Šiauliai, la « colline des croix », installée sur le tertre de Jurgaiciai, symbolise, elle, la résistance au communisme et la liberté autant que la foi des Lituaniens.
Les premières croix ont été mises en cachette pendant la période soviétique : aussitôt détruites par les autorités, elles étaient réinstallées de nuit par les habitants. Depuis l’indépendance retrouvée en 1990, cette colline s’est couverte de plusieurs centaines de milliers de croix de toutes tailles et matières, des plus sophistiquées aux plus simples.
La visite du pape Jean-Paul II en 1993 a donné une aura supplémentaire à cet émouvant lieu de pèlerinage. On y voit maintenant des croix ornées d’un drapeau lituanien ou d’un message de soutien à Taïwan.
Les premières croix ont été mises en cachette pendant la période soviétique : aussitôt détruites par les autorités, elles étaient réinstallées de nuit par les habitants. Depuis l’indépendance retrouvée en 1990, cette colline s’est couverte de plusieurs centaines de milliers de croix de toutes tailles et matières, des plus sophistiquées aux plus simples.
La visite du pape Jean-Paul II en 1993 a donné une aura supplémentaire à cet émouvant lieu de pèlerinage. On y voit maintenant des croix ornées d’un drapeau lituanien ou d’un message de soutien à Taïwan.
6 - Une gastronomie savoureuse
Qu’elle soit traditionnelle ou plus sophistiquée, la cuisine lituanienne est savoureuse. Pain noir, bière, vins faits exclusivement de baies ou de fruits, fromages, viande fumée, saucisses sèches, pâtes de fruits, miels abondent sur les tables et sur les étals des petites épiceries bio comme Senamiescio Krautuvele à Vilnius.
A la campagne, du côté de Ginučiai, le visiteur dégustera, avec délices, soupe de poisson, poissons fumés, crêpes garnies de lait caillé et nappées de beurre fondu préparés à l’ancienne par Valdas, le propriétaire de Gaideliu Sodyba. A Labanoras, l’hôtel du même nom, sert aussi une bonne cuisine traditionnelle.
A Vilnius, à côté de restaurants comme Mykolo4 (bon marché) et Ertlio Namas (un peu plus cher) qui revisitent avec bonheur la cuisine lituanienne, on trouve l’exceptionnel Amandus.
Son chef Deivydas Praspaliauskas mériterait d’être étoilé !. Le menu dégustation (75 €, vins non compris) est digne des meilleures tables. Pour finir la soirée, une virée à Spunka s’impose. Ce bar est réputé servir les meilleures bières du pays dans une ambiance jeune et sympa- !
Pour en savoir plus, consulter le site : https://www.lithuania.travel/fr
A la campagne, du côté de Ginučiai, le visiteur dégustera, avec délices, soupe de poisson, poissons fumés, crêpes garnies de lait caillé et nappées de beurre fondu préparés à l’ancienne par Valdas, le propriétaire de Gaideliu Sodyba. A Labanoras, l’hôtel du même nom, sert aussi une bonne cuisine traditionnelle.
A Vilnius, à côté de restaurants comme Mykolo4 (bon marché) et Ertlio Namas (un peu plus cher) qui revisitent avec bonheur la cuisine lituanienne, on trouve l’exceptionnel Amandus.
Son chef Deivydas Praspaliauskas mériterait d’être étoilé !. Le menu dégustation (75 €, vins non compris) est digne des meilleures tables. Pour finir la soirée, une virée à Spunka s’impose. Ce bar est réputé servir les meilleures bières du pays dans une ambiance jeune et sympa- !
Pour en savoir plus, consulter le site : https://www.lithuania.travel/fr
7 - Lituanie : quelles conditions d'entrée ?
Le Ministère de l'Europe et des Affaires Etrangères précise que la Lituanie est ouverte à tous les voyageurs français quelle que soit leur situation vaccinale.
Ils n’ont plus à présenter le résultat d’un test négatif. Ils sont également exemptés d’auto-isolement à leur arrivée.
La Lituanie étant membre de l’Union européenne, les ressortissants français munis d’un passeport ou d’une carte nationale d’identité en cours de validité peuvent y entrer librement, pour tout séjour inférieur à 3 mois.
Ils n’ont plus à présenter le résultat d’un test négatif. Ils sont également exemptés d’auto-isolement à leur arrivée.
La Lituanie étant membre de l’Union européenne, les ressortissants français munis d’un passeport ou d’une carte nationale d’identité en cours de validité peuvent y entrer librement, pour tout séjour inférieur à 3 mois.
