Easyjet avait lancé la ligne Paris-Turin avant les JO de l’hiver dernier. Pour stopper la desserte peu après la fin des jeux.
La compagnie italienne Air One n’aura aucun mal à maintenir plus longtemps cette ligne qu’elle inaugure le 29 octobre prochain.
Elle reliera Roissy CDG1 à Turin deux fois par jour en B 737 configuré bi-classe (avec restauration et boissons gratuites), précise Céline Reynaud, responsable commerciale et marketing du transporteur à Paris.
Une concurrence de bonne augure sur cette ligne assurée aujourd’hui par la seule Air France (code-share AF-Alitalia).
Les autorités touristiques piémontaises ne manquent pas de se féliciter de cette offre aérienne accrue, elles qui entendent maintenir leurs efforts de promotion entrepris depuis deux ans sur le marché français.
La compagnie italienne Air One n’aura aucun mal à maintenir plus longtemps cette ligne qu’elle inaugure le 29 octobre prochain.
Elle reliera Roissy CDG1 à Turin deux fois par jour en B 737 configuré bi-classe (avec restauration et boissons gratuites), précise Céline Reynaud, responsable commerciale et marketing du transporteur à Paris.
Une concurrence de bonne augure sur cette ligne assurée aujourd’hui par la seule Air France (code-share AF-Alitalia).
Les autorités touristiques piémontaises ne manquent pas de se féliciter de cette offre aérienne accrue, elles qui entendent maintenir leurs efforts de promotion entrepris depuis deux ans sur le marché français.
Une tournée post-olympique internationale s’est ainsi arrêtée hier soir en proche banlieue parisienne, au Karé Magik à Boulogne. Au programme du roadshow ayant rassemblé plus d’une cinquantaine de TO et journalistes : un mini-workshop, une conférence de presse et un dîner-dégustation concocté par des chefs italiens.
« Turin s’est débarrassé de son image de cité industrielle. La presse française ne cesse d’évoquer aujourd’hui une ville baroque et royale, une destination gastronomique située au cœur de cette belle région qu’est le Piémont, a souligné à cette occasion Massimo Bartolucci, directeur pour la France de l’Enit (office du tourisme italien).
Nous ne baissons pas la garde et entendons consolider nos résultats très positifs obtenus ces derniers mois sur le marché français », a-t-il conclu.
« Turin s’est débarrassé de son image de cité industrielle. La presse française ne cesse d’évoquer aujourd’hui une ville baroque et royale, une destination gastronomique située au cœur de cette belle région qu’est le Piémont, a souligné à cette occasion Massimo Bartolucci, directeur pour la France de l’Enit (office du tourisme italien).
Nous ne baissons pas la garde et entendons consolider nos résultats très positifs obtenus ces derniers mois sur le marché français », a-t-il conclu.