Sarah garde un souvenir excellent de ses deux années de master. Dans son programme, des cours de management, de ressources humaines et de marketing, le tout appliqué à l’industrie du tourisme.
Sarah Proust a un parcours un peu atypique, « comme beaucoup de mes camarades de master » tient-elle a préciser.
Après une licence de LEA Espagnol-Anglais, elle se lance à la recherche d’une formation dans le tourisme.
« Mais je n’ai pas trouvé beaucoup d’offres au niveau bac + 4 » déplore-t-elle. « Je ne me voyais pas retourner en BTS après ma licence ! »
Lors d’un salon Passerelle, elle découvre la Business School of Tourism de l’ESC La Rochelle. « Cette filière était nouvelle, mais l’école bénéficiait d’une grande renommée » explique Sarah.
En effet, la Rochelle est une des rares école de commerce à proposer une formation touristique.
Après une licence de LEA Espagnol-Anglais, elle se lance à la recherche d’une formation dans le tourisme.
« Mais je n’ai pas trouvé beaucoup d’offres au niveau bac + 4 » déplore-t-elle. « Je ne me voyais pas retourner en BTS après ma licence ! »
Lors d’un salon Passerelle, elle découvre la Business School of Tourism de l’ESC La Rochelle. « Cette filière était nouvelle, mais l’école bénéficiait d’une grande renommée » explique Sarah.
En effet, la Rochelle est une des rares école de commerce à proposer une formation touristique.
Recettes du commerce appliquées au tourisme
Sarah garde un souvenir excellent de ses deux années de master. Dans son programme, des cours de management, de ressources humaines et de marketing, le tout appliqué à l’industrie du tourisme.
Ces solides bases sont un atout important, car ils peuvent permettre une réorientation dans un secteur plus éloigné du tourisme.
Elle juge également très bénéfiques les partenariats avec des universités étrangères, comme l’UQAM de Montréal.
« Elles sont parfois beaucoup plus en avance que la France sur certains sujets, notamment en matière d’études de clients ». Une ouverture aux méthodes de travail internationales, fortement appréciées par les recruteurs.
Ces solides bases sont un atout important, car ils peuvent permettre une réorientation dans un secteur plus éloigné du tourisme.
Elle juge également très bénéfiques les partenariats avec des universités étrangères, comme l’UQAM de Montréal.
« Elles sont parfois beaucoup plus en avance que la France sur certains sujets, notamment en matière d’études de clients ». Une ouverture aux méthodes de travail internationales, fortement appréciées par les recruteurs.
Le réseau, clé de la réussite
Mais l’ESC lui a également fourni un réseau bien plus qualitatif qu’une faculté ou un BTS. « Nos intervenants étaient des professionnels qui nous donnaient des pistes pour notre avenir» se souvient Sarah.
Une façon également de trouver un stage très rapidement. Pour Sarah, ce fut Thalazur, pour qui elle s’est occupée de la fidélisation et de la satisfaction clientèle.
Son stage, terminé en décembre 2009, elle a immédiatement enchainé avec un CDD de 6 mois. Elle continue donc son programme d’étude de la concurrence en partenariat avec les étudiants de l’ESC. Ces derniers sont consultés sur leurs idées de fidélisation des clients.
Grâce à cet échange, Sarah retourne souvent dans son ancienne école avec un plaisir non dissimulé. «J’essaie d’apporter aux étudiants tout ce que j’ai moi-même reçu lorsque j’étais là bas ».
Une façon également de trouver un stage très rapidement. Pour Sarah, ce fut Thalazur, pour qui elle s’est occupée de la fidélisation et de la satisfaction clientèle.
Son stage, terminé en décembre 2009, elle a immédiatement enchainé avec un CDD de 6 mois. Elle continue donc son programme d’étude de la concurrence en partenariat avec les étudiants de l’ESC. Ces derniers sont consultés sur leurs idées de fidélisation des clients.
Grâce à cet échange, Sarah retourne souvent dans son ancienne école avec un plaisir non dissimulé. «J’essaie d’apporter aux étudiants tout ce que j’ai moi-même reçu lorsque j’étais là bas ».