A Manille, capitale des Philippines, Art in Island a décidé de dédier une aile de son musée aux autoportraits interactifs. © Facebook Art in Island
Et si la modernisation des musées passait par l’adaptation de ces lieux aux nouveaux comportements ?
Au lieu de faire la guerre aux personnes qui s’auto-immortalisent devant une œuvre avec un selfie stick, les musées ne pourraient-ils pas leur trouver une place ?
Ou les inclure dans parcours ludique et interactif ?
Les mobiles ont-ils un rôle à jouer dans un lieu d’art, notamment pour attirer les jeunes générations ?
Art in Island, un musée à Manille, a décidé d’ouvrir ses portes aux nouveaux usages, créant un département réservé aux selfies (les autoportraits que l'on prend à bout de bras à l'aide d'un smartphone).
Une démarche guère étonnante dans la capitale mondiale de l’auto-portrait selon une étude du Time Magazine datant de 2014 (258 posts sur Instagram pour 100 000 habitants en une semaine).
Auto-proclamé "premier musée selfie au monde", l’institut offre avec cette attraction un contre-pied audacieux, récréatif et pour le moins innovant, qui doit faire pâlir de nombreux conservateurs de musées.
Lors d’un parcours de deux heures, le visiteur peut toucher et marcher sur des reconstitutions 3D de véritables toiles de maîtres comme celle de Leonard de Vinci et Van Gogh.
Et le portrait, une fois pris, a de grande chance de finir sur les réseaux sociaux et de créer le « buzz ». Une interaction qui a de quoi séduire les plus jeunes.
Pour les sceptiques, la page tumblr de ce projet vous fera peut-être changer d’avis.
Au lieu de faire la guerre aux personnes qui s’auto-immortalisent devant une œuvre avec un selfie stick, les musées ne pourraient-ils pas leur trouver une place ?
Ou les inclure dans parcours ludique et interactif ?
Les mobiles ont-ils un rôle à jouer dans un lieu d’art, notamment pour attirer les jeunes générations ?
Art in Island, un musée à Manille, a décidé d’ouvrir ses portes aux nouveaux usages, créant un département réservé aux selfies (les autoportraits que l'on prend à bout de bras à l'aide d'un smartphone).
Une démarche guère étonnante dans la capitale mondiale de l’auto-portrait selon une étude du Time Magazine datant de 2014 (258 posts sur Instagram pour 100 000 habitants en une semaine).
Auto-proclamé "premier musée selfie au monde", l’institut offre avec cette attraction un contre-pied audacieux, récréatif et pour le moins innovant, qui doit faire pâlir de nombreux conservateurs de musées.
Lors d’un parcours de deux heures, le visiteur peut toucher et marcher sur des reconstitutions 3D de véritables toiles de maîtres comme celle de Leonard de Vinci et Van Gogh.
Et le portrait, une fois pris, a de grande chance de finir sur les réseaux sociaux et de créer le « buzz ». Une interaction qui a de quoi séduire les plus jeunes.
Pour les sceptiques, la page tumblr de ce projet vous fera peut-être changer d’avis.
Le "premier musée selfie au monde"
Autres articles
-
Meuse Attractivité récompensée : découvrez ses innovations numériques primées en 2024
-
Innovation touristique : les lauréats du concours RESILIENT dévoilés
-
Le Centre Pompidou tropical du Brésil ouvrira ses portes en 2026
-
Le Kunstsilo, un nouveau musée d'art moderne en Norvège
-
Bayonne, le chantier d’extension du musée Bonnat-Helleu est bien engagé