Un nouveau nom pour une renaissance ?
Depuis le 25 juillet dernier, Point Afrique, le pionnier du tourisme dans le Sahel, a changé de nom pour devenir Point Voyages.
Une nouvelle identité qui consacre sa stratégie d'internationalisation, avec l’ouverture d’une cinquantaine de pays, vendus sur son nouveau site internet.
Le tour-opérateur programme désormais six pays d’Europe, l’Amérique du Nord et du Sud, ainsi qu’une grande partie de l’Asie. Des nouvelles destinations qui font grimper son panier moyen, passant de 800 euros sur l’Afrique à 1800 euros aujourd’hui.
Plusieurs groupes sont déjà partis cet été en Palestine, Colombie, Birmanie, Islande, Mongolie, Cambodge, ou encore au Maroc et en Tanzanie.
Cette diversification radicale est menée par Kévin Girard, le successeur du célèbre Maurice Freund.
Celui-ci refuse toutefois de renier l'héritage de Point Afrique dans sa nouvelle production. « Notre philosophie ne change pas, même si nous vendons d'autres régions» promet-il.
Depuis le 25 juillet dernier, Point Afrique, le pionnier du tourisme dans le Sahel, a changé de nom pour devenir Point Voyages.
Une nouvelle identité qui consacre sa stratégie d'internationalisation, avec l’ouverture d’une cinquantaine de pays, vendus sur son nouveau site internet.
Le tour-opérateur programme désormais six pays d’Europe, l’Amérique du Nord et du Sud, ainsi qu’une grande partie de l’Asie. Des nouvelles destinations qui font grimper son panier moyen, passant de 800 euros sur l’Afrique à 1800 euros aujourd’hui.
Plusieurs groupes sont déjà partis cet été en Palestine, Colombie, Birmanie, Islande, Mongolie, Cambodge, ou encore au Maroc et en Tanzanie.
Cette diversification radicale est menée par Kévin Girard, le successeur du célèbre Maurice Freund.
Celui-ci refuse toutefois de renier l'héritage de Point Afrique dans sa nouvelle production. « Notre philosophie ne change pas, même si nous vendons d'autres régions» promet-il.
Une nouvelle production imaginée par des free-lance
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Le groupe n’a d'ailleurs pas totalement abandonné l’Afrique. Le Tchad, la Mauritanie ou encore le Kenya ainsi que l’Egypte sont toujours présents sur le site.
« Lorsque vous avez travaillé plus de dix ans avec des partenaires locaux, il est important de leur donner une visibilité sur notre portail, même s’il n’y a plus de demandes ». Il a également pris des engagements aériens sur le Cap Vert en partenariat avec La Balaguère.
Pour étoffer son portefeuille de destinations, Kévin Girard, n’a pas eu les moyens d’embaucher des chefs de produits, devant se contenter d’une équipe réduite de 4 salariés polyvalents.
Il a donc décidé de faire appel à quatre producteurs free-lance, comme Olivier Caillaud.
« Je leur demande avant tout d’être créatifs, de faire rêver, voire de faire réfléchir nos voyageurs » poursuit Kévin Girard.
Ces free-lance ont tout intérêt à être imaginatifs car ils seront payés à la commission.
Un modèle aujourd’hui unique dans la profession, qui permettra peut-être à Point voyages de renaître de ses cendres. Et pourquoi pas de retourner sur ses terres d'origine. «L’histoire est un cycle, reste à savoir combien de temps celui-ci va durer ».
Pour séduire les clients, Kévin Girard se base sur l'excellente réputation de feu Point Afrique, ainsi que sur ses fidèles. Près de 45 000 personnes ont déjà reçu sa nouvelle newsletter. « Si nous leur proposons d'autres destinations à des tarifs concurrentiels, pourquoi ne partiraient-ils pas avec nous ? » se demande Kévin Girard.
Mais le directeur préfère rester modeste et espère clôturer son exercice financier le 30 septembre prochain, avec un chiffre d’affaires supérieur au million d’euro pour 500 clients. Tout en espérant doubler ces chiffres dès 2016.
« Lorsque vous avez travaillé plus de dix ans avec des partenaires locaux, il est important de leur donner une visibilité sur notre portail, même s’il n’y a plus de demandes ». Il a également pris des engagements aériens sur le Cap Vert en partenariat avec La Balaguère.
Pour étoffer son portefeuille de destinations, Kévin Girard, n’a pas eu les moyens d’embaucher des chefs de produits, devant se contenter d’une équipe réduite de 4 salariés polyvalents.
Il a donc décidé de faire appel à quatre producteurs free-lance, comme Olivier Caillaud.
« Je leur demande avant tout d’être créatifs, de faire rêver, voire de faire réfléchir nos voyageurs » poursuit Kévin Girard.
Ces free-lance ont tout intérêt à être imaginatifs car ils seront payés à la commission.
Un modèle aujourd’hui unique dans la profession, qui permettra peut-être à Point voyages de renaître de ses cendres. Et pourquoi pas de retourner sur ses terres d'origine. «L’histoire est un cycle, reste à savoir combien de temps celui-ci va durer ».
Pour séduire les clients, Kévin Girard se base sur l'excellente réputation de feu Point Afrique, ainsi que sur ses fidèles. Près de 45 000 personnes ont déjà reçu sa nouvelle newsletter. « Si nous leur proposons d'autres destinations à des tarifs concurrentiels, pourquoi ne partiraient-ils pas avec nous ? » se demande Kévin Girard.
Mais le directeur préfère rester modeste et espère clôturer son exercice financier le 30 septembre prochain, avec un chiffre d’affaires supérieur au million d’euro pour 500 clients. Tout en espérant doubler ces chiffres dès 2016.