"Un tourisme de masse en croissance ne sera jamais durable" selon Timothée Parrique 🔑

Interessant !!!!

"La décroissance est plus proche d’un régime organisé : un ralentissement de certaines productions et de certaines consommations dans l’esprit de la justice sociale et dans le souci du bien-être, c’est-à-dire planifiées d’une manière aussi équitable et conviviale que possible."

Ca a déjà été fait et ça s'appelle le communisme !! Expérience qui a très bien marché en URSS (lol).

Toutes les idées évoquées parTimothée Parrique sont "théoriquement" possible mais elles omettent le paramètre humain qui lui n'est pas paramétrable et imposerait donc la mise en place d'une dictature pour pouvoir les appliquer.

Enfin, Timothée Parrique oublie d'interdire les téléphones portables et ordinateurs qui émettent de plus en plus de Co2 par l'intermédiaire des Data Centers... mais ça il n'en veut pas parce que sinon personne ne serait au courant de ce qu'il raconte et personne n'achèterait ses livres !!!

Qui est ce monsieur ? Les journalistes adorent donner de l'écho à ceux qui sont les plus radicaux et qui ne représentent qu'eux...

s'ils respectent leurs discours et leurs idées ces talibans de l'écologie ne se reproduiront pas pour préserver la planète et c'est donc leur espèce qui finira par s'éteindre.

Bonjour à toutes et tous,
Les propos de Thimoté Parrique ont l'intérêt de participer à la construction indispensable d'un tourisme compatible avec la préservation de notre planète et de sa biodiversité pour nous permettre d'y être bien et ensemble.
Merci à Romain Pommier de créer les conditions pour alimenter cette échange necessaire et indispensable. Et quoi de mieux que les colonnes de la presse professionnelle.
A la lecture des commentateurs qui m'ont précédé, il est clair que cela va être difficile tellement une grande part d'entre-nous ne veut surtout pas aborder la question, trop inquiet par les changements qu'il va falloir engagé.
Ce qui est sur et certain, c'est que nous ne voyagerons plus de la même façon dans 20 ans que nous le faisons aujourd'hui et quoi de mieux que d'en décider ensemble, au lieu de se le faire imposer par la force.