On n’en parle peu et pourtant, le 1er juin prochain, de 10h à 18h, ce sera la 5ème édition de la Journée Mondiale pour un Tourisme Responsable.
Lancée en 2007 par la Coalition Internationale pour un Tourisme Responsable (CITR), une association présente dans 52 pays, qui regroupe 143 membres, des organismes publics et privés, des ONG mais aussi des entreprises directement ou indirectement liées au tourisme, cette manifestation cherche à mobiliser les pouvoirs publics et les professionnels du tourisme.
« Le tourisme responsable n’est pas un produit spécifique, » prévient Guillaume Cromer, consultant chez SPE Tourism, un spécialiste du tourisme durable, « c’est un concept que l’on doit adapté à chaque produit, quelle que soit sa thématique, que ce soit pour un séjour farniente ou circuit culturel. »
Pour démontrer la pertinence économique de ce concept, pour en diffuser les problématiques et sensibiliser davantage les décideurs du marché, l’événement prévoit plusieurs tables rondes autour d’un thème principal.
Lancée en 2007 par la Coalition Internationale pour un Tourisme Responsable (CITR), une association présente dans 52 pays, qui regroupe 143 membres, des organismes publics et privés, des ONG mais aussi des entreprises directement ou indirectement liées au tourisme, cette manifestation cherche à mobiliser les pouvoirs publics et les professionnels du tourisme.
« Le tourisme responsable n’est pas un produit spécifique, » prévient Guillaume Cromer, consultant chez SPE Tourism, un spécialiste du tourisme durable, « c’est un concept que l’on doit adapté à chaque produit, quelle que soit sa thématique, que ce soit pour un séjour farniente ou circuit culturel. »
Pour démontrer la pertinence économique de ce concept, pour en diffuser les problématiques et sensibiliser davantage les décideurs du marché, l’événement prévoit plusieurs tables rondes autour d’un thème principal.
Une foule contreproductive de labels
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L’an dernier, il s’agissait d’évoquer le patrimoine rural et le développement des territoires.
Cette fois, la Journée Mondiale abordera un aspect plus marketing : « Tourisme durable : quelles garanties » ; un thème qui s’impose effectivement, quand on voit la foule très contreproductives de labels plus ou moins sérieux, parfois conséquents, parfois plutôt fantaisistes, qui fleurissent un peu partout, au dos des brochures.
Pour en débattre, les organisateurs ont réuni des spécialistes, comme le professeur Schéou, chercheur à l’Université de Perpignan, auteur d’un ouvrage très pointu : « Du tourisme Durable au Tourisme équitable », mais aussi des professionnels engagés, comme Gérard Guerrier, d’Allibert, Yann Legendre, de Libertalia, et Olivier Théry, d’Ushuaia.
Des entreprises, comme Accor, ou des organismes publics, tels que l’ADEME, CAP France ou le CRT Bretagne, viendront également présenter leur point de vue.
Cette fois, la Journée Mondiale abordera un aspect plus marketing : « Tourisme durable : quelles garanties » ; un thème qui s’impose effectivement, quand on voit la foule très contreproductives de labels plus ou moins sérieux, parfois conséquents, parfois plutôt fantaisistes, qui fleurissent un peu partout, au dos des brochures.
Pour en débattre, les organisateurs ont réuni des spécialistes, comme le professeur Schéou, chercheur à l’Université de Perpignan, auteur d’un ouvrage très pointu : « Du tourisme Durable au Tourisme équitable », mais aussi des professionnels engagés, comme Gérard Guerrier, d’Allibert, Yann Legendre, de Libertalia, et Olivier Théry, d’Ushuaia.
Des entreprises, comme Accor, ou des organismes publics, tels que l’ADEME, CAP France ou le CRT Bretagne, viendront également présenter leur point de vue.
L’Afrique du sud, invité d’honneur
Elles interviendront juste après la présentation par les membres du Fair Trade Tourisme South Africa, pionnier du tourisme solidaire et invités d’honneur de la 5ème Journée Mondiale, des différents labels qui encadrent l’offre « eco friendly » en Afrique du sud.
Organisée simultanément dans le monde entier, la partie française de la manifestation se tiendra dans l’hémicycle du CRT Île de France, une salle de 207 places que les organisateurs comptent bien remplir complètement dans la semaine qui vient.
« Au début, il y a 5 ans, nous n’étions pas vraiment nombreux, » raconte Julien Buot, secrétaire général de la CITR, « Aujourd’hui, nous arrivons à maturité. Il y a beaucoup d’interrogations chez les professionnels et leur participation augmente sérieusement. »
« Nous avons déjà 185 inscrits, et parmi eux des représentants de grandes entreprises comme Nouvelles Frontières ou le Club Med, chez qui une équipe est dédiée au tourisme durable, » précise Guillaume Cromer en présentant les partenaires de la manifestation, dont certains, le SNAV, Voyages-sncf.com ou ATR, l’association présidée par Yves Godeau, sont bien connus des agences de voyages.
Organisée simultanément dans le monde entier, la partie française de la manifestation se tiendra dans l’hémicycle du CRT Île de France, une salle de 207 places que les organisateurs comptent bien remplir complètement dans la semaine qui vient.
« Au début, il y a 5 ans, nous n’étions pas vraiment nombreux, » raconte Julien Buot, secrétaire général de la CITR, « Aujourd’hui, nous arrivons à maturité. Il y a beaucoup d’interrogations chez les professionnels et leur participation augmente sérieusement. »
« Nous avons déjà 185 inscrits, et parmi eux des représentants de grandes entreprises comme Nouvelles Frontières ou le Club Med, chez qui une équipe est dédiée au tourisme durable, » précise Guillaume Cromer en présentant les partenaires de la manifestation, dont certains, le SNAV, Voyages-sncf.com ou ATR, l’association présidée par Yves Godeau, sont bien connus des agences de voyages.