Le scanner corporel à l'aéroport de Roissy, entré en vigueur fin février / DR © Anne Lombardo
Les procédures sont rentrées dans les mœurs et les clients du transport aérien se sont habitués à faire la queue pour que l’on scrute ce qu’ils transportent et ce qu’ils ont sur eux.
Ils se soumettent avec une discipline qui m’émerveille aux « brimades » qui leur sont imposées au gré des notes de services aéroportuaires; lesquelles ne sont pas homogènes non seulement d’un aéroport à l’autre dans le même pays mais d’un terminal à l’autre dans le même aéroport.
« Enlevez vos chaussures, enlevez votre ceinture, posez votre montre, sortez les mains de vos poches, montrez-moi votre ordinateur et mettez le à côte de votre bagage, ne passez pas avec votre demi-bouteille d’eau etc… »
Bien entendu tous les professionnels savent très bien que tout cela ne sert à rien, ou alors si ces mesures sont utiles, pourquoi ne les inflige-t-on pas aux passagers de la SNCF ?
De deux choses l’une : ou bien les clients du train sont infiniment moins dangereux que les passagers aériens, ou bien un attentat dans un wagon n’a pas d’importance.
On voit bien l’absurdité de ce raisonnement.
Ils se soumettent avec une discipline qui m’émerveille aux « brimades » qui leur sont imposées au gré des notes de services aéroportuaires; lesquelles ne sont pas homogènes non seulement d’un aéroport à l’autre dans le même pays mais d’un terminal à l’autre dans le même aéroport.
« Enlevez vos chaussures, enlevez votre ceinture, posez votre montre, sortez les mains de vos poches, montrez-moi votre ordinateur et mettez le à côte de votre bagage, ne passez pas avec votre demi-bouteille d’eau etc… »
Bien entendu tous les professionnels savent très bien que tout cela ne sert à rien, ou alors si ces mesures sont utiles, pourquoi ne les inflige-t-on pas aux passagers de la SNCF ?
De deux choses l’une : ou bien les clients du train sont infiniment moins dangereux que les passagers aériens, ou bien un attentat dans un wagon n’a pas d’importance.
On voit bien l’absurdité de ce raisonnement.
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Page 3 - Un profit significatif sur ce « service »
Page 4 - Des autorités jalouses de leurs prérogatives
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