Le vert, la couleur dominante au parc de Longonot
En effet, ces mastodontes ne sont pas réputées pour leur bonne humeur et leurs mâchoires font du dégât dès qu'ils se sentent en danger.
Si en Europe les vaches regardent passer le train, au Kenya ce rôle est dévolu aux... zèbres. Des troupeaux entiers ou des animaux isolés paissent paisiblement le long des voies du chemin de fer qui relie Nairobi à Mombasa.
Malgré la sècheresse qui a frappé le pays, seule interrompue par les dernières inondations, le vert est la couleur dominante au parc de Longonot.
Après la balade de la veille, nous allons nous frotter à un exercice plus délicat. Celui de l'ascension du Mont éponyme (site web ) qui culmine à 2 770 mètres.
Avec ses 300 mètres de dénivelé, il s'agit d'un petit sommet que les guides kenyans grimpent parfois plusieurs fois dans la journée... en sifflotant.
Tandis que nous transpirons sang et eau, l'un des guides s'est permis le luxe de garder son anorak (c'est l'hiver ici) jusqu'à la première plateforme. Certes, on est loin des pentes du Kilimandjaro mais il va falloir faut tout de même crapahuter sur une vingtaine de kilomètres, sous le soleil.
Un minimum d'équipement (chaussures adéquates, bâton de marche, eau et crème solaire abondantes, sont indispensables. Là encore, l'exercice est à conseiller aux jeunes seniors sportifs et disposant d'une bonne condition physique.
La grimpette vaut la chandelle. Sous nos yeux ébahis se déroule à perte de vue le magnifique panorama de la vallée du rift. Le sommet du mont, lui, abrite le cratère d'un ancien volcan.
Par endroits, les fumerolles qui s'échappent du sol nous rappellent que, sous les cendres, le feu couve encore...
Si en Europe les vaches regardent passer le train, au Kenya ce rôle est dévolu aux... zèbres. Des troupeaux entiers ou des animaux isolés paissent paisiblement le long des voies du chemin de fer qui relie Nairobi à Mombasa.
Malgré la sècheresse qui a frappé le pays, seule interrompue par les dernières inondations, le vert est la couleur dominante au parc de Longonot.
Après la balade de la veille, nous allons nous frotter à un exercice plus délicat. Celui de l'ascension du Mont éponyme (site web ) qui culmine à 2 770 mètres.
Avec ses 300 mètres de dénivelé, il s'agit d'un petit sommet que les guides kenyans grimpent parfois plusieurs fois dans la journée... en sifflotant.
Tandis que nous transpirons sang et eau, l'un des guides s'est permis le luxe de garder son anorak (c'est l'hiver ici) jusqu'à la première plateforme. Certes, on est loin des pentes du Kilimandjaro mais il va falloir faut tout de même crapahuter sur une vingtaine de kilomètres, sous le soleil.
Un minimum d'équipement (chaussures adéquates, bâton de marche, eau et crème solaire abondantes, sont indispensables. Là encore, l'exercice est à conseiller aux jeunes seniors sportifs et disposant d'une bonne condition physique.
La grimpette vaut la chandelle. Sous nos yeux ébahis se déroule à perte de vue le magnifique panorama de la vallée du rift. Le sommet du mont, lui, abrite le cratère d'un ancien volcan.
Par endroits, les fumerolles qui s'échappent du sol nous rappellent que, sous les cendres, le feu couve encore...
La grimpette du Mont Longonot vaut la chandelle. Sous nos yeux ébahis se déroule à perte de vue le magnifique panorama de la vallée du rift. Le sommet du mont, lui, abrite le cratère d'un ancien volcan.