les professionnels de l’argent ne sont guère intéressés par le tourisme français. D’abord, parce qu'il n’est pas assez représenté en bourse. Trop peu de sociétés sont cotées, et moins encore en ont la volonté... ou les moyens !
Le CETO se réunit à Opio en cette fin de semaine et les enjeux de cette convention passionnent déjà pas mal de monde... sauf les analystes financiers !
Pour eux, aucun suspense. Rien. Que ce soit dans les banques ou chez les fond d’investissements, les professionnels de l’argent ne sont guère intéressés par le tourisme français.
D’abord, parce qu'il n’est pas assez représenté en bourse. Trop peu de sociétés sont cotées, et moins encore ont la volonté ou les moyens d’entrer dans le jeu
Ensuite, il n’est pas assez rentable. Avec un rendement de 4% maximum sur son chiffre d’affaires, il est moins attirant que certains secteurs économiques qui dépassent les 5%, comme les Télécom, ou même les 25%, comme le luxe.
Et même si l’on parlait de rendement sur capitaux investis, où la performance peut être parfois plus flatteuse, le tourisme resterait un secteur cyclique, bien trop soumis aux aléas de toutes sortes.
Un raz-de-marée meurtrier, un volcan tout feu tout flamme, un attentat ou une méchante épidémie ont vite fait de grignoter les investissement...
Pour eux, aucun suspense. Rien. Que ce soit dans les banques ou chez les fond d’investissements, les professionnels de l’argent ne sont guère intéressés par le tourisme français.
D’abord, parce qu'il n’est pas assez représenté en bourse. Trop peu de sociétés sont cotées, et moins encore ont la volonté ou les moyens d’entrer dans le jeu
Ensuite, il n’est pas assez rentable. Avec un rendement de 4% maximum sur son chiffre d’affaires, il est moins attirant que certains secteurs économiques qui dépassent les 5%, comme les Télécom, ou même les 25%, comme le luxe.
Et même si l’on parlait de rendement sur capitaux investis, où la performance peut être parfois plus flatteuse, le tourisme resterait un secteur cyclique, bien trop soumis aux aléas de toutes sortes.
Un raz-de-marée meurtrier, un volcan tout feu tout flamme, un attentat ou une méchante épidémie ont vite fait de grignoter les investissement...
Sommaire
Marge trop faible, activité trop cyclique
Chômage en hausse = moins de clients
FRAM : des pieds solides, une tête fragile
Les industriels préfèrent la Russie ou la Chine
Des TO dos au mur
Chômage en hausse = moins de clients
FRAM : des pieds solides, une tête fragile
Les industriels préfèrent la Russie ou la Chine
Des TO dos au mur