
Jean-Claude Rouach, président du SNAV de 1979 à 1983, le "doyen". Sur la photo, devant la Maison du Tourisme, 15 avenue Carnot à Paris (17e) - DR : M.S.
Dans les années 1960-1970, encore peu nombreuses, les agences de voyages doivent être inscrites au Registre du Commerce, avoir un local, une RC Pro, une garantie bancaire.
En fonction de leur activité, elles ont le choix entre deux licences, A pour la production, B pour la Distribution, délivrées par une commission nationale qui ne siège que deux fois par an.
Le système fonctionne tant bien que mal. Pour se lancer, l’agent de voyages a l'option de statut de correspondant. Il opère après un simple accord mutuel, la billetterie étant émise par l’agence "licenciée" disposant des agréments IATA, ATAF, SNCF.
Le correspondant peut, à son tour, obtenir une licence après deux ans d’exercice. Encore faut-il qu’il justifie de son trafic billetterie pour obtenir à son tour les agréments des fournisseurs transporteurs. "C’était compliqué. Il n’y avait pas de justificatifs. Personne ne tenait vraiment un registre des activités billetterie", se souvient Jean Perrin (futur président du SNAV).
L’administration centrale du tourisme navigue à travers les structures ministérielles : après l’Equipement et le Logement, ce seront l’Aménagement du territoire, les Travaux publics, les Sports et la Jeunesse, les Transports, la Culture, l’Environnement, la Qualité de la vie…
En fonction de leur activité, elles ont le choix entre deux licences, A pour la production, B pour la Distribution, délivrées par une commission nationale qui ne siège que deux fois par an.
Le système fonctionne tant bien que mal. Pour se lancer, l’agent de voyages a l'option de statut de correspondant. Il opère après un simple accord mutuel, la billetterie étant émise par l’agence "licenciée" disposant des agréments IATA, ATAF, SNCF.
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