Le tourisme fluvial dispose d'un fort potentiel de développement.
Le secteur s’appuie sur 18 000 km de voies d’eau, dont 8 500 km navigables ; 10 millions de passagers sont transportés chaque année. Le chiffre d’affaires annuel de la croisière fluviale est compris, de manière estimative, entre 400 M€ et 500 M€ par an. Les retombées économiques sont évaluées quant à elles à 500 M€ par an.
C'est dans ce cadre que la Direction générale des entreprises (DGE) et le Commissariat Général à l’Egalité des Territoires (CGET) ont confié à un groupement de prestataires une étude sur le tourisme fluvial.
Les trois principaux aspects traités sont l’identification des meilleures pratiques observées à l’étranger en matière de tourisme fluvial (Europe et hors continent européen) ; le repérage des principales innovations en la matière (à la fois en termes de technologies utilisées, d’offre de services, d’intégration du numérique, mais aussi de protection de l’environnement) susceptibles de servir de points de comparaison à nos propres pratiques ; enfin, la manière dont les concurrents étrangers ont réussi à construire une image positive du secteur fluvial valorisant les atouts de la voie d’eau sur le plan touristique.
Le secteur s’appuie sur 18 000 km de voies d’eau, dont 8 500 km navigables ; 10 millions de passagers sont transportés chaque année. Le chiffre d’affaires annuel de la croisière fluviale est compris, de manière estimative, entre 400 M€ et 500 M€ par an. Les retombées économiques sont évaluées quant à elles à 500 M€ par an.
C'est dans ce cadre que la Direction générale des entreprises (DGE) et le Commissariat Général à l’Egalité des Territoires (CGET) ont confié à un groupement de prestataires une étude sur le tourisme fluvial.
Les trois principaux aspects traités sont l’identification des meilleures pratiques observées à l’étranger en matière de tourisme fluvial (Europe et hors continent européen) ; le repérage des principales innovations en la matière (à la fois en termes de technologies utilisées, d’offre de services, d’intégration du numérique, mais aussi de protection de l’environnement) susceptibles de servir de points de comparaison à nos propres pratiques ; enfin, la manière dont les concurrents étrangers ont réussi à construire une image positive du secteur fluvial valorisant les atouts de la voie d’eau sur le plan touristique.
L’étude permet de poser les éléments d’un benchmark, à partir de l’analyse d’un nombre restreint de cas (Le Danube ; Le Canal Rideau et le Mékong).
La DGE envisage notamment la création d’un groupe de travail sur l’observation économique du tourisme fluvial, l’instauration d’une journée nationale du tourisme fluvial ainsi que la mise en réseau des acteurs dans le cadre d’un « Club » de la croisière fluviale.
« France Tourisme Lab », le réseau national d’incubateurs et d’accélérateurs touristiques porté par la DGE, sera également mobilisé pour renforcer l’accompagnement des entreprises du secteur indique un communiqué.
La DGE envisage notamment la création d’un groupe de travail sur l’observation économique du tourisme fluvial, l’instauration d’une journée nationale du tourisme fluvial ainsi que la mise en réseau des acteurs dans le cadre d’un « Club » de la croisière fluviale.
« France Tourisme Lab », le réseau national d’incubateurs et d’accélérateurs touristiques porté par la DGE, sera également mobilisé pour renforcer l’accompagnement des entreprises du secteur indique un communiqué.