Le weekend de Pâques a lancé la haute saison touristique à Paris.
La période s'ouvre ainsi par une reprise forte, bien que disparate et reste marquée par les incertitudes économiques liées à la guerre en Ukraine.
Pour autant, les premières données, relevées par l'Office du Tourisme et des Congrès de Paris en association avec Mastercard pour son baromètre du tourisme parisien, illustrent les dynamiques positives en cours sur les marchés d’Amérique du Nord, en retrait seulement de 2,3% d’arrivées par rapport à Pâques 2019 et les marchés européens, toujours en retrait de fréquentation de 7,8%), mais avec une forte reprise en provenance du Royaume-Uni (+57,7%) et moindre de l’Espagne (+8,2%).
Ces dynamiques devraient se poursuivre, certains indicateurs retrouvant des niveaux prépandémiques : les réservations aériennes en provenance d’Espagne au mois de mars étaient supérieures à celles de 2019 (+14,7%) ; l’Italie (-3,5%) et l’Amérique du Nord (-3,1%) se rapprochent des niveaux d’il y a trois ans.
La période s'ouvre ainsi par une reprise forte, bien que disparate et reste marquée par les incertitudes économiques liées à la guerre en Ukraine.
Pour autant, les premières données, relevées par l'Office du Tourisme et des Congrès de Paris en association avec Mastercard pour son baromètre du tourisme parisien, illustrent les dynamiques positives en cours sur les marchés d’Amérique du Nord, en retrait seulement de 2,3% d’arrivées par rapport à Pâques 2019 et les marchés européens, toujours en retrait de fréquentation de 7,8%), mais avec une forte reprise en provenance du Royaume-Uni (+57,7%) et moindre de l’Espagne (+8,2%).
Ces dynamiques devraient se poursuivre, certains indicateurs retrouvant des niveaux prépandémiques : les réservations aériennes en provenance d’Espagne au mois de mars étaient supérieures à celles de 2019 (+14,7%) ; l’Italie (-3,5%) et l’Amérique du Nord (-3,1%) se rapprochent des niveaux d’il y a trois ans.
Arrivées aériennes internationales prévues en mai 2022
À date, le mois de juillet s’annonce comme un mois symbolique : si la croissance se poursuit, les arrivées cumulées des marchés européens devraient pour la première fois dépasser le niveau de 2019 (+1,5%).
L’Amérique du Nord progresse avec un décalage (-13% attendu à date). En l’état actuel des choses, le retour des Américains à des volumes prépandémiques n’est pas prévu avant la fin de l’été.
Le nombre de passagers augmentera de +783,6% à date vs 2021 mais toujours en baisse de -33,9% vs 2019.
Le volume de touristes espagnols attendu est comparable à celui de 2019. Il s’agit du premier marché à revenir, sur une échelle mensuelle, aux niveaux de 2019.
Le nombre de sièges prévus sur les compagnies low-cost est en hausse de +6,1% par rapport à 2019.
L’Amérique du Nord progresse avec un décalage (-13% attendu à date). En l’état actuel des choses, le retour des Américains à des volumes prépandémiques n’est pas prévu avant la fin de l’été.
Le nombre de passagers augmentera de +783,6% à date vs 2021 mais toujours en baisse de -33,9% vs 2019.
Le volume de touristes espagnols attendu est comparable à celui de 2019. Il s’agit du premier marché à revenir, sur une échelle mensuelle, aux niveaux de 2019.
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Forte présence de Paris dans la presse et sur les réseaux sociaux
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La portée des articles de presse sur le Paris touristique est en hausse de 53,2% vs la période du 1er au 15 avril 2021 et en hausse de 18,5% vs 1er au 15 avril 2019.
Sur Google, le volume de recherches « Hotel Paris » est en hausse de 4,8 points vs la période du 1er au 15 mars 2022 (index 100).
Le nombre de pages vues sur Parisinfo.com est en hausse de 306,5% vs 1er-15 avril 2021 et en recul de 11,7% vs 1er-15 avril 2019.
Lire aussi :
- Le baromètre du tourisme parisien fait ressortir les effets de la guerre
- Paris, la Ville Augmentée : le Contrat de destination prolongé jusqu’en 2024
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