Internet détrôné par le bouche à oreille
L'enquête démontre que les clients s'informent principalement par le bouche à oreille (26 %), la notoriété du site, du vignoble ou du producteur (23 %), la connaissance antérieure du site (19 %).
Ces 3 sources se placent avant internet (19 %) et démontrent que le visiteur des vignobles a besoin d'un interlocuteur qui lui donne les clés de la visite, qui le rassure sur l'accessibilité des sites et qui le conseille sur les lieux à découvrir. Les Offices de tourisme arrivent ensuite à hauteur de 14 %.
L'enquête d'Atout France fait ressortir plusieurs types de consommateurs. Les Les « épicuriens »
(40 % des publics observés) à la recherche de sensations qui passent de l'esthétique (beauté des paysages) à la gastronomie avec la découverte de saveurs.
Les «classiques » (24 %) qui envisagent le vin comme le cœur d'un patrimoine en l'associant à l'environnement, à l'histoire, à l'architecture, à la gastronomie...
Pour eux, le vin n'est pas une motivation essentielle du séjour mais plutôt une clé d'entrée pour la découverte.
Les « explorateurs » (20 %) ressentiraient le vin comme une alchimie un peu mystérieuse. Dans la pratique ils sont en quête des petits secrets du vin et recherchent à s'initier et à pratiquer des dégustations dans l'intimité des caves.
Ils veulent dénicher des vignerons peu connus, attirés par des hébergements au coeur des vignes. Ils génèrent les retombées économiques les plus importantes pour les viticulteurs et le tourisme régional.
Enfin les «experts » (16 %) envisagent le vin comme une science, un produit issu d'un savoir-faire, d'une expertise technique et d'un univers qui a ses codes, ses hiérarchies, ses territoires et ses... experts.
Ces 3 sources se placent avant internet (19 %) et démontrent que le visiteur des vignobles a besoin d'un interlocuteur qui lui donne les clés de la visite, qui le rassure sur l'accessibilité des sites et qui le conseille sur les lieux à découvrir. Les Offices de tourisme arrivent ensuite à hauteur de 14 %.
L'enquête d'Atout France fait ressortir plusieurs types de consommateurs. Les Les « épicuriens »
(40 % des publics observés) à la recherche de sensations qui passent de l'esthétique (beauté des paysages) à la gastronomie avec la découverte de saveurs.
Les «classiques » (24 %) qui envisagent le vin comme le cœur d'un patrimoine en l'associant à l'environnement, à l'histoire, à l'architecture, à la gastronomie...
Pour eux, le vin n'est pas une motivation essentielle du séjour mais plutôt une clé d'entrée pour la découverte.
Les « explorateurs » (20 %) ressentiraient le vin comme une alchimie un peu mystérieuse. Dans la pratique ils sont en quête des petits secrets du vin et recherchent à s'initier et à pratiquer des dégustations dans l'intimité des caves.
Ils veulent dénicher des vignerons peu connus, attirés par des hébergements au coeur des vignes. Ils génèrent les retombées économiques les plus importantes pour les viticulteurs et le tourisme régional.
Enfin les «experts » (16 %) envisagent le vin comme une science, un produit issu d'un savoir-faire, d'une expertise technique et d'un univers qui a ses codes, ses hiérarchies, ses territoires et ses... experts.