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Production en crise : que les voyagistes innovateurs lèvent le doigt !

la profession en panne d'imagination


La complainte est générale : oui, ça va mal et ça dure. Les producteurs sont parmi ceux qui souffrent le plus de la crise. De moins 15% jusqu'à moins 50% et parfois davantage, de chute du volume d'affaires. "C'est la crise", répondent-ils résignés, courbant l'échine et attendant que l'orage passe. Et si ça ne revenait pas après la crise ? Et que font-ils pour que ça change ?


Rédigé par Jean DA LUZ le Jeudi 1 Octobre 2009

Production en crise : que les voyagistes innovateurs lèvent le doigt !
"Top Resa ? Oui, c'était sympa. Mais j'ai l'impression qu'ils sont tous là à attendre que ça passe et à se dire que demain ça ira mieux..."

Ce commentaire d'un professionnel rencontré dans les allées du salon est révélateur d'un comportement voire d'un état d'esprit du tour operating français.

En effet, face au marasme général, l'attentisme prime. Resserrons les boulons, taillons dans les frais et le personnel et préparons-nous pour la reprise parce qu'elle viendra forcément un jour.

En attendant, chaque voyagiste n'appuie que sur un seul et unique levier : les prix.

Oui, cassons les prix parce que c'est le seul moyen de s'en sortir, s'excusent-ils presque. Même si les spécialistes du marketing et du coût de revient nous expliquent par A+B que ce n'est pas comme ça qu'on sortira de la crise par le haut.

L'histoire hoquète mais ne se répète jamais...

Bien au contraire : ceux qui ont fait des VDM à prix pulvérisé leur credo, pourraient ne jamais retrouver leur pricing d'avant crise.

Les historiens vous diront que l'histoire hoquète parfois mais qu'elle ne se répète jamais...

Autre phénomène inquiétant : les agences en ligne ont bien moins souffert de la crise.

Pourquoi ? Parce que les Internautes n'ont pas envie de payer plus cher pour retrouver exactement les mêmes produits.

Qu'ils ont une sensation de liberté en assemblant leur propre forfait et que ce qu'on leur propose par ailleurs manque singulièrement d'originalité et d'innovation.

Innovation, voilà le mot lâché. Depuis combien de temps les voyagistes français n'ont-ils pas réinventé leur métier ?

Toujours les mêmes produits, les mêmes brochures, les mêmes forfaits, les mêmes modalités, les mêmes destinations à quelques variantes (grippe,sras,météo, sécurité...) près.

Une vague consumériste assoiffée de nouveauté

Que les innovateurs lèvent le doigt ! On aimerait les voir, ceux qui prennent le problème de la crise à bras le corps comme le judoka qui se laisse tomber pour mieux terrasser son adversaire.

Où sont-ils ? Qui sont-ils ? Depuis combien de temps n'y a-t-il pas eu de véritable nouveau concept marketing dans la vente de voyages ?

Poser la question c'est, hélas, y répondre. Qui aujourd'hui parmi les voyagistes français fait face à cette demande de personnalisation accrue, de service, de sortie de l'anonymat, de sur mesure ?

La vague consumériste assoiffée de nouveauté et qui a submergé les idées reçues, les concepts marketing éculés, ne cesse de déferler depuis 5 ans. La low cost attitude et le Web 2.0 qui uniformise les tendances et leur transversalité s'accélère.

Côté transporteurs, il leur pousse des ailles. Même les compagnies régulières épousent sans vergogne (et à juste titre) les recettes des low cost : nouvelles classes intermédiaires, recherche de nouvelles recettes, offre de nouveaux produits, bref ça pulse...

Et côté producteurs ? Le vide (ou presque) sidéral. Et on sait bien que dans l'espace personne ne vous entend crier...

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Commentaires

1.Posté par Gaudin | Voyages-Provence.com le 02/10/2009 09:14 | Alerter
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Et oui Jean, toujours les mêmes brochures depuis 25 ans, toujours les mêmes patrons qui payent leurs salariés au SMIC depuis 25 ans aussi, toujours les mêmes ronds de cuir dans les banques qui ne prêtent pas si facilement, toujours les mêmes au SNAV, toujours les mêmes charges sociales...alors que faire ? je pense suivre l'exemple de Smartbox qui vient de s'installer en Irlande...l'herbe y est plus verte paraît-il qu'en Provence ;-)

2.Posté par Esther Baruchel le 02/10/2009 09:26 | Alerter
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Un nouveau concept marketing dans la vente des voyages, demandez-vous ? Regardez de près http://www.unvoyageparfait.com et vous verrez que le système de courtier en voyage haut de gamme a de beaux jours devant lui ! J'ai imaginé ce concept en 2004 et l'ai étendu depuis aux voyages de groupe et séminaires. Faire payer le devis 5 euros, cela ne vous semble pas révolutionnaire ? Et bien cela marche, et apporte une clientèle plus respectueuse et encline à acheter...

Je vous invite à visiter mon blog http://www.EstherBaruchel.com

A tous les TO de niche qui propose des produits haut de gamme et hors des sentiers battus : nous pouvons mettre vos produits en avant auprès de notre clientèle...

3.Posté par Dillie le 02/10/2009 09:34 | Alerter
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Producteurs: Entre moins 15 et moins 50% en France. Entre moins 3 et moins 7% en Belgique selon l'ABTO (Association Belge des TO). Et pourtant les consommateurs se ressemblent. Les chiffres s'emballent dès que l'on passe la frontière. Difficile à croire qu'il y a un tel écart entre la Belgique et la France.

4.Posté par Philippe Beissier Alpilles voyages le 02/10/2009 09:41 | Alerter
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Juste une question que vendent les agences en ligne ??? les voyages à forfaits des grands producteurs, Look, Marmara, Transat, Fram, Plein Vent, les croisiéristes et tous les autres ne vendent rien d'autre que ce que l'on trouve dans les brochures. Il n'y a pas de production spécifique à la vente en ligne.
Sur le net on ne va pas trouver des prix beaucoup plus cher simplement les ventes sur le net sont gérées par des pros du marketing et la communication, pas par des agents de voyages. C'est une forme de vente pour le même métier, tout simplement et en général c'est très bien fait, surtout dans l'air du temps.
Certes l'herbe est plus verte en Irlande qu'en Provence mais c'est juste une question de climat.....

5.Posté par lili le 02/10/2009 10:27 | Alerter
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parce que producteur çà existe encore ??? fini le chef de produit, maintenant le vendeur fait son auto production nous dit-on, il est vendeur, expert en marketing, expert en rédaction, conception, négociation, au four et au moulin, capable d'avoir une vision et d'être le nez dans le guidon, l'homme qui valait 1500 euros. Résultat, que nous propose t-on ? des hôtels.Et les brochures ou les sites ne sont que çà, un long annuaire de lits, de lampes, de tables de nuit...et on se gargarise parce qu'on a ajouté quelques lieux branchés, un peu plus de rouge, un ecran plasma, une colone de douche ultra design, une orchidée plus tard, on s'ennuie. Tu vas en Italie ? non, je vais dormir, tu vois j'ai choisi mon lit , alors dormons, et sur nos deux oreilles

6.Posté par fred le 02/10/2009 10:38 | Alerter
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Que vendent les agences en ligne ??? leur propre production !! en réponse au titre, je lève le doigt ! Il faut se ré-inventer sans cesse et sortir de l'immobilisme ! Trouver de nouvelles idées et se positionner sur des niches que personne ne fait ...au lieu de regarder passer la "crise" ;)

+43% au premier trimestre.. (exercice juin-juin) hé oui je ne revend pas les gros TO ;)

imaginer ..inventer .. créer .. sont les maitres mot .

7.Posté par COLETTE VIEIRA DA SILVA PDG CROISITOUR le 02/10/2009 11:07 | Alerter
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Réflexion majeure ..... , certes , mais certains TO réagissent .. ( et avant la crise), CROISITOUR artisan voyagiste , innove en permanence chaque saison , nous surfons sur la vague de la recherche du produit tendance attendu par le client , ou le produit du moment , notre credo est le CLIENT EN AGENCE donc nous travaillons chaque segment depuis des années maintenant ( et c'est du travail vous pouvez me croire ...) .
C'est ainsi que nous avons crée 20 sites internet de NICHE avec de très beaux visuels , mais hélas étant un TO de taille moyenne , certains réseaux nous boudent pour le référencement ... c'est bien dommage , car nous ne faisons de l'ombre à personne , nous sommes différents , alors c'est l'agence d'en face qui vendra le produit qui correspond à l'attente du client ( il s'agit aussi souvent de produits à la carte avec un panier moyen de 5000 E ) - les réseaux ne nous boudent pas tous fort heureusement ( et pas les moindres !) - certains ( et ils sont de plus en plus nombreux) ont compris qu'en période de crise il faut sortir de ses habitudes et des sentiers battus. Nous nous félicitons par ailleurs que beaucoup d'agences appartenant à des réseaux volontaires l'aient compris pour ne pas perdre un client. .
Par ailleurs nos agents de vente ont de fait une expertise plus approfondie depuis deux ans. Nous avons une maîtrise métier de plus de 40 ans.

8.Posté par REGNIER Sophie le 02/10/2009 13:01 | Alerter
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Ca sent bon les sixties tout ça, flower power and co...
oui à l'imagination au pouvoir, oui au changement de nos modèles, c'est la révolution!!!!
je suis d'accord avec Philippe, aujourd'hui il faut être un pro du marketing et plus seulement un pro du voyage !
réinventons notre métier....
courage à tous

9.Posté par Eric La Bonnardière le 02/10/2009 15:19 | Alerter
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Bonjour Jean,

J'ai lu avec intérêt votre article sur Tourmag "Production en cire: que les voyagiste innovateurs lèvent le doigt".

Jeune arrivé dans ce métier, je lève donc le doigt! Il est vrai que je m'étonne tous les jours de l'immobilisme des grands voyagistes Français.
Je ne m'en plains pas car cela permet à des sites comme celui que j'ai créé www.evaneos.com d'avoir sa place sur le marché et de connaître des débuts très encourageants sur une tendance que vous définissez très bien: personnalisation accrue, de service, de sortie de l'anonymat, de sur mesure ...

Je lève donc le doigt afin que les petits innovateurs ne soient pas oubliés!

Bien cordialement,



10.Posté par Frédérique le 02/10/2009 20:54 | Alerter
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Certains TO majeurs peuvent difficilement être étiquetés "non-créatifs", tels KUONI ou ASIA. Mais ce sont surtout les petits spécialistes, boudés par les réseaux qui font preuve d'esprit innovant et qui fournissent à leurs clients service et valeur ajoutée. Quant à notre ami Eric d'Evaneos, il n'a rien inventé. Son concept s'appelle la délocalisation.
Bien cordialement.

11.Posté par Rhadirbenane le 03/10/2009 10:53 | Alerter
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Oui cassons les prix ,mais en même temps Cassons le tourisme ! si ce n'est pas déjâ fait ; (mille concurents ,un même produit ) , aucune importance n'est donnée au niveau des accompagnateurs ,des restaurants à bas prix ,avarice (comment voulez-vous qu'un serveur ou un porteur garde le sourire quand on lui donne 20cent par couple),propositions d'excursions et de shows quotidiennes.......là o'u ils diffèrent ,est le choix des bazards ........En bref disons : Les anciens avaient planté l'arbre ,les nouveaux cueillent les fruits ,mais en cassant les branches.
-Je vous conseiie de dealer avec les CRT régionaux plutôt qu'avec ces marchands de faux rêves ........

12.Posté par Rial le 03/10/2009 15:08 (depuis mobile) | Alerter
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Bonjour Jean

je crois que tu nous reconnais comme très cretif comme voyagiste.
Pourtant, je trouve ton papier un peu facile et très simpliste
La variété de production des voyagistes est infiniment supérieur à la demande des clients.
Et le voyagiste qui réussit le mieux est Marmara celui qui a ...le moins de produit
Et les vendeurs en ligne patinent sérieusement hors vols secs sur la vente de forfaits, et leur créativité est par essence faible puisque ce sont des distributeurs.
Bref en ce moment il est clair que les clients manquent et que le pb n est pas dans la créativité mais plutôt dans l envie et les moyens de voyager, et dans les modes de distribution
A bientôt
jfRial

13.Posté par alexis Selinger le 03/10/2009 18:39 | Alerter
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Au delà de la bonne idée il faut redéfinir les fondamentaux de la profession L'état des lieux est le suivant :

L'entrée de gamme des voyages à forfait qui faisait les beaux jours des pur players est occupée par le tourisme industriel. Celui-ci obtient d'excellents scores, près de 20% des parts du marché, 8% d'augmentation alors que le secteur du voyage à forfait affiche une baisse de 11%.

Pour regagner le terrain perdu, les vendeurs de ligne seraient contraints à des engagements financiers qui ne sont pas dans leurs cultures et qu'ils n'ont pas la capacité de réunir. Leurs actionnariats volatiles et spéculatifs n'ont pas d'ambition particulière dans le tourisme, ce qu'ils cherchent c'est la profitabilité maximum.

Les majors du tour operating se sont débarrassés d'un tabou, ils vendent maintenant leur programmation en direct et le feront de plus en plus par des canaux multiples internet et réseaux intégrés.

Les clients consommateurs échaudés par la médiocrité des prestations servies par certaines enseignes ont tendance à assembler eux mêmes leurs packages : vol sec et hébergement.

Si la situation est née de la crise, c'est une tendance lourde qui va s'accentuer même en sortie de ce celle-ci, c'est pourquoi le problème ne se pose plus en terme de « bonne idée » à trouver pour passer tant bien que mal le cap, ni de la manière la plus astucieuse pour chiper le contenu de l'assiette du voisin mais de redéfinir les fondamentaux de la profession.

En 20 ans si la billetterie demeure une part importante de leur activité, les agences de voyages sont passées du stade du tourisme élitiste à celui de masse, du balnéaire au thématique, des longs séjours à la multiplicité de week-ends prolongés, des vacances programmées à l'achat en dernière minute.

Or pour redéfinir les fondamentaux de la profession, il faut prendre en considération que les métiers qui la composent sont différents, tout comme les intérêts en jeu.

Vouloir nier cette différence au nom de l'adage « l'union fait la force » cela se traduit par une totale paralysie et l'incapacité de se projeter dans l'avenir.

Cela fait les beaux jours de la minorité de vendeurs en ligne, des producteurs de voyages à forfait ou de coffrets cadeaux au détriment des intérêts bien compris du plus grand nombre, les agences physiques indépendantes affiliées ou non à un réseau volontaire.

Ces dernières semblent n'avoir tiré aucune leçon de la commission zéro imposée par les compagnies aériennes, or il y a tout lieu de penser que les producteurs à plus ou moins brève échéance en feront de même. La bonne idée serait de s'y préparer dès à présent.

Pour ceux qui ne savent pas ou qui l'auraient oublié, le secret de la réussite d'un distributeur c'est son emplacement, sa vitrine, son accueil. Sa finalité, avoir la capacité d'imposer sur sa zone de chalandise sa propre marque comme une alternative de qualité par rapport aux marques de producteur.

Au delà de la spécificité du créneau, gay friendly, la réflexion de Stéphane Loisellier d'« Attitudes Travel » est à méditer :

Je trouve souvent les agences de voyages beaucoup trop tristes, trop conventionnelles, voire carrément ringardes avec leur sable et leurs coquillages en vitrine. Je suis aussi un peu effaré par le manque de culture générale des AGV et par la médiocrité de l’accueil parfois. ... Certains croient faire moderne avec un écran plasma qui diffuse les DVD des offices de tourisme que les clients peuvent voir ailleurs sur le Web. Moi, je les accueille dans des canapés ou dans des sièges d’avion (qui font toujours recette), avec du café et de la musique. Dans une ambiance zen et relax.

http://www.tourmag.com/Stephane-Loiselier-La-premiere-croisiere-gay-Ce-fut-enorme-!_a33416.html

Il est vrai qu'il dispose d'un local de 200 m2 pour recevoir sa clientèle, ne se contente pas d'attendre que cette dernière pousse la porte, mais fait de la pub pour la faire venir, pratique aussi la vente en ligne et ne craint pas de se mouiller financièrement sur ses programmations.

Cordialement

alexis Selinger

14.Posté par Philippe POUMAERE le 04/10/2009 08:33 | Alerter
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Mon agence existe depuis 2002, avec une croissance à deux chiffres chaque année...et en 2009 AUSSI.

Si la profession est triste...comment vendre des séjours agréables et faire rêver ? ....
Les (bons) clients sont disposés à payer (un peu) plus cher s'ils ont la qualité et le sourire.
Bon Week End à tous

15.Posté par alexandre le 04/10/2009 16:07 | Alerter
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Le tourisme, un bien grand mot, les agences de voyages, déjà il y en a trop, le concept le vendeur acheteur c'est dépassé, le design de 90% des agences hors du temps, la fusion afat selectour, il faut attendre 3ans pour une nouvelle marque, qu'elle surprise, le snav, à quoi sert t'il ? aucun ministre du tourisme en france digne de ce nom, etc etc j'en ai plein d'autre, aujourd'hui il faut changer , chaque agence doit avoir son site internet perfromant et dont les bénéfices des ventes tombent dans la caisse de l'agence, que les reseaus au lieu de favoriser certaines agences, favorise toutes les agences, que les vendeurs sortent, comme des commerciaux, que les chefs et directeurs d'agences se modernisent dans leurs visions de la com, que le snav et toutes les instances aillent voir les chaines de tv et qu'ils fassent des reportages qui montre le positif sur les agences et le futur des agences.
Que tout le monde se bougent ensemble.
Les TO fini les brochures avec les prix qu'il soient direct sur les portails des professionnels en agence de voyages,qu'il y ait pourquoi pas une borne dans chaque agence meme quand l'agence est fermé pour pouvoir consulter ludiquement les voyages, avec des conseils du vendeur déjà enregistrés.
Chaque agence doit se faire connaitre par son propre nom pas par un nom de reseau, il faut de la proximité meme dans le nom de l'agence.
IL FAUT EVOLUER

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