
Reconnaissance faciale : l'EU Travel Tech a saisi la CNIL en France contre Ryanair - Crédit PIOTR MILTELSKI Ryanair
Dans la guerre que mène Ryanair contre les agences de voyages, nous vous livrons un nouvel épisode.
La firme dirigée par Michael O'leary veut éliminer toute intermédiation au niveau de la distribution de ses billets d'avion et ne cesse de réaliser des actions médiatiques à l'encontre des agences de voyages qu'elles soient physiques ou digitales.
Sauf que ces dernières ont décidé de se rebiffer.
Après la plainte déposée en Italie, auprès l'autorité de la concurrence par diverses associations représentant les agences de voyages de la Botte, nous venons d'apprendre une nouvelle action en justice à l'encontre de la compagnie low cost.
Depuis décembre 2023, Ryanair exige des passagers n'ayant pas de compte ou passant par une agence de voyages de se soumettre à une vérification biométrique.
"Outre le dénigrement que subissent nos adhérents, le sujet prioritaire à nos yeux sur la reconnaissance faciale est le respect de la réglementation relative à la protection des données des passagers qui sont également nos clients," nous expliquait en début d'année Valérie Boned.
Le message a bien été reçu.
L'EU TravelTech appuyée de l'ECTAA, a décidé de passer à la vitesse supérieure, en saisissant les "autorités françaises et belges de protection des données (APD) contre Ryanair," au sujet de la reconnaissance faciale.
La firme dirigée par Michael O'leary veut éliminer toute intermédiation au niveau de la distribution de ses billets d'avion et ne cesse de réaliser des actions médiatiques à l'encontre des agences de voyages qu'elles soient physiques ou digitales.
Sauf que ces dernières ont décidé de se rebiffer.
Après la plainte déposée en Italie, auprès l'autorité de la concurrence par diverses associations représentant les agences de voyages de la Botte, nous venons d'apprendre une nouvelle action en justice à l'encontre de la compagnie low cost.
Depuis décembre 2023, Ryanair exige des passagers n'ayant pas de compte ou passant par une agence de voyages de se soumettre à une vérification biométrique.
"Outre le dénigrement que subissent nos adhérents, le sujet prioritaire à nos yeux sur la reconnaissance faciale est le respect de la réglementation relative à la protection des données des passagers qui sont également nos clients," nous expliquait en début d'année Valérie Boned.
Le message a bien été reçu.
L'EU TravelTech appuyée de l'ECTAA, a décidé de passer à la vitesse supérieure, en saisissant les "autorités françaises et belges de protection des données (APD) contre Ryanair," au sujet de la reconnaissance faciale.
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