TourMaG - Comment votre aventure dans le tourisme a-t-elle commencé ?
Jean-Charles Martin : Un jour, j'ai vu une annonce d'emploi dans le Sud-Ouest : on recherchait un commercial bilingue pour développer des produits dans le monde du tourisme.
J'ai répondu mais on m'a répondu que je ne correspondais pas au profil parce que je ne connaissais rien au tourisme. Je ne comprenais pas qu'on puisse dire à quelqu'un qu'il ne correspond pas à ce profil sans le connaître.
Je suis donc parti à l'usine Sulema et je n'ai pas dû faire trop mauvaise impression puisque deux mois après, j'ai commencé à faire l'étude de marché sur le marché français.
TourMaG - Que retenez-vous après 20 ans de carrière ?
Jean-Charles Martin : On retient des amitiés, on retient des rencontres, on retient des destinations bien sûr.
Il y avait eu cette solidarité entre autres avec Adriana (Minchella, présidente du CEDIV ndlr), mais aussi avec les EDV et avec des agences en direct. Des gens qui appelaient pour avoir du soutien, pour se sentir réconforté de la même façon que j'ai appelé moi aussi pour avoir ce soutien.
C'est une grande solidarité qu'il y a dans le tourisme.
Jean-Charles Martin : Un jour, j'ai vu une annonce d'emploi dans le Sud-Ouest : on recherchait un commercial bilingue pour développer des produits dans le monde du tourisme.
J'ai répondu mais on m'a répondu que je ne correspondais pas au profil parce que je ne connaissais rien au tourisme. Je ne comprenais pas qu'on puisse dire à quelqu'un qu'il ne correspond pas à ce profil sans le connaître.
Je suis donc parti à l'usine Sulema et je n'ai pas dû faire trop mauvaise impression puisque deux mois après, j'ai commencé à faire l'étude de marché sur le marché français.
TourMaG - Que retenez-vous après 20 ans de carrière ?
Jean-Charles Martin : On retient des amitiés, on retient des rencontres, on retient des destinations bien sûr.
Il y avait eu cette solidarité entre autres avec Adriana (Minchella, présidente du CEDIV ndlr), mais aussi avec les EDV et avec des agences en direct. Des gens qui appelaient pour avoir du soutien, pour se sentir réconforté de la même façon que j'ai appelé moi aussi pour avoir ce soutien.
C'est une grande solidarité qu'il y a dans le tourisme.

Jean-Charles Martin a annoncé qu'il prendrait sa retraite à l'occasion de la convention du CEDIV au Sénégal - MF
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TourMaG - Malgré les épreuves vous gardez le sourire !
Jean-Charles Martin : Le sourire, c'est une chose, la positivité c'est une autre chose, mais l'épreuve est là pour tout le monde.
J'ai eu un soutien de l'usine de Sulema vraiment énorme. Ils ne m'ont jamais laissé tomber.
Cette transmission de travail en famille, je suis content aujourd'hui de pouvoir la transmettre à Christophe Mabit.
TourMaG - Qu'attendez-vous de Christophe Mabit ?
Jean-Charles Martin : Un autre Jean-Charles. (rires) Quand l'usine s'est occupée des recrutements, ils ont fait leur choix de candidat et j'avais en gros le dernier mot.
Et je sentais en Christophe, un vrai professionnel. C'est vrai que c'est un grand commercial, mais il a ce côté convivial, ce côté humain, ce côté "je travaille sérieusement mais sans me prendre la tête". Et je me suis vu plus jeune et je sais qu'il va continuer à travailler dans cet état d'esprit.
TourMaG - Quels sont les projets ?
Jean-Charles Martin : Des projets familiaux. J'ai trois enfants, Maryse ma compagne a deux filles de son côté. D'un jour à l'autre, nous allons être grands-parents pour la cinquième fois. Je souhaite profiter de la famille, voyager beaucoup parce que quand on travaille 20 ans dans le tourisme, on attrape ce virus du voyage et, bien sûr, je le redis beaucoup, de projets familiaux.
Toute l'équipe de TourMaG souhaite une excellente retraite à Jean-Charles, notre Tonton Valise !
Jean-Charles Martin : Le sourire, c'est une chose, la positivité c'est une autre chose, mais l'épreuve est là pour tout le monde.
J'ai eu un soutien de l'usine de Sulema vraiment énorme. Ils ne m'ont jamais laissé tomber.
Cette transmission de travail en famille, je suis content aujourd'hui de pouvoir la transmettre à Christophe Mabit.
TourMaG - Qu'attendez-vous de Christophe Mabit ?
Jean-Charles Martin : Un autre Jean-Charles. (rires) Quand l'usine s'est occupée des recrutements, ils ont fait leur choix de candidat et j'avais en gros le dernier mot.
Et je sentais en Christophe, un vrai professionnel. C'est vrai que c'est un grand commercial, mais il a ce côté convivial, ce côté humain, ce côté "je travaille sérieusement mais sans me prendre la tête". Et je me suis vu plus jeune et je sais qu'il va continuer à travailler dans cet état d'esprit.
TourMaG - Quels sont les projets ?
Jean-Charles Martin : Des projets familiaux. J'ai trois enfants, Maryse ma compagne a deux filles de son côté. D'un jour à l'autre, nous allons être grands-parents pour la cinquième fois. Je souhaite profiter de la famille, voyager beaucoup parce que quand on travaille 20 ans dans le tourisme, on attrape ce virus du voyage et, bien sûr, je le redis beaucoup, de projets familiaux.
Toute l'équipe de TourMaG souhaite une excellente retraite à Jean-Charles, notre Tonton Valise !