Maître d’œuvre infrastructures, le titre peut paraître abstrait.
Pourtant, Antoine Barbe est un acteur clé du fonctionnement de l'aéroport Charles de Gaulle.
Il est chargé de superviser l’ensemble des travaux d’infrastructures sur les aires aéronautiques : pistes, taxiways, aires de stationnement des avions, réseaux enterrés ou encore balisage lumineux.
Son objectif ? Assurer la sécurité, la performance et la disponibilité de ces infrastructures, indispensables à la fluidité du trafic aérien.
Sur le terrain, il veille à la bonne exécution des chantiers, vérifie le respect des normes techniques et suit l’avancement des travaux.
En parallèle, il passe aussi beaucoup de temps à son bureau pour étudier les projets, analyser les devis, ajuster les plannings et garantir que les chantiers respectent les budgets et les délais fixés.
Ce qu'il aime le plus dans son métier ? "C’est que chaque journée est différente". Il ne sait jamais à quoi s’attendre en arrivant le matin. Et dans un aéroport qui ne s’arrête jamais, les imprévus ne manquent pas.
Pourtant, Antoine Barbe est un acteur clé du fonctionnement de l'aéroport Charles de Gaulle.
Il est chargé de superviser l’ensemble des travaux d’infrastructures sur les aires aéronautiques : pistes, taxiways, aires de stationnement des avions, réseaux enterrés ou encore balisage lumineux.
Son objectif ? Assurer la sécurité, la performance et la disponibilité de ces infrastructures, indispensables à la fluidité du trafic aérien.
Sur le terrain, il veille à la bonne exécution des chantiers, vérifie le respect des normes techniques et suit l’avancement des travaux.
En parallèle, il passe aussi beaucoup de temps à son bureau pour étudier les projets, analyser les devis, ajuster les plannings et garantir que les chantiers respectent les budgets et les délais fixés.
Ce qu'il aime le plus dans son métier ? "C’est que chaque journée est différente". Il ne sait jamais à quoi s’attendre en arrivant le matin. Et dans un aéroport qui ne s’arrête jamais, les imprévus ne manquent pas.
Travailler dans un environnement vivant et exigeant
Autres articles
-
Une journée avec Samia Halimatou, étudiante en alternance chez Amadeus (vidéo)
-
Une journée avec Nuno Da Silva, expert des tests d'adhérence sur les pistes d'aéroport (vidéo)
-
Aéroport CDG : une journée avec Aurélie Haemmerer, technicienne de maintenance bâtiment (vidéo)
-
ADP : les défis qui attendent Philippe Pascal, le nouveau PDG
-
Une journée avec Éric Pires Augere, coordinateur Philanthropie à Disneyland Paris (Vidéo)
L’une des grandes particularités de ce métier réside dans la planification millimétrée des travaux.
À CDG, le trafic aérien ne s’interrompt jamais vraiment. Les interventions doivent donc être organisées en dehors des plages horaires critiques, tout en garantissant la sécurité des passagers, du personnel et des aéronefs.
Les travaux se poursuivent toute l’année, quelles que soient les conditions météorologiques. Pluie, vent, neige ou canicule, il faut savoir s’adapter.
Ses journées, bien remplies, débutent à 8h et se terminent souvent autour de 18h. Elles alternent entre phases de réflexion et réunions au bureau, puis visites de terrain pour vérifier l’exécution concrète des travaux.
Pour exercer ce métier, une formation d’ingénieur dans le domaine des travaux publics ou du génie civil est généralement requise.
Il est possible d’y accéder via un diplôme d’ingénieur (INSA, ESTP, ENTPE, École des Ponts…) ou un Master universitaire en génie civil, infrastructures ou aménagement du territoire. Une spécialisation en infrastructures de transport, en aménagement urbain ou en maîtrise d’œuvre peut constituer un atout.
Les qualités indispensables pour ce métier : la rigueur, le sens de l’organisation, la capacité à travailler en équipe, et bien sûr, une affinité avec les environnements techniques et complexes comme celui d’un aéroport.
À CDG, le trafic aérien ne s’interrompt jamais vraiment. Les interventions doivent donc être organisées en dehors des plages horaires critiques, tout en garantissant la sécurité des passagers, du personnel et des aéronefs.
Les travaux se poursuivent toute l’année, quelles que soient les conditions météorologiques. Pluie, vent, neige ou canicule, il faut savoir s’adapter.
Ses journées, bien remplies, débutent à 8h et se terminent souvent autour de 18h. Elles alternent entre phases de réflexion et réunions au bureau, puis visites de terrain pour vérifier l’exécution concrète des travaux.
Pour exercer ce métier, une formation d’ingénieur dans le domaine des travaux publics ou du génie civil est généralement requise.
Il est possible d’y accéder via un diplôme d’ingénieur (INSA, ESTP, ENTPE, École des Ponts…) ou un Master universitaire en génie civil, infrastructures ou aménagement du territoire. Une spécialisation en infrastructures de transport, en aménagement urbain ou en maîtrise d’œuvre peut constituer un atout.
Les qualités indispensables pour ce métier : la rigueur, le sens de l’organisation, la capacité à travailler en équipe, et bien sûr, une affinité avec les environnements techniques et complexes comme celui d’un aéroport.
Retrouvez notre série de vidéos "Une journée avec" en cliquant ici.