Tout donne à penser qu’il s’agit-là d’un ultime sursit. En effet, comme le BSP n’a pas été payé, mercredi, ce créancier est venu « saisir » les différents documents nécessaires à l’émission des billets. Ce qui signifie pratiquement que ni les AGV CIT, ni les différents TO du groupe en Belgique n’ont plus aucune activité commerciale.
En ce qui concerne le business travel, le groupe a perdu ses principaux clients dont le parlement européen et la cours des comptes européenne. L’une de nos sources interne à l’entreprise : « Lorsqu’on sait que le repreneur de ces dossiers n’est autre que CWT, on peut se demander quel jeu joue exactement le groupe Accor avec la CIT ».
Réaction tout à fait logique lorsqu’on sait que le groupe Accor, qui est actionnaire à concurrence de 10 % de la CIT, n’a toujours pas fait savoir officiellement s’il participera à l’augmentation de capital et donc au sauvetage du voyagiste italien.
Selon nos informations, le groupe hôtelier attend toujours un business plan fiable et de savoir quel sera la position du gouvernement italien, lire le holding public Sviluppo, dans ce dossier.
Baudouin Gillis CEO de CWT en Belgique tient cependant à corriger et à préciser: « C’est sur la demande expresse du Parlement Européen ainsi que d’autres sociétés que nous avons signé ces nouveaux contrats. Je suis donc très clair : nous n’avons fait que répondre aux souhaits des clients de la CIT. »
Michel Ghesquière - michel.ghesquiere@skynet.be
En ce qui concerne le business travel, le groupe a perdu ses principaux clients dont le parlement européen et la cours des comptes européenne. L’une de nos sources interne à l’entreprise : « Lorsqu’on sait que le repreneur de ces dossiers n’est autre que CWT, on peut se demander quel jeu joue exactement le groupe Accor avec la CIT ».
Réaction tout à fait logique lorsqu’on sait que le groupe Accor, qui est actionnaire à concurrence de 10 % de la CIT, n’a toujours pas fait savoir officiellement s’il participera à l’augmentation de capital et donc au sauvetage du voyagiste italien.
Selon nos informations, le groupe hôtelier attend toujours un business plan fiable et de savoir quel sera la position du gouvernement italien, lire le holding public Sviluppo, dans ce dossier.
Baudouin Gillis CEO de CWT en Belgique tient cependant à corriger et à préciser: « C’est sur la demande expresse du Parlement Européen ainsi que d’autres sociétés que nous avons signé ces nouveaux contrats. Je suis donc très clair : nous n’avons fait que répondre aux souhaits des clients de la CIT. »
Michel Ghesquière - michel.ghesquiere@skynet.be