La qualité figure au cœur des débats de ce nouveau congrès de "Les Entreprises du Voyage" (ou des Entrepreneurs, c’est au choix).
Y compris le discours inaugural du vice-président de "Les Entreprises du Voyages", lequel, pour une fois, aura fait sobre.
Après l’appel de l’Egypte et diverses autres contrées, il ne nous aura pas fait l’appel de Colombo, ce dont nous le remercions très chaleureusement.
Et nous aurons apprécié les discours amicaux des autorités Sri Lankaises, à condition toutefois d’avoir une oreille particulièrement affinée…
Fini les intervenants, certes de grande qualité mais souvent éloignés des préoccupations quotidiennes de ces professionnels qui se cherchent encore, place aux réalités concrètes.
Et Martine Pinville, Secrétaire d’Etat au portefeuille large, dont celui du tourisme mais vu du côté de Bercy et des petites entreprises aura apporté, non seulement sa présence conviviale, mais aussi un bel éclairage.
Parce que la dame n’a pas sa langue dans sa poche. S’adressant aux professionnels participants, elle ose enfin exprimer ce qui aurait dû être fait depuis de nombreuses années (et quelques gouvernements) …
« Vous devez, dit-elle à l’auditoire, considérer le tourisme comme une économie à part entière. Soyez organisés et structurés, c’est un enjeu extraordinaire, qui vous permettra d’être non seulement forts, mais également influents vis-à-vis des pouvoirs publics ».
Y compris le discours inaugural du vice-président de "Les Entreprises du Voyages", lequel, pour une fois, aura fait sobre.
Après l’appel de l’Egypte et diverses autres contrées, il ne nous aura pas fait l’appel de Colombo, ce dont nous le remercions très chaleureusement.
Et nous aurons apprécié les discours amicaux des autorités Sri Lankaises, à condition toutefois d’avoir une oreille particulièrement affinée…
Fini les intervenants, certes de grande qualité mais souvent éloignés des préoccupations quotidiennes de ces professionnels qui se cherchent encore, place aux réalités concrètes.
Et Martine Pinville, Secrétaire d’Etat au portefeuille large, dont celui du tourisme mais vu du côté de Bercy et des petites entreprises aura apporté, non seulement sa présence conviviale, mais aussi un bel éclairage.
Parce que la dame n’a pas sa langue dans sa poche. S’adressant aux professionnels participants, elle ose enfin exprimer ce qui aurait dû être fait depuis de nombreuses années (et quelques gouvernements) …
« Vous devez, dit-elle à l’auditoire, considérer le tourisme comme une économie à part entière. Soyez organisés et structurés, c’est un enjeu extraordinaire, qui vous permettra d’être non seulement forts, mais également influents vis-à-vis des pouvoirs publics ».
Comprendre enfin la problématique de cette profession
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Le ton est donné, dans la chaleur humide de Colombo, Sri Lanka, au cœur d’un Palais des Congrès gigantesque.
Un Palais qui fleure bon les restes de l’époque où Mao régnait encore en maitre sur cette région de l’Asie… Il n’en reste que quelques bustes !
Martine Pinville aura eu le mérite d’être claire et de comprendre enfin la problématique de cette profession, qui relève aussi de son ministère.
« La directive Européenne, sa transposition en droit français, j’y suis très attentive. Notamment sur la notion de « responsabilité de plein droit ». Mais il faut tenir compte du Ministère de la Justice… »
Quant à la réforme de la TVA qui frappe (et distord la concurrence) sur les réceptifs français par rapport à leurs homologues européens, c’est un vieux serpent de mer sur lequel Martine Pinville a encore bien du mal.
Mais elle ferraille ferme et devrait au moins faire avancer un tant soit peu le problème.
Un Palais qui fleure bon les restes de l’époque où Mao régnait encore en maitre sur cette région de l’Asie… Il n’en reste que quelques bustes !
Martine Pinville aura eu le mérite d’être claire et de comprendre enfin la problématique de cette profession, qui relève aussi de son ministère.
« La directive Européenne, sa transposition en droit français, j’y suis très attentive. Notamment sur la notion de « responsabilité de plein droit ». Mais il faut tenir compte du Ministère de la Justice… »
Quant à la réforme de la TVA qui frappe (et distord la concurrence) sur les réceptifs français par rapport à leurs homologues européens, c’est un vieux serpent de mer sur lequel Martine Pinville a encore bien du mal.
Mais elle ferraille ferme et devrait au moins faire avancer un tant soit peu le problème.
Condamnés à réussir cette Confédération
De quoi donner à René-Marc Chikli, président du Seto et Jean-Pierre Mas, président de "Les Entreprises du Voyage", l’occasion de confirmer, enfin, la future naissance de cette Confédération des Professionnels du Tourisme.
« Nous sommes condamnés à réaliser ce projet, c’est un devoir incontournable annonce le patron du Seto.
Nous avons le socle, nous sommes d’accord avec les hôteliers, représentés par l’Umih de Roland Héguy, les Entreprises du Voyages, la FNTV, l’APST.
Il nous manque encore les transporteurs aériens de la Fnam. Ce n’est plus qu’une question de temps… ».
Si tout va bien, ces propos étant confirmés (ça c’est juste pour faire rire un vieux copain) par Jean-Pierre Mas, cette nouvelle entité représentative de l’ensemble de la profession, devrait être opérationnelle dès le début de l’année 2017.
Il sera d’ailleurs temps, parce que les chantiers s’annoncent extrêmement lourds : Directive Européenne à transposer en droit français, et, surgie subrepticement, la refonte du Code du Tourisme nouvelles normes « Iata » sur lesquelles nous reviendront plus fortement, l’horizon est pour le moins chargé…
On peut simplement regretter ces périodes électorales où souvent, tout est bon pour séduire l’électorat sans forcément espérer un avenir plus serein…
« Nous sommes condamnés à réaliser ce projet, c’est un devoir incontournable annonce le patron du Seto.
Nous avons le socle, nous sommes d’accord avec les hôteliers, représentés par l’Umih de Roland Héguy, les Entreprises du Voyages, la FNTV, l’APST.
Il nous manque encore les transporteurs aériens de la Fnam. Ce n’est plus qu’une question de temps… ».
Si tout va bien, ces propos étant confirmés (ça c’est juste pour faire rire un vieux copain) par Jean-Pierre Mas, cette nouvelle entité représentative de l’ensemble de la profession, devrait être opérationnelle dès le début de l’année 2017.
Il sera d’ailleurs temps, parce que les chantiers s’annoncent extrêmement lourds : Directive Européenne à transposer en droit français, et, surgie subrepticement, la refonte du Code du Tourisme nouvelles normes « Iata » sur lesquelles nous reviendront plus fortement, l’horizon est pour le moins chargé…
On peut simplement regretter ces périodes électorales où souvent, tout est bon pour séduire l’électorat sans forcément espérer un avenir plus serein…