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Après deux cas autochtones de dengue, le département des Alpes-Maritimes est passé en stade 3 d'alerte sur une échelle qui va de 0 à 5.
Le niveau 5 serait atteint si le virus et son vecteur, à savoir le moustique tigre, étaient diffusés sur l'ensemble du territoire du département, "ce qui n'est pas le cas", a rappelé le préfet du département Francis Lamy.
Le niveau 3 d'alerte induit "un certain nombre de mesures", parmi lesquelles la diffusion de documents dans les ports et aéroports, ainsi que sur le site internet de la préfecture, pour savoir "comment pouvoir intervenir en cas d'épidémie de dengue", a-t-il souligné.
A l'heure actuelle, outre les deux cas avérés de dengue autochtone dans un quartier résidentiel de l'ouest de Nice, il n'y a plus que "six à sept cas suspects", selon François-Xavier Lorre, délégué départemental de l'Agence régionale de santé Paca.
Pour trois d'entre eux, les résultats d'analyses devraient être connus avant la fin de la semaine. La seconde personne contaminée, quant à elle, est sortie de l'hôpital et se porte bien.
Parallèlement, la campagne de démoustication se poursuit dans les lieux où prolifèrent les moustiques ou ceux fréquentés par les personnes infectées par le virus, pour éviter toute contamination ultérieure.
Un numéro vert (0800.740.606) a été mis en place par le conseil général, pour signaler la présence de moustiques sur un site et obtenir des conseils pratiques.
Le niveau 5 serait atteint si le virus et son vecteur, à savoir le moustique tigre, étaient diffusés sur l'ensemble du territoire du département, "ce qui n'est pas le cas", a rappelé le préfet du département Francis Lamy.
Le niveau 3 d'alerte induit "un certain nombre de mesures", parmi lesquelles la diffusion de documents dans les ports et aéroports, ainsi que sur le site internet de la préfecture, pour savoir "comment pouvoir intervenir en cas d'épidémie de dengue", a-t-il souligné.
A l'heure actuelle, outre les deux cas avérés de dengue autochtone dans un quartier résidentiel de l'ouest de Nice, il n'y a plus que "six à sept cas suspects", selon François-Xavier Lorre, délégué départemental de l'Agence régionale de santé Paca.
Pour trois d'entre eux, les résultats d'analyses devraient être connus avant la fin de la semaine. La seconde personne contaminée, quant à elle, est sortie de l'hôpital et se porte bien.
Parallèlement, la campagne de démoustication se poursuit dans les lieux où prolifèrent les moustiques ou ceux fréquentés par les personnes infectées par le virus, pour éviter toute contamination ultérieure.
Un numéro vert (0800.740.606) a été mis en place par le conseil général, pour signaler la présence de moustiques sur un site et obtenir des conseils pratiques.