Choix judicieux s’il en est : le Parc a été consacré à Londres triple lauréat aux « Oscars 2022 » des parcs d’attractions, notamment pour sa Station Cosmos.
L’Hôtel Station Cosmos, possède 76 chambres conçues telles les cabines d’un vaisseau spatial et sont réparties sur 2 ou 4 étages selon les 3 modules qui les abritent (le module central et les deux modules qui y sont arrimés).
D’une superficie de 28 m2 minimum, elles peuvent accueillir jusqu’à 4 personnes et déclinent un style futuriste pour emporter leurs habitants à des années-lumière de leur quotidien. Chaque cabine évoque le thème de l’espace dans ses moindres détails pour offrir à ses résidents une expérience immersive, dans le prolongement de la visite du Parc : illusion d’un lit en apesanteur, domotique pour piloter les équipements...
Les tarifs s’échelonnent de 188 à 245 euros la nuit dans ce complexe présenté comme « haut de gamme » par son directeur général, Rodolphe Bouin, qui annonce déjà un taux de remplissage de 97 % depuis son ouverture au début de l’été.
A noter que sur cette base d’exploration spatiale installée dans le paysage rouge et minéral de l’exoplanète Kepler 442-b, on y trouve également un restaurant high tech qui accueille les résidents de l’Hôtel au petit-déjeuner et s’ouvre à toute la clientèle (visiteurs et non visiteurs du Parc) en recherche d’expériences nouvelles le reste de la journée.
L’Hôtel Station Cosmos, possède 76 chambres conçues telles les cabines d’un vaisseau spatial et sont réparties sur 2 ou 4 étages selon les 3 modules qui les abritent (le module central et les deux modules qui y sont arrimés).
D’une superficie de 28 m2 minimum, elles peuvent accueillir jusqu’à 4 personnes et déclinent un style futuriste pour emporter leurs habitants à des années-lumière de leur quotidien. Chaque cabine évoque le thème de l’espace dans ses moindres détails pour offrir à ses résidents une expérience immersive, dans le prolongement de la visite du Parc : illusion d’un lit en apesanteur, domotique pour piloter les équipements...
Les tarifs s’échelonnent de 188 à 245 euros la nuit dans ce complexe présenté comme « haut de gamme » par son directeur général, Rodolphe Bouin, qui annonce déjà un taux de remplissage de 97 % depuis son ouverture au début de l’été.
A noter que sur cette base d’exploration spatiale installée dans le paysage rouge et minéral de l’exoplanète Kepler 442-b, on y trouve également un restaurant high tech qui accueille les résidents de l’Hôtel au petit-déjeuner et s’ouvre à toute la clientèle (visiteurs et non visiteurs du Parc) en recherche d’expériences nouvelles le reste de la journée.
Hôtel spacial et restaurant Space Loop
La particularité de ce restaurant réside dans l’originalité de son fonctionnement car les plats sont ici acheminés de la cuisine à la table des clients par des rails gravitationnels. Après avoir passé commande via des tablettes tactiles, les clients de Space Loop vivent dans la foulée l’expérience insolite de voir leurs plats s’élancer depuis le haut du restaurant sur un système de rails en enchaînant virages serrés, loopings et autres figures renversantes.
Il convient de féliciter Le Futuroscope, d’avoir saisi cette nouvelle tendance des "Hôtels Thématiques" et notamment celle basée sur la thématique spatiale qui se développe actuellement, car quoi que l’on en pense le spatial est un thème qui attire et à toujours attiré le profane que ce soit les musées, les films ou lors des lancements de fusées.
Le succès de la Citée de l’Espace à Toulouse qui enregistre annuellement 400 000 visiteurs en est un des exemples concrets.
Il existe deux conceptions d’approche en ce domaine :
- à partir de l’hôtel spatial on crée une zone d’animation tournée vers l’espace. C’est le cas du complexe ‘’Moon’’, de la société canadienne Moon World Resorts Inc. comme il devrait en exister à Las Vegas ou à Dubaï.
- à l’intérieur d’un parc d’animation déjà existant, est intégré un hôtel spatial. C’est le cas de "Station Cosmos" du Futuroscope.
Laissons la conclusion à Tom Fitzgerald, responsable du portefeuille créatif de Walt Disney Imagineering, à propos de cette thématique spatiale dont il fut le précurseur dans le domaine des parcs d’attraction : « l’Espace est un autre élément merveilleux de l'expérience de Disney World, ancré dans la science, qui vous donne une vision optimiste et passionnante de l'avenir et vous permet d'y pénétrer et d'en faire l'expérience. »
Rodolphe Bouin, en évoquant un taux de remplissage de 97 % depuis l’ouverture de l’Hôtel Station Cosmos au début de l’été, a sans aucun doute fait « le bon choix », comme l’aurait dit en son temps René Monory le père du Futuroscope (Ancien sénateur de la Vienne et Président du Sénat).
Il convient de féliciter Le Futuroscope, d’avoir saisi cette nouvelle tendance des "Hôtels Thématiques" et notamment celle basée sur la thématique spatiale qui se développe actuellement, car quoi que l’on en pense le spatial est un thème qui attire et à toujours attiré le profane que ce soit les musées, les films ou lors des lancements de fusées.
Le succès de la Citée de l’Espace à Toulouse qui enregistre annuellement 400 000 visiteurs en est un des exemples concrets.
Il existe deux conceptions d’approche en ce domaine :
- à partir de l’hôtel spatial on crée une zone d’animation tournée vers l’espace. C’est le cas du complexe ‘’Moon’’, de la société canadienne Moon World Resorts Inc. comme il devrait en exister à Las Vegas ou à Dubaï.
- à l’intérieur d’un parc d’animation déjà existant, est intégré un hôtel spatial. C’est le cas de "Station Cosmos" du Futuroscope.
Laissons la conclusion à Tom Fitzgerald, responsable du portefeuille créatif de Walt Disney Imagineering, à propos de cette thématique spatiale dont il fut le précurseur dans le domaine des parcs d’attraction : « l’Espace est un autre élément merveilleux de l'expérience de Disney World, ancré dans la science, qui vous donne une vision optimiste et passionnante de l'avenir et vous permet d'y pénétrer et d'en faire l'expérience. »
Rodolphe Bouin, en évoquant un taux de remplissage de 97 % depuis l’ouverture de l’Hôtel Station Cosmos au début de l’été, a sans aucun doute fait « le bon choix », comme l’aurait dit en son temps René Monory le père du Futuroscope (Ancien sénateur de la Vienne et Président du Sénat).
Michel MESSAGER est directeur associé de Consul Tours, société de conseil travaillant pour une clientèle privée et institutionnelle dans les secteurs du tourisme.
Il est Membre Fondateur de l’Institut Européen du Tourisme Spatial et de l’AFST (Association Française des Seniors du Tourisme). Il est l’auteur de nombreux articles sur le sujet ainsi que de plusieurs livres : le "Tourisme Spatial" publié en 2009 à la documentation française et "Histoire du Tourisme Spatial de 1950 à 2020" sorti en 2021, ainsi qu'en 2022 "Tourisme Spatial et Ecologie" chez Amazon.
Il est considéré actuellement comme l’un des spécialistes en la matière. Il intervient fréquemment sur ce sujet à la radio et à la télévision, ainsi qu’au travers de conférences dans de nombreux pays, notamment au Canada où il réside quelques mois par an.
Il conseille notamment des entreprises du "new space" et des fonds d’investissements sur les projets financiers en matière de Tourisme Spatial.
Il est Membre Fondateur de l’Institut Européen du Tourisme Spatial et de l’AFST (Association Française des Seniors du Tourisme). Il est l’auteur de nombreux articles sur le sujet ainsi que de plusieurs livres : le "Tourisme Spatial" publié en 2009 à la documentation française et "Histoire du Tourisme Spatial de 1950 à 2020" sorti en 2021, ainsi qu'en 2022 "Tourisme Spatial et Ecologie" chez Amazon.
Il est considéré actuellement comme l’un des spécialistes en la matière. Il intervient fréquemment sur ce sujet à la radio et à la télévision, ainsi qu’au travers de conférences dans de nombreux pays, notamment au Canada où il réside quelques mois par an.
Il conseille notamment des entreprises du "new space" et des fonds d’investissements sur les projets financiers en matière de Tourisme Spatial.