Début octobre 2023, Israël subissait une série d'attentats sur son sol.
Face à l'ampleur des attaques et la situation sécuritaire très incertaine, les compagnies aériennes suspendaient leurs vols et les voyagistes suivaient cette dynamique.
Depuis, les transporteurs remettent petit à petit des avions. pour desservir Israël. Sauf que cette reprise ne serait que partielle, à en croire Ryanair.
La compagnie a adressé une demande à l'aéroport international Ben Gurion pour qu'il puisse rouvrir le Terminal 1.
Cela permettra la reprise des vols low-cost au départ et à destination de Tel-Aviv.
"Nous avons été profondément déçus par le refus de l'aéroport international Ben Gurion de rouvrir le Terminal 1, où Ryanair opère normalement.
Nous ne voyons pas d'inconvénient à ce que l'aéroport nous oblige à faire passer provisoirement les vols Ryanair par le Terminal 3 en raison de la forte baisse du trafic de/ ver Tel-Aviv, mais cela doit se faire aux prix convenus pour le Terminal 1, et non pour le Terminal 3," a commenté le PDG de Ryanair DAC, Eddie Wilson.
Face à l'ampleur des attaques et la situation sécuritaire très incertaine, les compagnies aériennes suspendaient leurs vols et les voyagistes suivaient cette dynamique.
Depuis, les transporteurs remettent petit à petit des avions. pour desservir Israël. Sauf que cette reprise ne serait que partielle, à en croire Ryanair.
La compagnie a adressé une demande à l'aéroport international Ben Gurion pour qu'il puisse rouvrir le Terminal 1.
Cela permettra la reprise des vols low-cost au départ et à destination de Tel-Aviv.
"Nous avons été profondément déçus par le refus de l'aéroport international Ben Gurion de rouvrir le Terminal 1, où Ryanair opère normalement.
Nous ne voyons pas d'inconvénient à ce que l'aéroport nous oblige à faire passer provisoirement les vols Ryanair par le Terminal 3 en raison de la forte baisse du trafic de/ ver Tel-Aviv, mais cela doit se faire aux prix convenus pour le Terminal 1, et non pour le Terminal 3," a commenté le PDG de Ryanair DAC, Eddie Wilson.
Tel-Aviv : Ryanair a suspendu ses vols vers Tel-Aviv le 27 février 2024
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Depuis le 1er février 2024, Ryanair opère au départ et à l'aéroport de Terminal 3, "plus coûteux, ce qui a entraîné des coûts nettement plus élevés et des tarifs beaucoup plus élevés pour les passagers de Ryanair voyageant vers/depuis Tel Aviv."
Dans un premier temps, la low cost a demandé à l'aéroport Ben Gurion de Tel-Aviv d'appliquer les redevances prévues pour le Terminal 1 jusqu'à sa réouverture.
Une demande qui a été refusée par la direction de l'infrastructure aéroportuaire.
Face à ce refus, Ryanair a décidé de suspendre ses vols vers et depuis Tel-Aviv, en date du 27 février. Sa direction a adressé une lettre à son homologue de l'aéroport, pour obtenir une date de réouverture du terminal 1.
"Ryanair souhaite soutenir l'aéroport international Ben Gurion et la reprise du transport aérien de/vers Israël, mais nous ne pouvons pas le faire en demandant à nos passagers de payer des tarifs plus élevés.
Alors que l'aéroport international Ben Gurion maintient fermé le Terminal 1 low-cost et force nos vols à passer par le Terminal 3 plus onéreux, en facturant des frais qui n'ont jamais été convenus par Ryanair.
Nous demandons à nouveau à l'aéroport international Ben Gurion de confirmer une date de réouverture du Terminal 1, moins coûteux, ce qui permettra à Ryanair de reprendre ses vols low-cost au départ et à destination de Tel-Aviv, qui ont tant contribué à l'essor du transport aérien et du tourisme en Israël," a conclu Eddie Wilson.
Dans un premier temps, la low cost a demandé à l'aéroport Ben Gurion de Tel-Aviv d'appliquer les redevances prévues pour le Terminal 1 jusqu'à sa réouverture.
Une demande qui a été refusée par la direction de l'infrastructure aéroportuaire.
Face à ce refus, Ryanair a décidé de suspendre ses vols vers et depuis Tel-Aviv, en date du 27 février. Sa direction a adressé une lettre à son homologue de l'aéroport, pour obtenir une date de réouverture du terminal 1.
"Ryanair souhaite soutenir l'aéroport international Ben Gurion et la reprise du transport aérien de/vers Israël, mais nous ne pouvons pas le faire en demandant à nos passagers de payer des tarifs plus élevés.
Alors que l'aéroport international Ben Gurion maintient fermé le Terminal 1 low-cost et force nos vols à passer par le Terminal 3 plus onéreux, en facturant des frais qui n'ont jamais été convenus par Ryanair.
Nous demandons à nouveau à l'aéroport international Ben Gurion de confirmer une date de réouverture du Terminal 1, moins coûteux, ce qui permettra à Ryanair de reprendre ses vols low-cost au départ et à destination de Tel-Aviv, qui ont tant contribué à l'essor du transport aérien et du tourisme en Israël," a conclu Eddie Wilson.