Il aura fallu attendre l’arrivée de Fabius à la tête des Affaires étrangères pour que l'industrie du tourisme soit prise au sérieux... /photo Wikipedia
Quand c’est bien, y’a pas de raison de le cacher.
Longtemps, pour ne pas dire depuis toujours, le tourisme a toujours été qu’une vague préoccupation de nos politiques.
D’ailleurs, tourisme pour un candidat à un portefeuille ministériel n’était très souvent que la porte de service au gouvernement.
On en a eu des brèles, secrétaires d’Etat pour la plupart à ce poste… excepté peut-être Novelli qui avait au moins le mérite de connaitre les dossiers et de s’y intéresser. Son successeur, Fred Zadig s’est d’ailleurs vite empressé d’oublier tout ça.
Le pire sûrement aura été Mademoiselle qui pourtant appartenait à la nouvelle majorité, celle du « changement c’est maintenant ».
A l’époque, ça n’a pourtant pas tellement changé, sauf que c’était quasi pire. Le néant dans un océan d’incompétence.
Il aura fallu l’arrivée de Fabius à la tête des Affaires étrangères pour susurrer à l’oreille de son président que le tourisme était pour la France, d’une importance économique incontournable. Une « priorité nationale » comme l’a découvert Hollande…
Et qui aura permis, après deux essais pour le moins ratés, de voir émerger cette nouvelle génération d’hommes politiques qui considèrent qu’être ministre ou Secrétaire d’Etat, ce n’est pas une charge, c’est boulot à part entière.
Longtemps, pour ne pas dire depuis toujours, le tourisme a toujours été qu’une vague préoccupation de nos politiques.
D’ailleurs, tourisme pour un candidat à un portefeuille ministériel n’était très souvent que la porte de service au gouvernement.
On en a eu des brèles, secrétaires d’Etat pour la plupart à ce poste… excepté peut-être Novelli qui avait au moins le mérite de connaitre les dossiers et de s’y intéresser. Son successeur, Fred Zadig s’est d’ailleurs vite empressé d’oublier tout ça.
Le pire sûrement aura été Mademoiselle qui pourtant appartenait à la nouvelle majorité, celle du « changement c’est maintenant ».
A l’époque, ça n’a pourtant pas tellement changé, sauf que c’était quasi pire. Le néant dans un océan d’incompétence.
Il aura fallu l’arrivée de Fabius à la tête des Affaires étrangères pour susurrer à l’oreille de son président que le tourisme était pour la France, d’une importance économique incontournable. Une « priorité nationale » comme l’a découvert Hollande…
Et qui aura permis, après deux essais pour le moins ratés, de voir émerger cette nouvelle génération d’hommes politiques qui considèrent qu’être ministre ou Secrétaire d’Etat, ce n’est pas une charge, c’est boulot à part entière.
Matthias Fekl fait partie de ces hommes.
Bien évidemment, j’aurai droit aux éternels commentaires des pisse-vinaigre qui vont se déchaîner sans vraiment comprendre ce qu’ils lisent.
Comme aurait dit Chirac, « ça m’en touche une sans faire bouger l’autre » et basta.
Fekl, qu’on le veuille ou non, ça fonctionne...
Certes, Fabius ne l’aura pas ménagé, mais le nouveau président du Conseil Constitutionnel est réputé pour ne pas « faire de cadeaux » à ses Secrétaires d’Etat !
C’était, en tout cas, une équipe qui tournait permettant très certainement à Matthias Fekl de poursuivre le boulot avec son nouveau ministre de tutelle, Jean-Marc Ayrault.
Bien que ce dernier, mais c’est sans doute sa « réserve naturelle », ne semble pas manifester pour le tourisme, un enthousiasme particulier.
Qu’importe : la team que conduit Fekl est sur le pont, la plupart du temps entre deux avions, afin d’aller porter à l’étranger la bonne parole touristique française, tout en développant nos relations commerciales internationales.
Fidèle de Hollande, Fekl se considère cependant comme un « homme libre ». Sa légitimité ? Etre élu par le peuple.
Il dit d’ailleurs n’avoir pas attendu une nomination ministérielle pour mener sa barque politique et ne semble pas décidé à prendre sa retraite lors de sa sortie du gouvernement !
Bien évidemment, j’aurai droit aux éternels commentaires des pisse-vinaigre qui vont se déchaîner sans vraiment comprendre ce qu’ils lisent.
Comme aurait dit Chirac, « ça m’en touche une sans faire bouger l’autre » et basta.
Fekl, qu’on le veuille ou non, ça fonctionne...
Certes, Fabius ne l’aura pas ménagé, mais le nouveau président du Conseil Constitutionnel est réputé pour ne pas « faire de cadeaux » à ses Secrétaires d’Etat !
C’était, en tout cas, une équipe qui tournait permettant très certainement à Matthias Fekl de poursuivre le boulot avec son nouveau ministre de tutelle, Jean-Marc Ayrault.
Bien que ce dernier, mais c’est sans doute sa « réserve naturelle », ne semble pas manifester pour le tourisme, un enthousiasme particulier.
Qu’importe : la team que conduit Fekl est sur le pont, la plupart du temps entre deux avions, afin d’aller porter à l’étranger la bonne parole touristique française, tout en développant nos relations commerciales internationales.
Fidèle de Hollande, Fekl se considère cependant comme un « homme libre ». Sa légitimité ? Etre élu par le peuple.
Il dit d’ailleurs n’avoir pas attendu une nomination ministérielle pour mener sa barque politique et ne semble pas décidé à prendre sa retraite lors de sa sortie du gouvernement !
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Discret, il se refuse encore à tirer un bilan de ses deux ans au Quai d’Orsay. Il reste encore tellement de choses à faire, sourit cet éternel voyageur qui aimerait bien découvrir Ispahan mais qui n’aura passé que quelques jours à Téhéran, avant de repartir vers la Chine et le monde !
On sent parfois un regret dans son expression en parlant voyage, le regret de celui qui parcourt le monde sans avoir le temps de le découvrir…
Mais faut faire le job, sans égard pour la vie familiale. C’est souvent frustrant, de ne pas pouvoir assister au mariage d’une cousine proche pour se rendre à Shanghai dans le cadre du G20 !
Mais c’est réjouissant de pouvoir convaincre les plus grands organisateurs de Congrès, malgré cette contrainte fiscale envers nos réceptifs, peu concurrentielle vis-à-vis de beaucoup de leurs homologues européens !
Il se refuse à tout commentaire sur l’échéance de 2017. Mais il ne peut s’empêcher de lancer un clin d’œil malicieux en indiquant que ses « camarades » de l’opposition lui ont demandé un « avis » afin de présenter leur programme « tourisme » pour ces mêmes échéances.
Je ne lui ai pas demandé son avis sur la Loi Travail. Mais, comme il est fidèle et libre, on peut supposer qu’il n’y est pas défavorable.
Comme quoi, gauche, droite, ça veut plus rien dire, si ce n’est pour les militaires !
On sent parfois un regret dans son expression en parlant voyage, le regret de celui qui parcourt le monde sans avoir le temps de le découvrir…
Mais faut faire le job, sans égard pour la vie familiale. C’est souvent frustrant, de ne pas pouvoir assister au mariage d’une cousine proche pour se rendre à Shanghai dans le cadre du G20 !
Mais c’est réjouissant de pouvoir convaincre les plus grands organisateurs de Congrès, malgré cette contrainte fiscale envers nos réceptifs, peu concurrentielle vis-à-vis de beaucoup de leurs homologues européens !
Il se refuse à tout commentaire sur l’échéance de 2017. Mais il ne peut s’empêcher de lancer un clin d’œil malicieux en indiquant que ses « camarades » de l’opposition lui ont demandé un « avis » afin de présenter leur programme « tourisme » pour ces mêmes échéances.
Je ne lui ai pas demandé son avis sur la Loi Travail. Mais, comme il est fidèle et libre, on peut supposer qu’il n’y est pas défavorable.
Comme quoi, gauche, droite, ça veut plus rien dire, si ce n’est pour les militaires !