Jean- Yves Le Diran : "on va dépasser les 87 millions, on va même sans doute flirter avec les 90 millions" - Copyright sborisov Depositphotos.com
Mais bon, comme le dit Chien Charly, appuyé par ses nouveaux camarades canards, Toto et Lolo, on ne peut pas avoir le beurre… et vous connaissez la suite !
Bon, ça, finalement c’est une bonne chose, reste à savoir si, du côté des agences de voyages et des tour-opérateurs, qui, eux, exportent les clients vers le reste du monde, l’embellie est aussi flagrante.
Toujours est-il que, et ça c’est une bonne nouvelle, l’impulsion lancée par Laurent Fabius sur l’industrie du tourisme en France n’a pas été abandonnée par notre nouvelle administration. Je dirais même qu’elle semble se poursuivre, toujours sous la direction de notre Ministre des Affaires Etranges, Jean-Yves Le Drian et son Secrétaire dévoué, Jean-Baptiste Lemoyne.
Quand c’est bien, c’est bien et faut le dire, même si Président Macron ne semble pas en faire grand cas…
Pourtant, qu’on le veuille ou non, la France est encore l’une des trois premières destinations touristiques, même si les recettes engendrées par cette situation ne sont pas toujours au rendez-vous. Mais, finalement quand on aime, on ne compte pas… et puis ce serait mesquin !
Bon, ça, finalement c’est une bonne chose, reste à savoir si, du côté des agences de voyages et des tour-opérateurs, qui, eux, exportent les clients vers le reste du monde, l’embellie est aussi flagrante.
Toujours est-il que, et ça c’est une bonne nouvelle, l’impulsion lancée par Laurent Fabius sur l’industrie du tourisme en France n’a pas été abandonnée par notre nouvelle administration. Je dirais même qu’elle semble se poursuivre, toujours sous la direction de notre Ministre des Affaires Etranges, Jean-Yves Le Drian et son Secrétaire dévoué, Jean-Baptiste Lemoyne.
Quand c’est bien, c’est bien et faut le dire, même si Président Macron ne semble pas en faire grand cas…
Pourtant, qu’on le veuille ou non, la France est encore l’une des trois premières destinations touristiques, même si les recettes engendrées par cette situation ne sont pas toujours au rendez-vous. Mais, finalement quand on aime, on ne compte pas… et puis ce serait mesquin !
Pourtant, j’ai beaucoup aimé le discours de clôture tenu par Jean-Yves Le Drian lors de la dernière Conférence des Ambassadeurs tenue cette semaine à Paris.
Rappelons, pour ceux qui n’auraient pas suivi, que les ambassadeurs français, répartis sur la planète, ont aussi pour mission la promotion « touristique » de notre pays, ce qui, vous me le concéderez, n’est pas rien.
J’aime assez les propos du ministre, lequel, parmi des sujets pour le moins « sensibles » et nettement moins joyeux, aura quand même consacré quelques minutes à cette promotion du tourisme, génératrice quand même de revenus et d’emplois significatifs.
Je cite : « Sur le front de la diplomatie économique, je veux également évoquer le tourisme, qui est en soi un secteur d’activité porteur pour notre pays et contribue à renforcer son image - et, avec elle, son attractivité - à l’international. En la matière, nous avons connu une progression remarquable. L’année 2017 a été très bonne, avec 87 millions de visiteurs étrangers en France ; l’année 2018 – il y a déjà des chiffres qui circulent mais il faut attendre la fin - devrait l’être aussi, c’est-à-dire que l’on va dépasser les 87 millions, on va même sans doute flirter avec les 90 millions.
Nous devons rester mobilisés pour atteindre l’objectif fixé par le Premier ministre, qu’il nous a fixé à Jean-Baptiste Lemoyne et à moi-même, de 100 millions de touristes étrangers d’ici 2020. Par ailleurs nous ne saurions nous contenter de voir seulement quelques hauts-lieux de notre patrimoine concentrer la majeure partie du tourisme international.
Là aussi, ma conviction est que le succès passe par les régions – je ne pense pas que Jean-Pierre Raffarin me contredira. Nous travaillerons donc à l’internationalisation des territoires. Pour nous y aider, je souhaite que nos régions puissent régulièrement intervenir devant le corps diplomatique à Paris, à notre invitation, afin d’évoquer leurs ambitions ou leurs projets à l’international ».
Rappelons, pour ceux qui n’auraient pas suivi, que les ambassadeurs français, répartis sur la planète, ont aussi pour mission la promotion « touristique » de notre pays, ce qui, vous me le concéderez, n’est pas rien.
J’aime assez les propos du ministre, lequel, parmi des sujets pour le moins « sensibles » et nettement moins joyeux, aura quand même consacré quelques minutes à cette promotion du tourisme, génératrice quand même de revenus et d’emplois significatifs.
Je cite : « Sur le front de la diplomatie économique, je veux également évoquer le tourisme, qui est en soi un secteur d’activité porteur pour notre pays et contribue à renforcer son image - et, avec elle, son attractivité - à l’international. En la matière, nous avons connu une progression remarquable. L’année 2017 a été très bonne, avec 87 millions de visiteurs étrangers en France ; l’année 2018 – il y a déjà des chiffres qui circulent mais il faut attendre la fin - devrait l’être aussi, c’est-à-dire que l’on va dépasser les 87 millions, on va même sans doute flirter avec les 90 millions.
Nous devons rester mobilisés pour atteindre l’objectif fixé par le Premier ministre, qu’il nous a fixé à Jean-Baptiste Lemoyne et à moi-même, de 100 millions de touristes étrangers d’ici 2020. Par ailleurs nous ne saurions nous contenter de voir seulement quelques hauts-lieux de notre patrimoine concentrer la majeure partie du tourisme international.
Là aussi, ma conviction est que le succès passe par les régions – je ne pense pas que Jean-Pierre Raffarin me contredira. Nous travaillerons donc à l’internationalisation des territoires. Pour nous y aider, je souhaite que nos régions puissent régulièrement intervenir devant le corps diplomatique à Paris, à notre invitation, afin d’évoquer leurs ambitions ou leurs projets à l’international ».
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Juste une petite réflexion amicale : c’est bien, mais faudrait aussi envisager, histoire de rester dans une compétition loyale et saine, songer à harmoniser les règles fiscales de nos réceptifs vis-à-vis de leurs homologues européens.
Ce que j’en dis…
Néanmoins, c’est bien, encore que je ne vois pas trop ce que Raffarin vient faire dans ce dispositif. A moins que ce ne soit pour encourager ses amis chinoas à venir encore plus…
Mais bon, y’a plus qu’à faire maintenant !
Ce que j’en dis…
Néanmoins, c’est bien, encore que je ne vois pas trop ce que Raffarin vient faire dans ce dispositif. A moins que ce ne soit pour encourager ses amis chinoas à venir encore plus…
Mais bon, y’a plus qu’à faire maintenant !