Créé en mars 2000 par Francis Billot, BMS a démarré son activité avec un contrat de distribution exclusif des produits du réseau des transport publics de Londres.
"L’idée était de permettre aux voyageurs français d’acheter des billets de bus, de métro ou de train et de développer des produits annexes en matière d’hébergement, de spectacles et d’attractions à Londres et en Grande-Bretagne" explique le patron de BMS.
En 2005, BMS a vendu 19 000 pass
L’entreprise prospère rapidement grâce à la mise en place de ces "pass" londoniens. Leur distribution est alors facilitée par le trafic des 100 000 visiteurs annuels de la Maison de la Grande Bretagne qui jouxte –et remplit- les locaux de BMS. "Pendant 18 mois, tout a très bien fonctionné. Ensuite, il y a eu le 11 septembre". Et la fermeture, quelques mois plus tard, de la Maison de la Grande Bretagne.
En 2005, BMS a tout de même vendu 19 000 pass pour un montant global de 500 000 euros, soit la moitié de son chiffre d’affaire. Malgré la concurrence du British Tourist Authority qui s’oriente vers la vente directe – via un site marchand allemand- BMS tire son épingle du jeu et revendique encore environ 25 % de part de marché.
"Nous espérons développer nos relations avec les AGV"
"On se bat sur les délais. En imprimant nous-mêmes les billets, on peut tenir la plupart des livraisons à J+1. En cas de litige, nos conditions générales de vente permettent de se tourner vers les tribunaux français, ce qui n’est pas le cas avec notre principal challenger qui offre des recours devant la justice britannique.
Cet avantage nous vaut aujourd’hui la recommandation de l’union nationale des séjours linguistique auprès de ses adhérents. Demain, nous espérons développer nos relations avec les agences de voyages qui peuvent améliorer la valeur de leurs dossiers avec des Pass. Enfin, nous démarrons la vente en ligne depuis un an avec quelques 1600 visites par mois."
Un partenariat les agences de promotion en Pennsylvanie
Plutôt que d’organiser seulement la résistance, BMS a préparé l’offensive sur les hébergements. "Un point fort "de l’agence parisienne qui lui a permis de faire glisser son positionnement. Le "spécialiste du voyage à la carte" s’affirme aussi comme un expert du "sur mesure" et pas seulement en Grande-Bretagne.
"Dans deux ans, la moitié de notre activité devra se faire dans d’autres pays" explique Francis Billot qui mise d’abord sur les Etats-Unis où il vient de lancer son premier produit –transport et hébergements compris- sur la découverte de la Pennsylvanie.
"Nous avons tout construit autour d’un thème culturel" . La découverte -en trois jours- de Philadelphie autour de l’année de la commémoration de l’anniversaire de Benjamin Franklin (749 €) structure une offre qui s’étend au Pays Amish (5 jours, 985 €) et à la Pennsylvanie toute entière (7 jours, 1490 €).
Pass sur les 30 meilleures attractions de Philadelphie
Les circuits prévoient la location de voiture et BMS propose un pass sur les 30 meilleures attractions de Philadelphie avec des réductions exclusives, principalement dans des restaurants. BMS vise la barre des 500 voyageurs pour ce premier marché test qui a reçu le soutien des opérateurs publics (Pennsylvania convention and visitor bureau, Etat de Pennsylvanie).
"Nous sommes également en négociation avec Amtrak qui propose d’excellentes dessertes sur New York au départ de Philadelphie" annonce Francis Billot qui travaille sur un circuit « grands paysages » dans la région de Seattle et un itinéraire "musical" de Memphis à New Orleans.
L’autre diversification se fait sur le même principe en Suisse. BMS vise des accords avec quelques OT Suisse, comme Montreux ou Crans-Montana, et annonce le début de négociations pour la création d’un circuit présentant les petits trains de montagne.
Internet : www.bms-travelshop.com
"L’idée était de permettre aux voyageurs français d’acheter des billets de bus, de métro ou de train et de développer des produits annexes en matière d’hébergement, de spectacles et d’attractions à Londres et en Grande-Bretagne" explique le patron de BMS.
En 2005, BMS a vendu 19 000 pass
L’entreprise prospère rapidement grâce à la mise en place de ces "pass" londoniens. Leur distribution est alors facilitée par le trafic des 100 000 visiteurs annuels de la Maison de la Grande Bretagne qui jouxte –et remplit- les locaux de BMS. "Pendant 18 mois, tout a très bien fonctionné. Ensuite, il y a eu le 11 septembre". Et la fermeture, quelques mois plus tard, de la Maison de la Grande Bretagne.
En 2005, BMS a tout de même vendu 19 000 pass pour un montant global de 500 000 euros, soit la moitié de son chiffre d’affaire. Malgré la concurrence du British Tourist Authority qui s’oriente vers la vente directe – via un site marchand allemand- BMS tire son épingle du jeu et revendique encore environ 25 % de part de marché.
"Nous espérons développer nos relations avec les AGV"
"On se bat sur les délais. En imprimant nous-mêmes les billets, on peut tenir la plupart des livraisons à J+1. En cas de litige, nos conditions générales de vente permettent de se tourner vers les tribunaux français, ce qui n’est pas le cas avec notre principal challenger qui offre des recours devant la justice britannique.
Cet avantage nous vaut aujourd’hui la recommandation de l’union nationale des séjours linguistique auprès de ses adhérents. Demain, nous espérons développer nos relations avec les agences de voyages qui peuvent améliorer la valeur de leurs dossiers avec des Pass. Enfin, nous démarrons la vente en ligne depuis un an avec quelques 1600 visites par mois."
Un partenariat les agences de promotion en Pennsylvanie
Plutôt que d’organiser seulement la résistance, BMS a préparé l’offensive sur les hébergements. "Un point fort "de l’agence parisienne qui lui a permis de faire glisser son positionnement. Le "spécialiste du voyage à la carte" s’affirme aussi comme un expert du "sur mesure" et pas seulement en Grande-Bretagne.
"Dans deux ans, la moitié de notre activité devra se faire dans d’autres pays" explique Francis Billot qui mise d’abord sur les Etats-Unis où il vient de lancer son premier produit –transport et hébergements compris- sur la découverte de la Pennsylvanie.
"Nous avons tout construit autour d’un thème culturel" . La découverte -en trois jours- de Philadelphie autour de l’année de la commémoration de l’anniversaire de Benjamin Franklin (749 €) structure une offre qui s’étend au Pays Amish (5 jours, 985 €) et à la Pennsylvanie toute entière (7 jours, 1490 €).
Pass sur les 30 meilleures attractions de Philadelphie
Les circuits prévoient la location de voiture et BMS propose un pass sur les 30 meilleures attractions de Philadelphie avec des réductions exclusives, principalement dans des restaurants. BMS vise la barre des 500 voyageurs pour ce premier marché test qui a reçu le soutien des opérateurs publics (Pennsylvania convention and visitor bureau, Etat de Pennsylvanie).
"Nous sommes également en négociation avec Amtrak qui propose d’excellentes dessertes sur New York au départ de Philadelphie" annonce Francis Billot qui travaille sur un circuit « grands paysages » dans la région de Seattle et un itinéraire "musical" de Memphis à New Orleans.
L’autre diversification se fait sur le même principe en Suisse. BMS vise des accords avec quelques OT Suisse, comme Montreux ou Crans-Montana, et annonce le début de négociations pour la création d’un circuit présentant les petits trains de montagne.
Internet : www.bms-travelshop.com