Alain Leveillé, le vice président exploitation d’Accovia (dte) et Patrick Bleu, le vice président de la zone EMEA /photo dr
Le fournisseur de technologies Accovia vient d’équiper coup sur coup l’OACI, l’IATA, ATPCO et la DGAC.
« Ce sont nos modules de BI (business intelligence) qui intéressent ces organismes.
Notre technologie permet d’explorer, d’analyser et de construire des rapports beaucoup plus sophistiqués qu‘auparavant », explique Patrick Bleu, le vice président de la zone Europe/Moyen Orient/Afrique.
Ces contrats en rafale enrichissent l’image et la notoriété d’Accovia au plan international mais Alain Leveillé, le vice président exploitation d’Accovia le reconnaît lui-même, « la BI n’est pas notre activité prioritaire ».
Mais elle démontre la diversité des outils développés autour des deux pôles forts que sont la construction de packages (Lexo) et le revenue management (Hubiz).
« Autrefois Accovia était le fournisseur d’un système de réservation dessiné pour les industriels de la production touristique.
Aujourd’hui, ce n’est plus le cas. Nos modules se commercialisent séparément et même Lexo, la nouvelles génération du moteur de packaging qui peut agréger une offre complète avec la meilleure solution aérienne a largement gagné en souplesse et en efficacité », ajoute Patrick Bleu. Lexo est utilisé en France par Pierre & Vacances.
« Ce sont nos modules de BI (business intelligence) qui intéressent ces organismes.
Notre technologie permet d’explorer, d’analyser et de construire des rapports beaucoup plus sophistiqués qu‘auparavant », explique Patrick Bleu, le vice président de la zone Europe/Moyen Orient/Afrique.
Ces contrats en rafale enrichissent l’image et la notoriété d’Accovia au plan international mais Alain Leveillé, le vice président exploitation d’Accovia le reconnaît lui-même, « la BI n’est pas notre activité prioritaire ».
Mais elle démontre la diversité des outils développés autour des deux pôles forts que sont la construction de packages (Lexo) et le revenue management (Hubiz).
« Autrefois Accovia était le fournisseur d’un système de réservation dessiné pour les industriels de la production touristique.
Aujourd’hui, ce n’est plus le cas. Nos modules se commercialisent séparément et même Lexo, la nouvelles génération du moteur de packaging qui peut agréger une offre complète avec la meilleure solution aérienne a largement gagné en souplesse et en efficacité », ajoute Patrick Bleu. Lexo est utilisé en France par Pierre & Vacances.
Un tremblement de terre qui s’annonce
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Accovia équipe aussi d’autres clients prestigieux comme Club Med pour le module transport dans les zones Asie/Pacifique et Amérique du Nord. Disney aussi pour la recherche de tarifs.
Et dans la révolution que l’on pressent dans les relations entre GDS, distributeurs et compagnies aériennes, Accovia est adossé à la technologie d’ITA, le système de recherche de tarifs utilisé aussi bien par des compagnies aériennes que par des agences en ligne de première importance - ITA que Google a racheté l‘année dernière.
« L’arrivée de Google dans le voyage, les relations tendues entre American Airlines et les GDS sont autant de signes précurseurs du tremblement de terre qui s’annonce », explique Laurent Briquet, le Dga d’Accovia France.
Le modèle installé depuis la création des GDS se fendille et le modèle suivant se profile déjà selon un schéma dans lequel Accovia se voit bien jouer un rôle.
« Pour la technologie des GDS, la recherche de tarif prend trop de place par rapport au booking. La tendance chez les GDS est de séparer le « look », la recherche, du « book », la réservation ».
Et dans la révolution que l’on pressent dans les relations entre GDS, distributeurs et compagnies aériennes, Accovia est adossé à la technologie d’ITA, le système de recherche de tarifs utilisé aussi bien par des compagnies aériennes que par des agences en ligne de première importance - ITA que Google a racheté l‘année dernière.
« L’arrivée de Google dans le voyage, les relations tendues entre American Airlines et les GDS sont autant de signes précurseurs du tremblement de terre qui s’annonce », explique Laurent Briquet, le Dga d’Accovia France.
Le modèle installé depuis la création des GDS se fendille et le modèle suivant se profile déjà selon un schéma dans lequel Accovia se voit bien jouer un rôle.
« Pour la technologie des GDS, la recherche de tarif prend trop de place par rapport au booking. La tendance chez les GDS est de séparer le « look », la recherche, du « book », la réservation ».
Reconsidérer sa panoplie d'outils
Les GDS seraient ainsi tentés d’introduire, dans les objectifs fixés aux utilisateurs et sujets à rétribution, un élément négatif pour l’utilisation des GDS dans la requête de tarifs et un élément positif pour la réalisation de la réservation - réservation qui sera elle-même rémunérée par les compagnies aériennes concernées aux GDS par les booking fees.
« Or, l’étape du look, ou la recherche du tarif le plus approprié au client, elle peut se faire avec notre technologie qui intègre, de surcroît, toutes les compagnies low cost non présentes dans les GDS, et les frais annexes qui ont tendance à se multiplier.
Cette technologie balaie tout le spectre des possibilités en provenance de sources multiples, intègre les tarifs privés, pour sélectionner au final la meilleure formule ».
Puis pour passer au stade de la réservation, la plate-forme Lexo transport peut connecter à un GDS au choix, ou directement à la compagnie aérienne concernée. Le choix se faisant, évidemment, en fonction des objectifs négociés avec les compagnies ou les GDS.
Tout ceci nécessite de savants calculs pour savoir quelle formule sera la plus payante pour l‘utilisateur professionnel qui devra aussi, le cas échéant, intégrer les frais occasionnés par l’équipement de solutions Accovia.
Mais face aux Google, Apple et autres mastodontes qui se verraient bien entrer dans l’activité du voyage, il est urgent pour les professionnels, qui veulent rester dans la course,de reconsidérer la panoplie de leurs outils.
« Or, l’étape du look, ou la recherche du tarif le plus approprié au client, elle peut se faire avec notre technologie qui intègre, de surcroît, toutes les compagnies low cost non présentes dans les GDS, et les frais annexes qui ont tendance à se multiplier.
Cette technologie balaie tout le spectre des possibilités en provenance de sources multiples, intègre les tarifs privés, pour sélectionner au final la meilleure formule ».
Puis pour passer au stade de la réservation, la plate-forme Lexo transport peut connecter à un GDS au choix, ou directement à la compagnie aérienne concernée. Le choix se faisant, évidemment, en fonction des objectifs négociés avec les compagnies ou les GDS.
Tout ceci nécessite de savants calculs pour savoir quelle formule sera la plus payante pour l‘utilisateur professionnel qui devra aussi, le cas échéant, intégrer les frais occasionnés par l’équipement de solutions Accovia.
Mais face aux Google, Apple et autres mastodontes qui se verraient bien entrer dans l’activité du voyage, il est urgent pour les professionnels, qui veulent rester dans la course,de reconsidérer la panoplie de leurs outils.