Le projet devrait démarrer en décembre si tous les permis sont obtenus d’ici là.
Lifting en vue pour Flic-en-Flac. Ce sera à travers un méga-projet de développement intégré de tourisme de loisirs, signé par la Société de la réserve (SDR). C’est-à-dire la construction de trois hôtels, de 265 villas de luxe et de complexes commerciaux et de loisirs.
Tout cela sur une superficie de 322 arpents appartenant aux frères Cheekhooree. “Ce projet, explique Mahen Cheekhooree, sera un plus pour l’industrie touristique et tous les Mauriciens. Il se distingue, à plus d’un titre, des autres projets d’Integrated Resort Scheme (IRS) car il offrira des facilités pour le commerce et les loisirs tout en tenant compte du développement et de l’intégration de la communauté.”
Le site, qui se trouve non loin du Domaine Anna, comprendra un parc de loisirs, un Butterfly Park, un complexe de loisirs avec des activités intérieures et extérieures, des salles de cinéma, un night-club, un aquarium, des salles d’exposition, un grand complexe commercial, un jardin botanique, un casino et un food court.
Outre les aspects loisirs, commerciaux et IRS, le projet fait aussi la place à trois hôtels cinq-étoiles, dotés au total de 960 chambres. Il s’inscrit dans le concept de Meetings, Incentives, Conferences, Exhibitions (MICE), prôné par le gouvernement. Comme à Singapour et en Malaisie, ces établissements pourront abriter des conventions internationales au nombre de plus de 1 000 délégués.
Le coût du projet des frères Cheekhooree, soumis en mai, est estimé à 550 millions de dollars (environ Rs 16 milliards). L’investissement s’étalera sur une période de cinq à sept ans, générant une prévision de 4 000 à 5 000 emplois.
En décembre si tout va bien
Le projet devrait démarrer en décembre si tous les permis sont obtenus d’ici là. Des partenaires singapouriens, approchés par les promoteurs pour la réalisation, sont déjà venus en visite de repérage du marché et pour les modalités.
Le dossier a été examiné cette semaine par le Fast Track Investment Committee, présidé par le Premier ministre, Navin Ramgoolam, en même temps que les deux autres projets de CIEL Properties Ltd à Deep-River-Beau-Champ et de la Société Morne-Brabant. Le projet de Médine est déjà en cours, ayant obtenu son Investment Certificate sous l’ancien gouvernement.
Au total, 13 projets IRS ont été soumis au Board of Investment mais le gouvernement compte revoir les conditions attachées à leur réalisation afin de “mieux promouvoir la démocratisation de l’économie”. L’IRS, introduit en 2003, a pour objectif de dynamiser l’investissement étranger.
Les projets comprennent des villas de luxe, des parcours de golf et des hôtels. Les villas seront vendues à des étrangers, qui pourront résider à Maurice grâce à cet achat, ou à des Mauriciens pour un minimum de US$ 500 000 (Rs 15 millions).
Tout cela sur une superficie de 322 arpents appartenant aux frères Cheekhooree. “Ce projet, explique Mahen Cheekhooree, sera un plus pour l’industrie touristique et tous les Mauriciens. Il se distingue, à plus d’un titre, des autres projets d’Integrated Resort Scheme (IRS) car il offrira des facilités pour le commerce et les loisirs tout en tenant compte du développement et de l’intégration de la communauté.”
Le site, qui se trouve non loin du Domaine Anna, comprendra un parc de loisirs, un Butterfly Park, un complexe de loisirs avec des activités intérieures et extérieures, des salles de cinéma, un night-club, un aquarium, des salles d’exposition, un grand complexe commercial, un jardin botanique, un casino et un food court.
Outre les aspects loisirs, commerciaux et IRS, le projet fait aussi la place à trois hôtels cinq-étoiles, dotés au total de 960 chambres. Il s’inscrit dans le concept de Meetings, Incentives, Conferences, Exhibitions (MICE), prôné par le gouvernement. Comme à Singapour et en Malaisie, ces établissements pourront abriter des conventions internationales au nombre de plus de 1 000 délégués.
Le coût du projet des frères Cheekhooree, soumis en mai, est estimé à 550 millions de dollars (environ Rs 16 milliards). L’investissement s’étalera sur une période de cinq à sept ans, générant une prévision de 4 000 à 5 000 emplois.
En décembre si tout va bien
Le projet devrait démarrer en décembre si tous les permis sont obtenus d’ici là. Des partenaires singapouriens, approchés par les promoteurs pour la réalisation, sont déjà venus en visite de repérage du marché et pour les modalités.
Le dossier a été examiné cette semaine par le Fast Track Investment Committee, présidé par le Premier ministre, Navin Ramgoolam, en même temps que les deux autres projets de CIEL Properties Ltd à Deep-River-Beau-Champ et de la Société Morne-Brabant. Le projet de Médine est déjà en cours, ayant obtenu son Investment Certificate sous l’ancien gouvernement.
Au total, 13 projets IRS ont été soumis au Board of Investment mais le gouvernement compte revoir les conditions attachées à leur réalisation afin de “mieux promouvoir la démocratisation de l’économie”. L’IRS, introduit en 2003, a pour objectif de dynamiser l’investissement étranger.
Les projets comprennent des villas de luxe, des parcours de golf et des hôtels. Les villas seront vendues à des étrangers, qui pourront résider à Maurice grâce à cet achat, ou à des Mauriciens pour un minimum de US$ 500 000 (Rs 15 millions).