Candidature sous influences pour le président de Sélectour
Il semble que l’avenir de Philippe Demonchy au sein du réseau Selectour s’inscrive de plus en plus en pointillé depuis le conseil d’administration animé du mardi 8 février. Outre le fait que son départ de la présidence de Selectour le 31 mars prochain le privera d’office de la co-direction de l’Alliance ou de Selectour Finances, il n’est pas sur de garder l’unique mandat d’administrateur.
En effet, cette année il y a le renouvellement de 4 postes d’administrateur…dont celui de Philippe Demonchy. S’il ne le retrouvait pas, contrairement à ce que déclarait hier le président du SNAV César Balderacchi, sa participation à la course à la présidence du SNAV ne serait plus du fait de sa seule volonté.
« A ce jour Philippe Demonchy remplit parfaitement les obligations pour participer aux élections. Il est administrateur, élu de son conseil et est le représentant nommé par Selectour » explique Rachid Témal, le secrétaire général du Syndicat qui précise que c’est le conseil national (6 représentants des familles, 16 présidents de région, le pdt de la SIAV et le pdt de l’APS) qui élira le futur président.
Représentant ou pas ?
« Lorsque les agences adhérent au Syndicat, elles désignent un représentant pour le SNAV. Le plus souvent c’est le représentant légal mais dans les grandes entreprises, souvent il s’agit d’une personne qu’on a désigné en fonction de ses compétences». Jusqu’à présent, Philippe Demonchy est le représentant SNAV pour Selectour. Mais le sera-t-il encore après le 31 mars ?
Car même si sa candidature est recevable à sa date limite de dépôt (AG du 24 mars), il ne pourrait plus exercer de mandat d’administrateur au Syndicat si la nouvelle direction de Selectour décidait de changer le nom du représentant SNAV pour le réseau. Mais le nouveau nommé (s'il y en a un) ne remplacera pas Philippe Demonchy à son poste d'adminsitrateur du SNAV.
Quelle sera la décision finale ? A la vue de la tournure des événements au sein du conseil de Selectour, on ne sait plus que penser...
Hervé Ducruet - herve.ducruet@tourmag.com
En effet, cette année il y a le renouvellement de 4 postes d’administrateur…dont celui de Philippe Demonchy. S’il ne le retrouvait pas, contrairement à ce que déclarait hier le président du SNAV César Balderacchi, sa participation à la course à la présidence du SNAV ne serait plus du fait de sa seule volonté.
« A ce jour Philippe Demonchy remplit parfaitement les obligations pour participer aux élections. Il est administrateur, élu de son conseil et est le représentant nommé par Selectour » explique Rachid Témal, le secrétaire général du Syndicat qui précise que c’est le conseil national (6 représentants des familles, 16 présidents de région, le pdt de la SIAV et le pdt de l’APS) qui élira le futur président.
Représentant ou pas ?
« Lorsque les agences adhérent au Syndicat, elles désignent un représentant pour le SNAV. Le plus souvent c’est le représentant légal mais dans les grandes entreprises, souvent il s’agit d’une personne qu’on a désigné en fonction de ses compétences». Jusqu’à présent, Philippe Demonchy est le représentant SNAV pour Selectour. Mais le sera-t-il encore après le 31 mars ?
Car même si sa candidature est recevable à sa date limite de dépôt (AG du 24 mars), il ne pourrait plus exercer de mandat d’administrateur au Syndicat si la nouvelle direction de Selectour décidait de changer le nom du représentant SNAV pour le réseau. Mais le nouveau nommé (s'il y en a un) ne remplacera pas Philippe Demonchy à son poste d'adminsitrateur du SNAV.
Quelle sera la décision finale ? A la vue de la tournure des événements au sein du conseil de Selectour, on ne sait plus que penser...
Hervé Ducruet - herve.ducruet@tourmag.com