A l'occasion de la présentation des projets d’extension de l'aéroport Marseille-Provence (AMP) de près de 20 000 m², les petits actionnaires ont voulu faire entendre leur voix.
On retrouve la CCI Marseille-Provence (CCIMP), qui détient 25 %, mais aussi la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur (5 %), le Conseil départemental des Bouches-du-Rhône (5 %) la Métropole Aix-Marseille Provence (4 %) et la ville de Vitrolles (1 %).
Un article d'actualité de la CCIMP publié le 27 novembre 2017 évoquait ainsi la « coalisation d’intérêts des actionnaires dits minoritaires pour peser, de façon concertée sur les décisions futures », et la volonté de cette coalition de « confier à la CCI Marseille Provence le pilotage technique et la démarche présidant à la stratégie commune ».
Le cœur du sujet est posé par Jean-Luc Chauvin, président de la CCIMP : « Comment imaginer qu’on va vendre nos parts d’un équipement qui pèse plus d’un 1 Md€ de chiffre d’affaires, fait travailler 200 entreprises et représente 5 500 emplois ».
Problème : ces petits actionnaires ne représentent "que" 40%. Il en manque donc pour garder la main. Il cherche donc des solutions d'association à d'autres investisseurs régionaux de manière à « imposer leur place active dans les négociations à venir. De façon à veiller à ce que le ou les nouveaux entrants soient bien dans une logique de gestion connectée aux intérêts locaux, tournée vers des enjeux à moyen et long terme, et de préférence à ambition internationale ».
C'est l'agenda de l’État qui fournira le point de départ mais d'ores et déjà, les acteurs régionaux se prépare à un bras de fer avec Bercy.
On retrouve la CCI Marseille-Provence (CCIMP), qui détient 25 %, mais aussi la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur (5 %), le Conseil départemental des Bouches-du-Rhône (5 %) la Métropole Aix-Marseille Provence (4 %) et la ville de Vitrolles (1 %).
Un article d'actualité de la CCIMP publié le 27 novembre 2017 évoquait ainsi la « coalisation d’intérêts des actionnaires dits minoritaires pour peser, de façon concertée sur les décisions futures », et la volonté de cette coalition de « confier à la CCI Marseille Provence le pilotage technique et la démarche présidant à la stratégie commune ».
Le cœur du sujet est posé par Jean-Luc Chauvin, président de la CCIMP : « Comment imaginer qu’on va vendre nos parts d’un équipement qui pèse plus d’un 1 Md€ de chiffre d’affaires, fait travailler 200 entreprises et représente 5 500 emplois ».
Problème : ces petits actionnaires ne représentent "que" 40%. Il en manque donc pour garder la main. Il cherche donc des solutions d'association à d'autres investisseurs régionaux de manière à « imposer leur place active dans les négociations à venir. De façon à veiller à ce que le ou les nouveaux entrants soient bien dans une logique de gestion connectée aux intérêts locaux, tournée vers des enjeux à moyen et long terme, et de préférence à ambition internationale ».
C'est l'agenda de l’État qui fournira le point de départ mais d'ores et déjà, les acteurs régionaux se prépare à un bras de fer avec Bercy.